Fait très intéressant voire captivant, n'est-ce pas ? Le pire, c'est encore la cause de cette petite insomnie : la tronche de des polys de chimie orga' que je devrais essayer de comprendre avant ce jour terrible qu'est la rentrée. Et le fait est que je n'y comprend RIEN. Et que la pensée de sortir de mon glandouillage (qui consiste à écrire et regarder des films, la plupart du temps) me tue.
Bon, en même temps je sais très bien que je vais devoir travailler hein, juste.. maintenant, vraiment ? Voilà qui est donc très joyeux... ça cause de trucs totalement... obscurs.
Et en plus, c'est écrit tout petit !
Mais bon. Du coup, j'en profite pour signaler à la premier âme perdue qui viendra ici qu'un nouveau chapitre de Puis-je vous emprunter Du Bois ? est en ligne :
Chapitre 3. Ce cahpitre n'est pas encore passé en bêta, et sera uptadé une fois qu'on me l'aura renvoyé corrigé, of course. Et une nouvelle publication sur
dieux_du_stade :
De la Beauté de l'Envol... pour le thème "Première fois", sur Olivier :)
Sinon, eh bien je vais certainement me mettre à corriger les premiers chapitres de mes chères petites fics demain après midi (le matin est, à mon grand désespoir, occupé par de la chimie -il faudra bien que j'essaie de comprendre ces petits symboles)... Et donc si je ne me suicide pas avant midi, demain soir tous les chapitres publiés devraient être corrigés.
Puis je dois aller faire tout plein de vaccins pour cette fichue année ><' J'ai pas peur, mais franchement, qui aime se faire planter une aiguille dans le bras ? La dernière fois que j'y suis allée, l'infirmière-psychopathe (je-vous-jure) m'a enfoncé l'aiguille dans l'épaule comme une sauvage... et en plus elle m'a sorti qu j'avais "la peau dure". Ben oui, forcément... c'était mon EPAULE. Enfin bon...
Et il faut vraiment que j'agisse sur ma consommation de café, sinon je serai incapable de me lever -comme tous les ans en fait- pour la rentrée, et même pour le reste de l'année.
Je devrais peut être penser à arrêter de raconter ma vie... ça devient franchement pathétique.