Un peu de Angst, beaucoup de fluff [enfin je trouve] et c'est tout
Titre: Merci Rika
Note: Couple que je garde secret même si vous le découvrez bien assez vite, désolé des fautes je l'ai écrit tard et j'ai la flemme de relire =X
« -Yabu, je me suis fait jeté, je viens de me bourrer la gueule viens me chercher »
Un seul sms, une panique énorme. Le jeune homme précédemment installé sur son canapé, ce leva d'un bond arrachant d'une main un bol de pop-corn des mains d'un jeune homme endormi et de l'autre coupa la télé. Il lança habillement le bol dans l'évier de la cuisine et attrapa sa veste. En moins de deux il était dehors et hélait un taxi. Il ne savait pas pourquoi mais savoir son meilleur ami mal au point de finir saoul le rendait malade. Il demanda méchamment au chauffeur d'accéléré, ce dernier un pseudo baba-cool empestant encore le tabac lui demanda d'arrêté de stressé. Yabu sortit son porte-feuille et fit sentir a son chauffeur une liasse de billets. Ce dernier lança un regard entendu au jeune homme, via son rétro, l'on senti la voiture accéléré et bientôt elle dépassa plusieurs voitures allant jusqu'à griller deux feux. L'homme mît sa radio a fond mais bientôt la triste réalité des embouteillage rattrapa Yabu et son chauffeur. Après quelques minutes d'attente et voyant l'ampleur des dégât, Yabu prit la décision de sauté du taxi. Il laissa la liasse promise au chauffeur qui éclata de rire en agitant la main. Le jeune homme claqua la portière, et passa devant plusieurs voiture qui klaxonnèrent. Il courut jusqu'au trottoir et prit la direction de la boite que lui avait indiquer son ami. Il accéléra le pas, il se trouvait a trois rues encore de l'endroit. Il priait pour que son ami n'est rien fait d'irréparable, qu'il n'est pas repris sa moto ou toute autre connerie. Depuis toujours il s'est toujours occuper de lui, rarement l'inverse, Yabu s'occupe toujours de lui alors que lui a déjà beaucoup de mal a se gérer lui même. Yabu en avait l'habitude depuis le temps qu'ils se connaissent. Mais s'était la première fois qu'il lui demandait de l'aide directement habituellement il appelait Takaki ou Inoo, trop fière peut-être pour demander a Yabu. Le jeune homme arriva enfin devant la boite, le videur le laissa entrer après plusieurs minutes de longues supplication. Il descendit les escaliers menant a la piste de danse et se dirigea au bar. Le sac de son ami était là mais pas le jeune homme. Yabu attrapa le bras du barman et lui hurla a l'oreille pour tenter de couvrir le bruit de la musique. Le barman utilisa la même façon pour lui apprendre qu'ils furent obliger de le jeter dehors car il ne tenait plus debout, buvait dans le verre d'autre client et avait vomis sur la piste. Yabu paniqua. Il attrapa le sac et se dirigea vers la sortie lorsqu'il sentit son bras attrapé par un des videurs. Il lui indiqua qu'ils avaient jeter son ami par la porte de derrière car il bougeait trop. Yabu s'excusa et le remercia, il se dirigea vers la porte de sorti, l'inquiétude faisait place a la colère, irrécupérable ce gars. Plus jamais ils le laisserait entrer dans cette boite. Il ouvrit la porte, le froid lui frappa le visage, il regarda a droite et a gauche et vit une botte sortir de derrière les sac poubelle. Il se dirigea dans cette direction, il dépassa les sacs noir. Les poubelles empestait, il était là a côté en t-shirt par ce froid. Il fixait le vide ne semblait pas voir Yabu, des larmes perlaient encore sur ses joues. Yabu donna quelque coups de pied dans les chaussures de son amis mais il n'eut pas de réaction, il fixait toujours le mur d'en face. Une nouvelle larme coula le long de son visage. Yabu poussa un long soupir, il lança le sac a son ami, il ne bougea pas, il soupira de nouveau il se mît accroupi face a son ami, lui prit l'épaule « hé ! Du con! Bouge toi ou tu va geler ». Pas de réponse, un coup de vent frais fit trembler Yabu alors qu'il portait une grosse veste, son ami ne trésailles même pas. Yabu soupir de nouveau en se relevant, il jeta un regard a son ami « mais qu'est ce que je vais faire de toi jolis cœur? Hein ?! Dis-moi ». Il vit un bref sourire triste passer sur les lèvres de son ami. Yabu mît ses mains sur ses côtes et fit un sourire énervé en détournant le regard, il soupira encore une fois et repris « Allé bouge ton cul- » mais il fut couper par son ami, dont une nouvelle larme venait de couler « Ne, Yabu, j'ai pas encore assez bu, j'arrive pas a oublier tu me paye de quoi oublier? ». Yabu poussa un soupir d'exaspération. Il attrapa le bras de son ami et le força a ce lever. Il utilisa tout sa force et l'appuya sur son épaule. « Franchement, tu crois vraiment que je vais t'aider a te tuer, mon gars si tu bois un verre de plus tu crève, tu verrai ta tronche, tu est pathétique ». Yabu mît le sac en bandoulière et aida son ami a marcher. Il fut vite contraint de le porter lui-même, il le mit sur son dos, enfila sa capuche a son ami, pour éviter tout risque de scandale, mît la sienne et reprit la marche. Il sentit son épaule se mouiller, il pleurai encore, sur ce coup-là il était réellement blésée. En même temps cette fille ça faisait 6 mois qu'il tournait autour et 2 ans qu'ils se connaissaient, maintenant leur amitié était finis. Elle ne voulais plus le revoir. Triste, se dit Yabu en titubant légèrement sous le poids de son ami. Il entendit son ami murmurer un merci a son oreille. Yabu eu un sourire, comme si le merci coulait de source. Il prit la décision de le ramener chez lui, sachant très bien que ses parents ne supporteraient pas de le voir ainsi. Il monta difficilement, très difficilement les cinq étage pour arriver chez lui. Il fut contraint de faire une pause de 10 minute a mi-chemin pour reprendre son souffle, ce fut un grelottement de la part de son ami qui le fit réagir. Il arriva devant chez lui, il fit descendre son ami de son dos et reprit sa respiration, il chercha dans ses poches ses clefs, il prit peur en s'apercevant qu'elles n'étaient pas dans la poche qu'il pensait, il fouilla toutes les autres paniquant. Il s'approcha de la fenêtre la plus proche de sa porte et vie l'objet de ses désirs dans le vide-poche de l'entrée. Il donna un coup de pied dans sa porte en lançant des insultes. La porte s'ouvrit d'un coup sur un de ses collègues, il l'avait complètement oublier, il s'agissait de Yuto qui dormait chez lui ce soir.
« Ha Yuto! Tu sais pas a quel point je t'aime là! » Le jeune concerné fit une tête bizarre, il semblait endormi puis réalisant il ramena le tout a la rigolade « je sais, je sais » dit-il sur un air anodin. Yabu lui montra d'un coup de tête l'ivrogne finalement endormi. Yuto fit de grand yeux « Hikaru?! ». Yabu acquiesça ajoutant « peine de cœur » pour toute explication. Yuto s'en approcha et le souleva par les aisselles et l'entraina dans l'appartement. « on dirait que tu l'a tuer et que tu cherche a le cacher » dit Yuto avec de l'excitation dans la voie. « T'en a de l'imagination toi! Tu sais ce qu'il a fait? Yabu reprit son récit en observant un hochement de tête négatif de la par de Yuto, il a dégueulé sur la piste de danse du « night Club », il finissait les fond de verre du bar et je l'ai retrouvé dans les poubelles ». Yuto écouta attentivement tout en donnant des tapes sur les joues de Hikaru, ce dernier se réveilla en sursaut et se pencha sur le côté, Yuto et Yabu surent de suite ce que leur ami avait manger a midi. Yabu soupira et alla chercher de quoi nettoyer, Yuto força Hikaru a boire un verre d'eau. Le jeune homme retomba comme une masse sur le sofa. Yabu était allongé a quatre patte par terre entrain de nettoyer le vomis de son amis. Yuto l'aida puis l'informa qu'il s'en allait, qu'il reviendrait jouer aux jeux vidéo avec Yabu un autre jour. Yabu le salua. Il vira, énervé, les jambes de Hikaru de son sofa, il s'installa dessus et regarda la télé mettant en garde au même moment Hikaru : « Si tu vomis encore une fois je ramasse le tout et je te le serre au petit-déjeuner! »
Hikaru se retourna sur le sofa, il avait beaucoup de cerne et était pâle. Yabu échangea son air énervé contre un air attendri. Il remit en place quelques mèche du jeune homme. Mine de rien il s'inquiétait, il n'avait jamais vu Hikaru dans un tel état pour une fille. Peut-être qu'il l'aimais réellement celle-ci. Yabu éteignit la télé et alla cherché une couverture pour son ami. Il le couvrit le regarda quelques instant et parti se coucher. Le lendemain il fut réveillé par le bruit d'un verre qui s'écrase au sol. Prit de panique - ne se souvenant pas de la présence de Hikaru - il attrapa un balais descendit en vitesse dans la cuisine brandissant un balais, seulement vêtu d'un caleçon. Il arriva dans sa cuisine et croise le regard de Hikaru qui cracha tout le contenu qu'il avait réussi a boire avant la chute du verre. Il se baissa en moins de deux pour ramasser les morceaux. De l'autre côté, Yabu avait baissé son arme, et passer la main derrière sa tête un peu confus d'avoir menacer son ami avec un balais. « Ce n'est que toi » dit-il en rangeant le balais. Il s'approcha de Hikaru et l'aida a ramasser les bouts de verres. Arriver au dernier tout deux tentèrent de le prendre au même moment si bien que leurs mains se rencontrèrent ils se regardèrent et Hikaru détourna le regards tout en enlevant rapidement sa main. Yabu trouva sa réaction bizarre, il alla jeter les petits bouts dans la poubelle. Invitant Hikaru a en faire de même. Ce dernier s'approcha jeta les petits bouts, qui tombèrent, en glissant l'un d'eux lui taillada la main. Yabu la lui attrapa pour voir de plus prés, mais Hikaru la libéra rapidement. Il s'approcha du robinet et la rinça. Quelque chose clochait, il évitait soigneusement le regard de Yabu, et ne se laissait pas toucher par lui. Yabu leva les mains pour montrer qu'il ne ferai plus rien, qui sait, s'était peut-être sa manière de dessaouler. Yabu se mit a préparer le petit-déjeuner, toujours dans son boxer. Hikaru passa derrière lui, il connaissais bien l'appartement, il allait surement chercher un pansement. A nouveau quelque chose tomba dans la salle de bain, Yabu s'y précipita, ce n'était rien, seulement le paquet de pansement, sur le rebord de la baignoire Hikaru se battait pour mettre son pansement. Yabu ramassa la boite et alla s'asseoir a coté de son ami il lui prit son poignet sans demander l'avis du propriétaire qui tenta de le retirer sans y arriver. Yabu mît le pansement en place. Il releva les yeux, il croisa ceux de Hikaru une demi-seconde, juste le temps que Hikaru mît a détourner son regard. Perdant patience face a son ami. Yabu lui attrapa le menton et le força a la regarder.
« Tu me raconte ou bien tu compte m'éviter toute ta vie? Elle t'a dit quoi? ». Hikaru n'était apparemment pas décider a parler. « Tu sais je peux rester comme cela longtemps ». Hikaru soupira et déclara simplement « des choses...
-quelles sorte de chose?
-Des choses que je ne voulais pas entendre, que je ne voulais pas comprendre, maintenant lâche moi je veux prendre une aspirine; ». Hikaru accompagna le geste a la parole et arracha la main de Yabu de son menton. Ce dernier était un peu perdu, d'habitude il suffisait de demander a Hikaru pour qu'il se livre a lui sans rien lui cacher. Mais-là ce subît changement de comportement renfrognait Yabu. Il observa son ami se servir de l'eau et avaler son aspirine, une goutte d'eau dévala la gorge déjà attirante du jeune homme. Attirante? Le rythme cardiaque de Yabu s'accéléra, comment pouvait-il avoir ce genre de penser vis-à-vis de Hikaru. Yabu se leva d'un bond faisant sursauter son ami, il sortit de la salle de bain et se dirigea a l'évier de la cuisine où il se rinça la figure. Ce n'était pas la première fois qu'il se surprenait a avoir ce genre de penser s'était la cinquième fois, ce qui l'inquiétait s'était que s'était la première fois que ça lui arrivait alors qu'il n'était pas bourré. Il entendit la porte de la salle de bain se fermer a clé, il devait prendre sa douche. Yabu s'installa devant la table de sa cuisine et prit son petit-déjeuner l'air pensif. La fille qui avait je té Hikaru la veille s'appelait Rika, il ne la connaissait pas beaucoup, mais du peu qu'il la connaissait c'était une fille, mignonne, gentille et intelligente qu'avait-elle pu dire de si choquant a Hikaru pour qu'il le retrouve dans cet état? Il rumina ses pensées jusqu'à ce que Hikaru sortent de la salle de bain, en jean sans haut. Yabu se sentit de nouveau bizarre. Son amis s'installa face a lui mais sans le regarder. Tous deux étaient gênée et n'osaient pas parler. Finalement, Yabu donna un coup de poing sur la table, il en avait marre. « Soit un tu me raconte tout soit deux tu arrête de te comporter ainsi dans tout les cas il faut faire quelque chose sinon je risque péter un câble
-tu as raison » Yabu fut surpris de la réponse. Il releva les yeux et croise ceux déterminer de Hikaru. « Je vais te raconter ce qui s'est passer hier, écoute bien: J'étais partit voir Rika, je lui avais donner rendez-vous a un resto chic pour lui parler de ce que je pensais ressentir » pensais? S'interrogeait Yabu pourquoi ce verbe? « pour elle, elle était là toujours aussi resplendissante. Je me suis installé nous avons manger et au milieu du repas je me suis lancé. Elle a d'abord souris, je pensais que s'était dans la poche, mais je me fourrais le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Elle m'a, m'a dit qu'elle était désolé mais qu'elle ne pouvait pas sortir avec moi car d'après elle j'aime quelqu'un d'autre mais je ne veux pas me l'avouer. Elle m'a donner plein d'explications plus marquante les unes que les autres. Si bien que j'ai été convaincu, mais je sais très bien que j'ai pas le droit de l'aimer alors je me suis bourrer la gueule et j'ai attéris chez toi. » Yabu resta silencieux puis prit dans le récit il demanda « c'est qui cet personne je l'a connais?
-ouai » Il se mît a touillé son café rapidement tout en le fixant. « Et finalement tu pense que Rika a raison?
-J'en suis tout a fait sur maintenant
-Tu veux me le dire, tu sais je peux tout garder pour moi je ne lui dirais rien. Elle ne le saura pas.
-Tu ne peux pas le lui dire
-Hein?
-Si je te le dit la personne en question sera forcément au courant ». Il baissa la tête Yabu l'observa, attendri, il n'ose pas le dire directement mais Yabu l'a bien compris c'est de lui-même qu'il s'agît, étrangement il en est plutôt heureux, très heureux. Hikaru lui remue actuellement tellement son café qu'il en met partout.
« Pourquoi tu souris comme ça? » Demanda-t-il agressif. Yabu releva les yeux les ancra dans ceux de Hikaru, il fit son plus beau sourire, le plus sincère et répondit « je suis heureux ». Hikaru ouvrit de grand yeux, il n'eu le temps de rien répliquer car en moins de 5seconde les lèvres de Yabu rencontrèrent celles de Hikaru, tendrement. Hikaru se sentit rassurer, Yabu se sentit incroyablement bien. Il décolla ses lèvres de celui que maintenant il était sur d'aimer. Ce dernier avait les joues rosie. « Tu m'aime alors? » demanda innocemment Hikaru les yeux papillonnant. Yabu fit un sourire puis mima un arrêt cardiaque il dit « Argh! Arrête si tu continu je ne vais pas pouvoir me retenir je vais te sauter dessus ». Hikaru lui tapa l'épaule, reprenant son sérieux Yabu se leva et s'approcha de Hikaru et lui glissa a l'oreille « sérieusement tu ferai mieux de cacher ce magnifique buste, je risquerai de craquer » il fit un lécher suçon sur le cou de Hikaru qui frissonna. Il regarda Yabu s'éloigner et lui sortit un « Et toi alors tu te balade en caleçon!
- je suis chez moi, chéri » Le chéri fut intentionnellement dit de façons sensuelle si bien que Hikaru se précipita a la suite de Yabu, entra dans sa chambre. Yabu fut surpris il s'approcha de Hikaru et lui encercla la taille et mit sa tête dans le coup de son chéri, il y laissa des petits baisers. Hikaru le laissa faire et pour bien l'embêter il enfila le t-shirt et sortit de la chambre. Yabu tomba des nues il sortit sa tête dans le couloir et lança a Hikaru « Hey! T'es venu me narguer exprès! ». A l'autre bout du couloir, Hikaru se retourna tira sur le t-shirt en montra sa langue a Yabu. Tout deux se sourirent. Ça ne gênait en rien Yabu, il aimait trop Hikaru pour le brusquer. L'amitié qui les unissait s'était petit a petit transformer en un amour profond qu'aucun des deux n'avaient encore remarquer. Le soir même tout deux pensèrent a l'un et a l'autre mais eurent aussi une petite pensée pour Rika, sans qui ils seraient peut-être encore entrain de se mentir a eux-mêmes.