Luna, je ne t'oublie pas (mais je flemmardise vraiment grave)
(en même temps, je suis en vacances jusqu'à dimanche soir, j'ai encore quelques jours pour me mettre un coup de pied aux fesses et réécrire le Créer pour aider que même le logiciel pro d'El Clug n'a pas pu me récupérer...)
Pour te faire patienter, 200 petits mots (qui, limite, te plairont plus que ton Créer pour aider... ¬.¬)
Un fin liseré de lumière filtre par la porte entrouverte, les yeux de Cédric s'accoutument rapidement à l'obscurité. Il connaît les contours de sa chambre par cœur et ne tarde pas à s'y aventurer. Il longe avec précaution le matelas, qu'il suit du bout des doigts pour s'assurer de sa route. Gwenaël dort de son côté du lit ; à sa forme oblique, Cédric devine qu'il s'est étalé, comme souvent lorsqu'il est seul. Cédric se dévêt en silence puis se glisse sous les draps. Son corps vient prendre sa place contre celui de son compagnon, l'encourageant gentiment à lui rendre un peu d'espace.
Les deux jeunes hommes retrouvent naturellement leur position habituelle. Une fois au chaud et confortablement installé, Cédric dépose un baiser, léger comme une caresse, sur la nuque de Gwenaël, ce qui l'incite à se tourner dans son sommeil.
« Hum... ?
- Chut... c'est moi. Dors.
- Tu rentres tôt... marmotte Gwenaël après un temps de silence.
- Je me suis dépêché, je voulais attraper tes dernières heures de sommeil.
- Hum... bonne nuit. »
Après un nouveau baiser dans les cheveux de son petit ami, Cédric ferme les yeux.
« À tout à l'heure. »
J'ai vaguement envie d'écrire, en ce moment, c'est bizarre. Ça me gonfle toujours autant de vraiment m'y mettre au point d'ouvrir word mais... je sais pas, la sensation est légèrement différente de d'habitude, je sais pas quoi en penser... L'idée est moins déplaisante que d'ordinaire, en tous cas.
Et il faudrait vraiment que je vire toutes mes icônes LJ pour choisir les 15 auxquelles j'ai droit. (Ça reste moins urgent que de passer l'aspirateur, ceci dit.)
Pour te faire patienter, 200 petits mots (qui, limite, te plairont plus que ton Créer pour aider... ¬.¬)
Un fin liseré de lumière filtre par la porte entrouverte, les yeux de Cédric s'accoutument rapidement à l'obscurité. Il connaît les contours de sa chambre par cœur et ne tarde pas à s'y aventurer. Il longe avec précaution le matelas, qu'il suit du bout des doigts pour s'assurer de sa route. Gwenaël dort de son côté du lit ; à sa forme oblique, Cédric devine qu'il s'est étalé, comme souvent lorsqu'il est seul. Cédric se dévêt en silence puis se glisse sous les draps. Son corps vient prendre sa place contre celui de son compagnon, l'encourageant gentiment à lui rendre un peu d'espace.
Les deux jeunes hommes retrouvent naturellement leur position habituelle. Une fois au chaud et confortablement installé, Cédric dépose un baiser, léger comme une caresse, sur la nuque de Gwenaël, ce qui l'incite à se tourner dans son sommeil.
« Hum... ?
- Chut... c'est moi. Dors.
- Tu rentres tôt... marmotte Gwenaël après un temps de silence.
- Je me suis dépêché, je voulais attraper tes dernières heures de sommeil.
- Hum... bonne nuit. »
Après un nouveau baiser dans les cheveux de son petit ami, Cédric ferme les yeux.
« À tout à l'heure. »
J'ai vaguement envie d'écrire, en ce moment, c'est bizarre. Ça me gonfle toujours autant de vraiment m'y mettre au point d'ouvrir word mais... je sais pas, la sensation est légèrement différente de d'habitude, je sais pas quoi en penser... L'idée est moins déplaisante que d'ordinaire, en tous cas.
Et il faudrait vraiment que je vire toutes mes icônes LJ pour choisir les 15 auxquelles j'ai droit. (Ça reste moins urgent que de passer l'aspirateur, ceci dit.)