... sur une affiche de "chat perdu."
Nope, j'avais pas le goût d'être chienne à soir. Mais quand même, "Je m'appel Fripouille"? J'ai eu un p'tit frisson.
Au fait, j'ai vu l'affiche en revenant d'une soirée de lecture chez
Lubu, mon nouvel grand amour. Sérieusement, si on pouvait se marier à un café, ce serait celui-ci sans doute. Un café-librairie indépendant qui se spécialise en littérature québécoise et où on peut se faire servir en français ainsi qu'en LSQ. Quoi demander d'autre?
Peut-être une soirée de lecture avec Patrick Senécal (le "Stephen King québécois")?
J'avoue, je l'ai juste connu à cause de son scénario pour Sur le Seuil, qui était bon en maudit, mais de toute évidence le produit d'un esprit tordu, rien qu'un peu. De toute façon, j'ai bien aimé le film (qui était basé sur son roman du même titre), et c'était deux de mes amies qui allait être les interprêtes de la soirée, donc par curiosité et solidarité j'y suis allée.
Mon Dieu, qu'il était ben donc normal! Un père de famille, assez jeune, qui n'est point beau mais très charmant, qui écrit des romans d'horreur parce qu'il aime ça et parce qu'il est bon, mais qui aimerait autant écrire un roman comédique un jour. J'étais presque déçu. ;c)
Il a lu un chapitre de son nouveau roman (interprêté à merveille, chapeau Caro et Julie!) est ensuite a répondu aux questions du public (paraît qu'on peut s'attendre à une version américaine de Sur le Seuil - j'espere qu'il serait potable!) et signé des livres.
J'ai acheté Aliss, qu'il a décrit comme 'Alice au Pays des Merveilles, mais hard-core.' Je sais pas pour le 'hard-core,' mais jusqu'au point où j'en suis, il est crissement bon, et j'ai presque pas pu le laisser le temps de faire ce poste. Mais le devoir règne... ;c)
Ok, je reviens au livre!
As the title says, it's not nice to correct the spelling on a lost-cat poster. Which is why I didn't, since I didn't feel the need to be mean this evening. But still, 'Je m'appel Fripouille'? Roughly equivalent to 'My nam iz.' Sent shivers up my spine.
Anyway, I saw the poster as I was coming home from an author's reading at
Lubu, the new love of my life. Seriously, if you could marry a café, I'd marry this one without a doubt. An independent bookstore-café which specializes in québécois lit, and where you can be served in French or in LSQ. What more could a girl ask for?
Well, maybe an author's reading with Patrick Senécal (the "québécois Stephen King")?
I admit, I only knew him for his screenplay for Sur le Seuil ('On the Threshold,' more or less), which was bloody good, but clearly the product of a deranged mind. Anyway, I really liked the film (which was based on his novel of the same name), and the interpreters for the evening were two of my friends, so out of curiosity and solidarity, I went.
My God, he was normal!!! A youngish family guy, not handsome but quite charming, who writes horror stories because he likes it and because he's good at it, but who would just as soon write a humorous novel one day. I was almost disappointed. ;c)
He read a chapter or so of his newest book (masterfully interpreted, bravo Caro and Julie!), then answered questions from the audience (apparently there's an American version of Sur le Seuil in the works - hope it's decent!) and signed books.
I bought Aliss, which he described as 'Alice in Wonderland, but hard-core.' Not sure about the 'hard-core,' but as of where I am now in the book, it's damn good, and I had a hard time putting it down long enough to post. But duty called...
Ok, back to my book!