Je me souviendrai pour toi

Oct 26, 2009 14:46

Il ne s'agît pas vraiment d'un Os mais plus d'une mini MC, l'histoire se base sur la curieuse amnésie d'un jeune homme et la détermination de son ami qui fera tout pour qu'il recouvre la mémoire tout en étant gracié


C'était un soir d'orage, un soir d'orage comme jamais les Tokyoïtes n'en avaient connus. Les éclairs fusaient de toutes part, la pluie tombait abondamment. Les passants avaient disparut des rues, les voitures étaient rare. Un avis de tempête avait été déclaré sur l'archipel.

Seulement, au milieu de cette ville de lumière habituellement si rempli, marchait un jeune homme dont le cœur reflétait ce temps si triste et si peu chaleureux. Il déambulait dans les rues, il ne faisait plus attention a la pluie qui lui tombait dessus. Il passa devant plusieurs maison des quartiers riche où les familles se réchauffaient au coin du feu, tous ensemble, unis. Il continua a marcher et releva la tête devant une des ses maisons. A l'intérieur, via une baie vitré il pu apercevoir une famille au complet. Un père dont les cheveux poivres et sel étaient surmontée d'une casquette de baseball lisait tranquillement un journal. Deux marmots se couraient après, tournant autour du père qui de temps a autres relevait la tête en souriant. Puis vint une femme au cheveux longs les bras chargé d'un succulent repas. Le jeune homme observait cette famille uni, il aurait voulu les rejoindre, rire, jouer, manger avec eux. Mais la vitre était là lui barrant le passage. Il n'avait pas le droit a une famille comme celle-ci, il n'en aurait jamais plus jamais. Il avait tuer la sienne.

-Un mois plus tôt -

Le jeune homme se leva comme a son habitude. De la fenêtre de sa chambre il ne voyait pas grand chose, car la maison voisine était si proche que les rayons du soleil avaient peine a passer. Il se précipita a sa fenêtre et regarda vers le ciel. Pas un nuage, et très peu de vent. Il attrapa sur le bord de la fenêtre un cailloux qu'il propulsa sur la fenêtre en face de lui. Il se passa derrière le rebord de fenêtre et patienta. Pas de réponse. Il lança plusieurs cailloux jusqu'à ce qu'une fois ensommeillé et grave se fit entendre. Le jeune homme ne pu réprimander un sourire en ce baissant pour ne pas être vu de l'autre fenêtre. A celle-ci, un jeune homme venait juste d'apparaitre portant uniquement un boxer. Le jeune homme semblait plutôt énerver alors qu'il prit a son tour un caillou le lançant au travers de la fenêtre qui lui faisait face.

Le caillou termina sa chute sur notre premier jeune homme qui se releva d'un bon tout en accusant le dénudé.

« Mais ça va pas la tête?? Sa fait mal!

-Qu'est ce que tu me voulais? » demanda le second en s'accoudant sur son rebord de fenêtre dégainant d'on ne sait où une tasse de café fumante.

« Je voulais juste te voir » dit timidement le jeune homme en rougissant légèrement.

De l'autre côté le second jeune homme fit un sourire et disparut dans la pénombre de la maison. Le jeune garçon soupira en pensant que son ami ne voudrai plus le voir. Il fut tiré de ses pensé lorsqu'il reçu l'un de ses propres caleçon a la figure il se retourna et vit sa grande sœur entrer dans sa chambre

« Mo, Inoo tu devrais apprendre a ranger … Ô mon dieu qu'est ce que c'est que ça ? Une collection de caleçon sale? »

Inoo vira au rouge en remarquant que son voisin les observait le sourire au lèvres, il retira vivement le caleçon de sa tête et tira les rideaux. Un éclat de rire lui parvint poussant sa curiosité a bout. Il tira un bout du rideau et vit son voisin toujours a sa fenêtre, il rigolait apparemment de lui.

Alors que ça sœur, tentait toujours de se battre avec ses vêtements salle Inoo la poussa en-dehors de sa chambre. Il courut a la fenêtre et hurla a l'intention de son voisin « je ne vois pas ce qu'il y a de drôle abruti! Et puis d'abord arrête de regarder dans ma chambre la nuit pervers! ». Il entendit son voisin recraché tout le café qu'il avait agglutiné dans sa bouche. Inoo entendit un jurons et dévala les escaliers, en bas sa mère et son père étaient en train de préparer le petit déjeuner.

« Inoo, mon chéri vous n'avez pas finis de vous disputer toi et le voisin ?!

-Maman ne t'en mêle pas, et puis dit a Lulu d'arrêter de venir dans ma chambre a l'improviste! » La porte d'entrée venait de claquer une voie grave ce fit entendre .

« Qui sait si sa ce trouve il y fait des trucs pas très catholique »

Inoo n'y cru pas ses oreilles, il se retourna vivement et vit l'homme de la fenêtre debout dans son salon entrain de se servir dans le dressing. Les parents de Inoo le saluèrent chaleureusement et la sœur du jeune homme vint lui papillonné autour ce qui eu pour effet de faire bouillir Inoo.

« Qu'est ce que tu fait chez moi? » Demanda sur un ton agressif Inoo.

Le jeune homme passa une main dans ses cheveux et sorti du dressing, il portait comme simple habit un jean taché de café. Il lança un regard a Inoo et ramena ses yeux a la tâche plus que visible qui s'étendait du haut de sa cuisse gauche a son genoux.

« Une certaine personne a dit des choses tout a fait invraisemblable, tellement que je m'en suis renversé du café, il changea de cible et regarda la mère de Inoo et reprit d'une voie mielleuse, et puisque tu as une maman si gentille qui me lave et repasse mes vêtement. Je me suis dit que je pourrais trouver un change ici ». Inoo serra les points.

« Mais bien sur mon petit Hikaru tu est toujours le bienvenu ici, et ne fait pas attention a cette empoté de Inoo! » Répondit la mère en lançant un regard amusé a son fils. L'aîné de la famille entra dans la cuisine et se cramponna au bras de Hikaru, ce qui engendra a nouveau la colère de Inoo. Il n'aimait pas que le jeune homme soit le centre des attentions de sa famille. Il sortit de la cuisine claquant toute les portes se trouvant sur son passage. Hikaru passa sa main dans ses cheveux et se mordis légèrement les lèvres. Il dégagea son bras de l'emprise de Lulu. Et partit a la suite de Inoo. Il arriva devant la chambre de son ami et toqua. Inoo l'envoya paitre en lui disant qu'il ne voulait pas le voir. Hikaru ne fit pas attentions au protestation et pénétra de force dans la chambre. Il faisait un petit-peu sombre car les rideaux étaient toujours fermé, mais il aperçu une chose bougé sur le lit. Il connaissait la chambre par cœur et n'eut aucun mal a rejoindre le jeune Inoo, recroquevillé sur lui même.

Inoo sentis le lit s'affaisser sous le poids de Hikaru, il ne bougea pas ne parla pas.

« Tu boude? » demanda Hikaru le sourire au lèvres ayant sa petite idée sur le pourquoi de cette soudaine crise. Inoo ne répondit pas. Hikaru ne se laissa pas faire et s'approcha du jeune homme lui soufflant dans le cou et sur l'oreille. Dans la pénombre Inoo étouffa un rire. Les mains de Hikaru vinrent se loger sur ses cotes et se mirent a le chatouiller. Il ne put se retenir, il éclata de rire basculant en arrière sur le lit. Hikaru profita de l'occasion pour se placer au-dessus du jeune homme et continua sa torture de guiliguili. Il ne cessa que lorsque Inoo le supplia les larmes aux yeux. Il se pencha en avant et demanda un regard insistant « Alors c'est quoi le problème? ». Inoo détourna le regard marmonnant « Tu te laisse toucher par Lulu ». Hikaru se mît a rire, Inoo faisait une crise de jalousie. Puis il reprit son sérieux. Sous lui Inoo avait une mine renfrogné. Le jeune homme tourna le visage de son vis-à-vis le forçant a le regarder. Puis il rapprocha son visage de celui de Inoo tout en murmurant « est-ce qu'avec t'a sœur je ferai ça? ». Il embrassa doucement Inoo.

Ce dernier fut surpris, mais ce n'était pas la première fois, Hikaru l'embrassait souvent mais ils entretenaient une relation ambiguë, même eux ne saurai dire si ils s'aiment s'ils éprouvent seulement de l'affection ordinaire l'un envers l'autre. Hikaru se releva et attira Inoo dans ses bras. Il se firent une légère accolade de Hikaru repassa le pas de la porte.

Inoo resta dans sa chambre muet, ce n'était pas la première fois qu'ils s'embrassaient mais quelque chose était différent, d'habitude il s'agissait de paris, de jeux ou même de tactique pour éloigner les mecs trop lourd en boites de nuit mais là qu'elle en était la raison? Inoo fut sortit de ses pensées par la voie de sa sœur. Aujourd'hui ils allaient en pique nique dans la montagne.

Tous les quatre embarquèrent dans la voiture, joyeusement. Lulu et Inoo se disputèrent un peu mais pas bien longtemps. Au bout d'une heure toute la petite famille descendit de la voiture. Chacun prit un sac ils commencèrent a marcher dans la montagne s'enfonçant de plus en plus. Lulu et la mère de la famille semblaient inquiète, on aurait dit qu'elles savaient quelque chose que Inoo ignorait et trainaient des pieds derrière. Inoo portait deux sacs et menait la marche malgré sa multitude de jérémiades. Les père de la petite famille demanda a tous de s'arrêter. Inoo surprit, se retourna et vit une bande de Yakuza encerclé sa mère, sa sœur et son père. Il fit demi-tour en courant et assista impuissant a l'assassina de sa mère et de sa sœur. Inoo ne comprenait plus rien il voulait que tout ne soit qu'un cauchemar. Pourquoi des Yakuzas les aurait-il suivit? Pourquoi? Il accouru prés des corps inerte de sa mère et de sa sœur. Il tourna la tête vers on père et eu juste de le temps de le voir le frapper avec la crosse d'une des armes. Inoo eu le souffle couper et s'affala au sol dans un murmure, les larmes aux yeux « papa? »...

Il se réveilla, il faisait nuit. Dans sa main droite gisait un pistolet. Alors que sa main gauche reposait dans du sang. Il ramena cette mains a son visage et dans la pénombre vit le corps de deux femmes. Deux belles femmes, qu'il ne connaissait pas. Elles ne respirait plus. Il regarda autour de lui, il ne savait ni où il était ni qui il était. Il regarda tour a tour ses deux mains puis le revolver et les deux corps. Il paniqua, qui était-il? Pourquoi avait-il tué ses deux femmes? Il se leva et se mit a courir aussi long que ses jambes purent le porter, la panique ne cessait de monter en lui, il avait peur, tout lui paraissait inconnus. Il couru a travers une foret, tomba mais continua de se relever. Jusqu'au moment où il ne put se relever. Il se mit a l'abri d'un arbre et pleura, il devenait fou, ne rien savoir lui retournait les entrailles. Il se pensa tueur a gage, yakuza ou tout autre mafieux japonais. Il se demandait s'il avait une famille quelque part et se demandait si les deux femmes qu'il avait tuer en avait une. Il méritait de mourir. Il dormi quelques heures. Lorsqu'il se réveilla le soleil avait pointé le bout de son nez. Il se levait et marcha dans les feuille morte a la lumière du jour il pouvait voir tout le sang qui était sur lui, il sentais le sens a plein nez. Le sang coagulé. Il passa la main dans ses cheveux et rencontra une plaie qui lui arracha un gémissement de douleur. Il venait de trouver la cause de son amnésie. Il se remit a nouveau en question méritait-il de vivre oui ou non? S'agissait-il d'une méprise?

Il descendit la colline et tomba sur un petit village, il s'approcha des demeures, montant des excuses de toutes pièce pour son accoutrement. Il vit au travers de la fenêtre de l'une d'elle un poste de télé allumé, il observa lisant sur les lèvres. Puis vint une photo des deux jeunes femmes de la montagne, une de lui et une d'un homme. L'homme apparut a l'écran en pleur il disait « je ne comprend pas pourquoi Inoo a agît comme ça, il a essayer de me tuer aussi mais je me suis enfui il était trop tard pour elles, Inoo si tu vois sa explique moi ». Le jeune homme se laissa tomber au sol, il avait tuer sa famille? Sa propre famille? La télé reprit lançant un avis de recherche sur sa personne. Il se mit a nouveau a courir au bout de quelques kilomètres il se laissa a nouveau tomber au sol, il voulait mourir. Il resta coucher au sol une semaine, tentant tant bien que mal de ne pas boire l'eau de plus mais une chose lui disait de na pas abandonner de se battre. Les feuilles commencèrent a le recouvrir, la faim le tiraillait mais il s'empêchait de manger. Il bougea le jour ou des voies se firent entendre, on organisait une battu pour le retrouver. Inoo se leva, il ne savait plus rien de se monde mais il ne voulait pas finir en prison, il voulait mourir mais pas se laisser prendre. Il se leva et monta a un arbre. Un homme passa au pied de l'arbre, il ne portait pas l'uniforme, ses cheveux d'un noir de jais lui tombait sur les épaule il était trop jeune pour être flic. Inoo l'observa tentant de retenir son souffle. Mais le jeune homme s'immobilisa et se laissa tomber au sol. Il se recroquevilla sur lui même. Inoo le vit trembler, était-ce de froids? De peur? Ou pleurait-il?

La nuit tomba et le jeune homme se décida a s'en aller, il se mît a hurler et l'écho de sa voie traversa la montagne « Inoo si tu m'entend je sais que ce n'est pas toi reviens! On arrêtera ton père ensemble! ». Inoo manqua de tomber de son refuge, était-ce une ruse pour le forcer a se rendre? Il n'en savait rien tout ce qu'il savait c'est que cette voie et cette silhouette lui était familière. Il décida d'enquêter et si le jeune homme disait vrai? Si cela se trouve l'homme qui a tuer sa sœur et sa mère avait peut-être penser l'avoir aussi éliminer?

Inoo descendit de l'arbre, une nouvelle sensation en lui, il voulait savoir, il voulait retrouver la mémoire quitte a se rendre lui même a la police si son enquête le menait a la conclusion qu'il était le tueur. Inoo était déterminer.

Il prit une direction au hasard et marcha jusqu'à la grande ville, une pancarte indiquait Tokyo. Il pénétra dans la ville se procura un masque et des vêtements de rechanges, il avait soif de connaissance. Il se découvrit un sens de l'orientation, sa mémoire semblait vouloir refaire surface ses pas le menèrent dans une rue cossue. Le bâtiment qui faisait l'angle était un sauna il y entra et y prit un bain mangea a sa faim et fila a l'anglaise. Ses pas le menèrent deux pâtés de maison plus loin a un commissariat, il y entra sur que personne ne le reconnaitrait, car seulement ses yeux était visible et ses vêtement en état de nouveau habillement volé au sauna. Il s'installa dans la salle d'attente. Des personnes se trouvaient a ses côté, elles empestaient l'alcool. Une télé tournait sur une chaine local d'information. Inoo y prêta l'oreille lorsqu'il entendit parler de sa famille. De nouveaux les images défilèrent sous ses yeux, de nouvelles y était ajouté celle de la forêt et ils passèrent un interview qui avait mal tourné de son père. L'homme parlait une certaine émotion dans la voie lorsqu'il reçu une tomate a la figure. Un jeune homme s'approcha et lui murmura quelque chose a l'oreille inaudible. Le jeune homme se retourna face a la caméra il s'agissait du même jeune homme que dans la forêt, il semblait avoir prit quelques années, les cernes qui entourait ses yeux le vieillissait. Inoo fut prit de violent maux de tête, il avait tellement mal que son souffle s'accéléra, lorsqu'il fermait les yeux il revoyait des scènes de son passé surement, mais c'était douloureux. Dans toutes ses scènes même visage, celui de ce jeune homme, il souffrait énormément la douleur lui tiraillait le crâne a un tel point qu'un des policiers s'approcha de lui et lui proposa son aide. Inoo se releva et poussa le policier en assurant que tout allait bien il regarda une nouvelle fois l'écran. L'homme fixait la caméra comme s'il le fixait directement. Inoo se devait de trouver cette homme pour en savoir plus il fait parti de son passer. Inoo sortit du commissariat et laissa ses pas le guidé a nouveau. Il erra ainsi plusieurs semaine dénichant de la nourriture sur les marchés, de l'eau dans des récipient après la pluie. Il cherchait un moyen de trouver l'homme dont le nom figurait en gros titre des journaux « Hikaru Yaotome » Il avait annoncé publiquement que le père de Inoo était responsable de tout et que s'il retrouvait le jeune homme en vie il pourrait le prouver. CE nouveau problème avait freiner Inoo, car il ne se souvenait de rien mis a part des bribes de conversations, des éclat de rire et plus récemment des baisers échanger avec cet Hikaru. Au bout de quinze jours Inoo fit une rechute persuadé de sa culpabilité il se morfondit devant des fenêtre de maison ou des familles semblaient heureuses.

C'était un soir d'orage, un soir d'orage comme jamais les Tokyoïtes n'en avaient connus. Les éclairs fusaient de toutes part, la pluie tombait abondamment. Les passants avaient disparut des rues, les voitures étaient rare. Un avis de tempête avait été déclaré sur l'archipel.

Seulement, au milieu de cette ville de lumière habituellement si rempli, marchait un jeune homme dont le cœur reflétait ce temps si triste et si peu chaleureux. Inoo déambulait dans les rues, il ne faisait plus attention a la pluie qui lui tombait dessus. Il passa devant plusieurs maison des quartiers riche où les familles se réchauffaient au coin du feu, tous ensemble, unis. Le jeune homme continua a marcher et releva la tête devant une des ses maisons. A l'intérieur, via une baie vitré il pu apercevoir une famille au complet. Un père dont les cheveux poivres et sel étaient surmontée d'une casquette de baseball lisait tranquillement un journal. Deux marmots se couraient après, une fille et un garçon, il se demandait si Lulu et lui avait un jour été comme cela, tournant autour du père qui de temps a autres relevait la tête en souriant. Puis vint une femme au cheveux longs les bras chargé d'un succulent repas. Le jeune homme observait cette famille uni, il aurait voulu les rejoindre, rire, jouer, manger avec eux. Mais la vitre était là lui barrant le passage. Il n'avait pas le droit a une famille comme celle-ci, il n'en aurait jamais plus jamais. Il avait tuer la sienne. Inoo en était maintenant convaincu. Il se laissa tomber contre le portail en fer de la maison ses fesses touchèrent le sol trempé il était frigorifié. Il se laissa sombré, demain on le trouverait on l'arrêterait tous serait finit.

« Inoo! Inoo! » Quelqu'un l'appelait pas son prénom, on lui frappait les joues doucement, il faisait bon, il était au sec. Mais il n'osait pas ouvrir les yeux de peur de reconnaître le commissariat. Cette personne en tout cas lui confirmait bien une chose: Il était Inoo Kei.

« Abruti si t'ouvre pas les yeux » la voie se fit menaçante et une gifle bien plus forte que les autres vint s'écraser sur la joue du jeune homme. Il ouvrit les yeux prêt a riposter mais il se retint au dernier moment son vis-à-vis n'était autre que Hikaru Yaotome, les yeux gonflés. Avait-il pleuré? Aussi vite qu'il ne le faut pour le dire Hikaru serra Inoo dans ses bras lançant des injures a tout vas. Il écarta de nouveau le pauvre Inoo, toujours perdu. Bien qu'il ai eu des flash sur le jeune homme rien ne l'avais prévenu sur le camp qu'occupait le jeune, était-il une connaissance de longue date? Un inconnu? Ou bien un ennemi feignant la gentillesse? Hikaru le regardait il entama une partit de question réponse ou les question étaient plus nombreuses qu'autres chose. Il demanda notamment trois fois si Inoo se sentait bien, ce dernier hocha de la tête il ne répondait que par oui ou non, la présence de cet homme si prés de lui, lui faisait bizarre. Il semblerait que même si la mémoire intellectuel ne se souviens de rien celle du corps se souviens de tout. Hikaru enchainait les questions aussi vite que sa langue le lui permettait, Inoo comme un reflex vint poser la main sur la joue du jeune homme se qui eu pour effet de rassurer les deux partis. Un silence vint planer les deux se regardaient dans les yeux mais plus le temps passait plus Hikaru semblait comprendre. Il retira la main de Inoo et passa la sienne dans les cheveux du jeune homme, un geste affectif qu'il n'avait pu faire depuis si longtemps. Mais quelque chose clochait Inoo ne réagissait pas comme a son habitude.

Inoo sentit la main de Hikaru passer sur la croute de la blessure responsable de sa perte de mémoire. Il put lire de suite de l'inquiétude dans les yeux de cet homme qui le connaissait depuis longtemps apparemment.

« I-noo, articula avec difficulté Hikaru, ne me dit pas que c'est toi qui...? C'est pas que je doute de toi mais tu comprend je soutiens tout le monde depuis ta disparition que c'est ton père... et … je ne veux pas qu'on t'enlève a nouveau de moi...tu comprend? Est-ce en attaquant ou en te .. défendant que tu t'es fait ça? Il faut que tu m'aide a comprendre » Demanda-t-il en passant une nouvelle fois sa main sur la blessure. Inoo pouvais lire de la crainte dans le regard du jeune homme, il s'était battu pour lui, mais malheureusement il ne pouvait l'aider. Il retira la main du jeune homme et hocha négativement de la tête. Il se sentait tellement désolé, et ne pas se souvenir lui faisait affreusement mal surtout vis-à-vis de ce jeune homme qu'il ne reconnaît que de quelques vague souvenirs encore flou sans signification, dénué de contexte, en somme il ne se souvenait pas de lui, de ses amis, de sa famille, de ses actes rien, il était devenu un inconnu a lui même. Hikaru le regardait toujours sans comprendre, Inoo serra la main du jeune homme et se mît involontairement a pleuré, la fatigue? Ou alors son ancien lu voudrait-il ressortir? Il n'en savait rien, il ne se souvenait de rien et vu la douleur que lui ont fait quelques souvenirs en revenant a quoi bon chercher le reste. Une des gouttes alla s'écraser sur la main de Hikaru. Ce dernier ne comprenant toujours pas, était prêt a suivre Inoo jusqu'au bout du monde. Ni une ni deux il releva le menton de Inoo et cella leurs lèvres en un baiser. Inoo fut surpris, mais cette douceur, cette chaleur il l'a connaissait il l'avait déjà ressenti au paravent. Plus il cherchait plus il avait mal il souffrait, sa tête entrait a nouveau en ébullition, de nouveau flash arrivait lorsqu'il fermait les yeux, des enfants se tenant la main. Il devait re-ouvrir les yeux pour ne pas se laisser emporter par la douleur, des vagues de chaleur affluait en lui et si la solution était de fermer les yeux et si il se laissait emporter tous ses souvenirs revenait? Il ferma les yeux, de nouveaux flash vinrent éclairer le noir, une petite fille, plus vieille un sourire d'ange et un petit garçon couverts de bleu et sentiment de tristesse et d'envie. Il re-ouvrait les yeux, il avait peur de se souvenir peur de découvrir la réalité peur de se souvenir de sa famille et de découvrir qui de lui ou son père les a tué...

Inoo n'entendait plus les bruits extérieurs, Hikaru s'agitait, Inoo murmurait des mots, des phrase incompréhensible il était en transe il luttait, qu'avait-il? Il porta son ami jusqu'à la cuisine pris de l'eau glacé et lui jeta a la figure. Il y eu un moment de doute, avait-il fait une connerie? Inoo ne bougea plus il était soutenu par Hikaru et tentait de reprendre son souffle entre deux expirations bruyante il tenta de prononcé un désolé, Hikaru n'en compris pas le sens, il remonta le jeune homme dans sa chambre et l'installa dans le lit et lui demanda de dormir, a ses mots Inoo se releva, i ne voulait pas dormir pas après une crise comme celle-là. Il s'était souvenu de quoi au juste, de deux gamins qui ne lui disait absolument rien, a cette vitesse sa mémoire ne lui reviendrait pas avant longtemps. Hikaru resta a côté de lui sans comprendre puis il eu une révélation : « Inoo il t'es arrivé quelque chose tu est bizarre? » le concerné avait peur de répondre, peur de décevoir, il s'enfouit dans les couvertures.

« Tu sais Inoo, tu peux tout me dire je peux entendre la vérité tu sais, j'ai l'impression que tu ne me fait plus confiance j'aimerai savoir ce qu'il s'est passer là-haut... bon je vais y aller bonne nuit ». Un poids s'enleva du lit, mais Inoo ne l'entendait pas de cette oreille il attrapa le poignet de Hikaru et prit une grande bouffé d'aire et se mit a raconter « Je suis désolé je ne me souviens de rien, pour te, enfin vous dire je doute encore de mon propre nom, lorsque je me suis réveillé je baignait dans le sang en compagnie de deux filles que je ne connaissait ni d'Ève ni d'Adam, enfin c'est ce que je pensais. » Inoo reprit sa respiration et continua sur sa lancée « quand je me suis réveillé j'avais dans les mains une armes, un pistolet j'ai prit peur, je ne savais ni qui j'étais, ni pourquoi j'étais là ni même où j'étais. J'ai couru jusqu'à un village et je me suis vu a la télé et c'est là que j'ai su mon nom. Je ne me souviens de rien de plus. Je suis désolé Monsieur Yaotome. » Inoo se mit a pleurer, Hikaru n'en croyait pas ses oreilles « tu ne te souviens pas du tout de moi? Pourquoi tu ne me l'a pas dit ?

-j'avais peur de votre..de ta réaction, a vrai dire j'ai eu quelque flash en te voyant a la télé et se soir.

-Tu t'es souvenu de quoi?

-Que des détails, toi et moi on parlait de choses, on jouait tu me chatouillait et.... tu m'embrassais. Mais a chaque fois il se passe une crise comme celle de tout a l'heure et et et, Inoo éclata en sanglot, j'ai peur de me souvenir peur d'apprendre que je les ai tué même le faite de me rendre compte de la culpabilité d'un des membres de ma famille me fou les jetons.. »

Depuis la première fois depuis son réveille Inoo faisait part de toutes ses inquiétudes a quelqu'un. Il se lâchait et cela faisait du bien. Hikaru revint et le pris dans ses bras, il murmurait des mots rassurant, réconfortant, et donnait de léger baiser sur le front de Inoo, tout en le berçant. « Ne t'en fais pas, je te protégerais en attendant que tu te souvienne ».

Épuiser, Inoo s'endormit contre le torse de Hikaru. Ce dernier avait peur, peur pour Inoo, peur pour la suite des événements, si Inoo se rappelait de tous il souffrirait plus que quiconque surtout si le fin mot de l'histoire est un matricide. Pour le moment le jeune homme ne se souviens pas des liens qu'il avait avec sa famille mais s'il s'en souviens et qu'il se rend compte de la mort de sa mère et sa sœur il ne s'en remettrait pas...Hikaru éteignit la lumière.

Le lendemain Inoo se réveilla au aurores, la rencontre avec Hikaru le faite de se confier a quelqu'un lui faisait le plus grand bien il était prés a nouveau a affronté ses souvenirs. Ils descendit les escaliers et arriva dans la salle ou de la poussière flottait abondamment. Hikaru était a quatre patte entrain de fouillé dans un vieux meuble poussiéreux. Inoo s'approcha soufflant pas inadvertance dans le cou de Hikaru qui fut traversé d'un frisson. « Tu fais quoi?

-Je cherche des choses qui te ferai te souvenir de moi, mais j'ai peur de te faire souffrir comme l'autre jour »

Inoo observa son vis-à-vis qui maintenant était assis sur le sol. Hikaru releva la tête et attira Inoo contre lui.

« C'est a toi de décider si le jeu en vaut la chandelle... Inoo »

Inoo se sépara de Hikaru et lança un regard décidé, il voulait se souvenir, pour lui mais aussi pour sa mère, sa sœur et pour Hikaru.

Les deux jeunes hommes ouvrirent un album photo, Hikaru raconta l'histoire de chacune d'entre elle, certaine firent rire Inoo mais aucune ne lui provoqua de quelconque souvenir. Ils passèrent la mâtiné a essayer de raviver la mémoire de Inoo a l'abri des regards indiscrets. Inoo se sentait de plus en plus mal plus le temps passait plus il voyait Hikaru perdre espoir et cela lui faisait peur et mal a la fois. Il ne voulais pas rendre Hikaru plus triste qu'il ne l'étais déjà quelque chose au fond de lui lui interdisait de blesser cet homme.

« Et ta famille elle ne s'inquiète pas pour toi?

-Ma famille s'était la tienne

-On est frère??? Paniqua Inoo

-Non, non j'ai perdu mes parents jeunes et mes parents et les tiens se connaissait beaucoup, ils m'on donc élevé en même temps que toi et Lulu.

-C'était quoi le nom complet de Lulu?

-Un nom Français : Lucienne, mais apparemment en France c'est pas a la mode alors Lulu s'était rebaptisé...

-C'était quoi votre relation?

-Amis, bien que se fussent la première et la dernière femme que j'ai aimé »

Un silence ce fut, le corps de Inoo se mit a réagir tout seul, Inoo sentit de nouveaux flash accompagner d'un sentiment de jalousie, de tristesse et des larmes. Hikaru l'observa. Inoo luttait toujours, finalement il avait toujours aussi peur d'essayer de se laisser aller. Les flashs s'arrêtèrent mais Inoo continua a pleurer, pour éclater en sanglot. Hikaru le consola en lui demanda de quoi s'était-il souvenu, le jeune homme lui répondit qu'il l'avais vu aux bras de Lulu et que ses yeux s'étaient mit a le bruler laissant échapper des larmes. Hikaru resera son emprise annonçant que s'en était finit pour aujourd'hui. Les jours passèrent et Hikaru arrivait tant bien que mal a faire remonter quelques souvenirs a Inoo. Mais rien de concluant, il se souvenait de quelque uns de ses anniversaires, de choses et d'autres concernant Hikaru apprise a ses dépends. Il se souvenait un peu de sa famille, il sentait bien que plus les souvenirs de cette dernière allait lui revenir plus il se sentirait triste. Il se bloquait toujours ne voulant pas tout découvrir surtout pas. Il avait peur, peur de décevoir Hikaru, peur de lui apprendre qui était le meurtrier. Hikaru partait tous les soirs chercher a manger, de temps en temps lorsqu'il faisait un peu froid et que porter une écharpe ne faisait pas discret il acceptait que Inoo sorte. Cela faisait maintenant deux mois qu'ils cohabitaient, les effets de la thérapie étaient bien là. Inoo souffrait, le soir il faisait des cauchemar pleurait et lorsque cela arrivait Hikaru le veillai. Ce dernier ne dormait plus beaucoup regrettant presque de faire souffrir autant Inoo, mais dans un sens s'était pour son bien, pour qu'il puisse vivre a l'aire libre et non confiné dans une maison. Quand a l'enquête sur le double homicide, elle stagnait des emprunte de pas et de cheveux n'appartenant a aucun membre de la famille avaient été retrouvé, les passages télévisé du père de Inoo se faisait de plus en plus rare. Bientôt les emprunte et les cheveux trouvèrent propriétaire des yakuza de la région furent arrête, le père de Inoo disparut totalement des écrans. L'affaire faisait de moins en moins de bruit.

Puis une nuit, Inoo fit un cauchemar, persuadé que son rêve était ses derniers souvenirs de ce fameux soir. Il s'était vu tuer de sang froid sa sœur et sa mère. Debout dans cette forêt. Il s'enferma dans sa chambre . Au matin Hikaru vint le réveiller pour qu'ils aillent se balader, il tenta d'ouvrir la porte mais cette dernière ne céda pas. Pris de panique et n'ayant aucune réponse, il descendit en quatrième vitesse les escaliers de sa propre maison, fit irruption dans l'ancienne maison de la famille Kei, maintenant habité pas un couple de bourgeois avare de tout. Ils s'appelaient M.et Mme Kazunori. Les Kazunori déjeunaient lorsque leur porte d'entrée s'ouvrit a la volée et qu'une tornade monta au deuxième étage. Hikaru grimpait quatre à quatre les escaliers et entra dans l'ancienne chambre de Inoo, seul pièce resté intacte. Ses nouveaux voisins n'avait pas encore eu le temps de s'en occupé. Il ouvrit la fenêtre et vit avec soulagement que celle de sa chambre (prêtée a Inoo) était resté ouverte. Il attrapa la planche qu'il avait fabriqué pour l'occasion, Inoo l'avait utilisé une ou deux fois pour lui rendre visite quand ils étaient jeunes. Il mît en place la planche et traversa. Inoo était recroquevillé sur le lit, comme la dernière fois, comme le matin de sa perte de mémoire. Il ne bougeait pas, mise a part de légères secousses de temps a autre. Hikaru se précipita sur le lit, Inoo avait son casque sur les oreilles. Hikaru eu seulement le temps d'apercevoir des larmes avant de se faire éjecter du lit. Il se releva sans comprendre.

« va-t'en ! Ne t'approche pas je, je suis...-il éclata en sanglot- un tueur ».

Hikaru fut poignardé, il ne comprenais pas.

« De quoi tu parle, Inoo? » Il tenta une nouvelle approche mais sa main fut chasser.

« VA-T'EN JE TE DIT! ». Hikaru observa son ami, il paraissait si faible, cela ne pouvais être vrai. Il décida de s'éloigner le temps que Inoo se calme. Il fit demi-tour, il ne voulais pas y croire. Il déverrouilla la porte pris la clé, se dirigea vers la fenêtre la ferma. Puis il sortit de la chambre lançant la clé sur Inoo. « Je te fais confiance ne recommence pas ce genre de connerie ». La porte se referma, les deux êtres de chaque côté était tout aussi perdu l'un que l'autre.

La journée passa doucement mais surement, Inoo resta dans la chambre. Hikaru, lui passait de temps a autre. Il partit s'excuser au près de ses voisin, le maitre de la maison lui mit un coup de poing magistrale. Hikaru n'y fit pas attention il réfléchissais sans cesse a Inoo et au meurtre d'une partie de sa famille, qu'avait-il omis dans son récapitulatif, tout portais a croire que Inoo était innocent. En effet, Hikaru avait mener sa propre enquête, les Yakuza n'avait pas agît seul, s'était sur l'ordre de quelqu'un, il avait passer une bonne partie de la matinée et de la veille de cette macabre journée, Inoo n'aurait pas put prévenir des Yakuza dans le but de tuer ses parents et continuer de sourire. Il en était incapable. L'incroyable coïncidence entre l'arrêt de la diffusion des plaintes de M.Kei et l'arrestation des Yakuza. Tout concordait dans une seule et même direction. Hikaru prit une résolution, il revint chez lui, monta dans sa chambre enlaça Inoo, qui se plaignit lui ordonnant de le lâcher et il s'en alla. Il quitta sa maison et prit la direction du commissariat le plus proche, il y pénétra et posa violemment la main sur le bureau du chez de la police.

« Je viens pour vous annoncer ma collaboration, Hikaru Yaotome, Je vous annonce l'ouverture de mon agence de détective, je vous pris de me faire pars des enquêtes irrésolues de la région »

Si la police n'arrivait pas a le coincer il le ferai lui-même, en s'engageant dans les rangs des Détectives. Il était sûre de lui, il ne manquait plus que des preuves. Il ferait les siennes face a de petites affaires et gagnerait le droit de participer a l'enquête sur le meurtre de Lulu et sa mère. Il prouverai l'innocence de Inoo, pour Inoo il le ferai.

mini-mc

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