Bénie soit l'ignorance.
La citation approximative serait "Heureux les innocents le royaume des cieux leur est ouvert (offert?)" . Les innocent sont ignorants.
L'ignorance est mon alliée. Si tu ne sais pas qu'il y a un problème, alors il n'y a pas de problème. Parceque le problème n'existe qu'à partir du moment ou tu décide de valider son existence. Et moi, je ne valide pas. Parceque soyons réalistes, la plupart des problèmes finissent par s'évanouir si on leur laisse suffisament de temps. Et moi, j'ai gagné en tranquilité, et en insouciance. Sauf qu'à partir d'un moment, les problèmes finissent par etre tellement énormes qu'il est impossible de les ignorer. Ce serait comme appercevoir une gigantesque tornade à l'horizon mais décider de ne pas la voir en espérant qu'elle s'évanouisse avant de vous atteindre. Suicidaire. Or si je suis insouciante, je ne suis pas (encore) sucidaire. Et lorsque vous cessez de faire l'autruche, c'est comme si le ciel vous tombait sur la tete.
Ma situation actuelle est une espèce de chaos sans fin où chaque fois que je crois avoir sortit la tête de cette fichue tornade, le ciel me tombe à nouveau sur la tête. Alors je pleure.
Puis je ris. Parceque je suis : un ascenceur. Emotionel s'entend. Capable de passer de l'euphorie la plus incontrolable à une tempeteuse crise de larmes inendiguables par la simple force de contigences materielles ou humaines que je suis incapable de soumettre à ma volonté. Ni même d'ignorer. Je suis l'ascenceur en lui même. la tour de la terreur pour être plus précise.
Je suis : épuisée. Donc sujette à ce jeu de variabilité. Bon, vous pourriez objecter que je suis toujours fatiguée, donc toujours instable émotionellement. Et vous n'auriez pas tord. Mais c'est pas le propos.
Alors je suis: obligée de ne plus faire l'autruche. il faut que j'accepte les problèmes. Jusque là je peux le faire. j'veux dire prendre conscience du problème finalement c'est fastoche. Tu regarde la réalité en face, tu te rend compte tu es vraiment -mais vraiment- en galère. Que tu ne sais pas comment tu va pouvoir t'en sortir. Tu es submergée par la monstruosité des choses à entreprendre pour te sortir de là. Et finalement tu pleure. Bon, ça demande un peu d'entrainement lorsque tu es vraiment habituée à enfouir ta tête dans le sable mais ça s'apprend assez vite.
Mais le pire est à venir. Après, il faut... Assumer. Si, si... Genre, faire en sorte de résoudre le problème. Nan mais sérieux... Moi, résoudre un problème, ça veut dire attendre qu'il s'en aille. je crois, très honnetement que j'en suis juste : Incapable. Alors quoi? j'en sais rien. je sais plus. Mon raisonnement ne veut pas pousser plus loin. Ce que je sais, c'est que ce que j'ignore ne peut pas me faire de mal. Advienne que pourra.
(Si je résume je suis donc : un ascenceur épuisé incapable de ne pas faire l'autruche.... charmant.)
F. dit "c'est un trou noir ça arrive à tout le monde. il y a toujours la lumière au bout du tunnel." C'est niais, c'est stupide, convenu, banal et cruellement utopiste, mais j'ai envie d'y croire. Parce que je suis une incorrigible utopiste sous mes faux airs de balsée cynique? Parceque c'est mignon. Surtout venant de lui. D'ailleurs, il est mignon. Malgrè lui, mais il l'est. Il fait peur, mais il l'est.
M S A dit "il faut que tu arrète de prendre tout à coeur comme ça. De t'investir autant émotionellement". ça non plus je sais aps faire. Tant pis.
Cette note ne va nulle part. j'avais juste besoin d'écrire un peu. j'aimerais récupérer le net assez vite parceque le cyber café coute cher, et que je n'ai aps le temps de passer sur les différents blogs/facebook, prendre des nouvelles des gens.
Bye Bye mes petits camarades, portez vous bien.
L'ignorance est mon alliée. Si tu ne sais pas qu'il y a un problème, alors il n'y a pas de problème. Parceque le problème n'existe qu'à partir du moment ou tu décide de valider son existence. Et moi, je ne valide pas. Parceque soyons réalistes, la plupart des problèmes finissent par s'évanouir si on leur laisse suffisament de temps. Et moi, j'ai gagné en tranquilité, et en insouciance. Sauf qu'à partir d'un moment, les problèmes finissent par etre tellement énormes qu'il est impossible de les ignorer. Ce serait comme appercevoir une gigantesque tornade à l'horizon mais décider de ne pas la voir en espérant qu'elle s'évanouisse avant de vous atteindre. Suicidaire. Or si je suis insouciante, je ne suis pas (encore) sucidaire. Et lorsque vous cessez de faire l'autruche, c'est comme si le ciel vous tombait sur la tete.
Ma situation actuelle est une espèce de chaos sans fin où chaque fois que je crois avoir sortit la tête de cette fichue tornade, le ciel me tombe à nouveau sur la tête. Alors je pleure.
Puis je ris. Parceque je suis : un ascenceur. Emotionel s'entend. Capable de passer de l'euphorie la plus incontrolable à une tempeteuse crise de larmes inendiguables par la simple force de contigences materielles ou humaines que je suis incapable de soumettre à ma volonté. Ni même d'ignorer. Je suis l'ascenceur en lui même. la tour de la terreur pour être plus précise.
Je suis : épuisée. Donc sujette à ce jeu de variabilité. Bon, vous pourriez objecter que je suis toujours fatiguée, donc toujours instable émotionellement. Et vous n'auriez pas tord. Mais c'est pas le propos.
Alors je suis: obligée de ne plus faire l'autruche. il faut que j'accepte les problèmes. Jusque là je peux le faire. j'veux dire prendre conscience du problème finalement c'est fastoche. Tu regarde la réalité en face, tu te rend compte tu es vraiment -mais vraiment- en galère. Que tu ne sais pas comment tu va pouvoir t'en sortir. Tu es submergée par la monstruosité des choses à entreprendre pour te sortir de là. Et finalement tu pleure. Bon, ça demande un peu d'entrainement lorsque tu es vraiment habituée à enfouir ta tête dans le sable mais ça s'apprend assez vite.
Mais le pire est à venir. Après, il faut... Assumer. Si, si... Genre, faire en sorte de résoudre le problème. Nan mais sérieux... Moi, résoudre un problème, ça veut dire attendre qu'il s'en aille. je crois, très honnetement que j'en suis juste : Incapable. Alors quoi? j'en sais rien. je sais plus. Mon raisonnement ne veut pas pousser plus loin. Ce que je sais, c'est que ce que j'ignore ne peut pas me faire de mal. Advienne que pourra.
(Si je résume je suis donc : un ascenceur épuisé incapable de ne pas faire l'autruche.... charmant.)
F. dit "c'est un trou noir ça arrive à tout le monde. il y a toujours la lumière au bout du tunnel." C'est niais, c'est stupide, convenu, banal et cruellement utopiste, mais j'ai envie d'y croire. Parce que je suis une incorrigible utopiste sous mes faux airs de balsée cynique? Parceque c'est mignon. Surtout venant de lui. D'ailleurs, il est mignon. Malgrè lui, mais il l'est. Il fait peur, mais il l'est.
M S A dit "il faut que tu arrète de prendre tout à coeur comme ça. De t'investir autant émotionellement". ça non plus je sais aps faire. Tant pis.
Cette note ne va nulle part. j'avais juste besoin d'écrire un peu. j'aimerais récupérer le net assez vite parceque le cyber café coute cher, et que je n'ai aps le temps de passer sur les différents blogs/facebook, prendre des nouvelles des gens.
Bye Bye mes petits camarades, portez vous bien.