Une semaine et un jour
Une semaine et un jour, c'est le temps depuis lequel je suis assistante des bibliothèques. Cette semaine, c'était aussi ma première semaine complète. J'avoue que j'ai commencé à accuser la fatigue jeudi soir, mais le rythme se prend peu à peu. Je découvre chaque jour un peu plus mon nouveau métier, sans angoisse ni déprime, au contraire. Tout se fait en douceur, et si j'ai un problème je peux toujours me tourner vers l'une ou l'autre de mes collègues. Je me sens bien.
Bon, certains aspects du métier me plaisent plus que d'autres : par exemple, ranger tous les matins les rayonnages pourra peut-être me sembler à la longue un peu fastidieux, tout comme l'équipement des livres (les couvrir, les étiqueter...). Mais c'est quand même loin d'être accablant ! Et à côté de ça, j'aime être au contact du public, assurer les prêts, les retours, essayer de renseigner au mieux. Ce qui m'intéresse beaucoup aussi, ce sont les animations, les projets, mais ça je n'ai bien sûr pas trop encore eu l'occasion de m'y plonger. Ça va venir !
En tout cas, je pars travailler le matin le cœur léger, et je découvre avec plaisir le bonheur de rentrer chez soi en n'ayant rien à faire. Le travail se fait à la bibliothèque (on peut éventuellement rapporter un peu de lecture, mais ce n'est pas pareil !). Heureusement, d'ailleurs, car la seule ombre au tableau est le temps de transport. J'en ai pour environ 1h, ce qui n'est pas non plus le pire que j'aie connu, mais quand on finit à 18h30 la soirée se retrouve vite bien entamée. Pour raccourcir un tant soit peu ce temps de trajet j'essaie de remplacer le bus par le vélib, mais c'est un peu aléatoire : on ne trouve parfois pas de vélo du tout, ou alors des vélos avec des pneus à plat, des pédales qui manquent, et même des cadres pliés. Il vaut donc mieux avoir un plan B...
Du côté de l'écriture, ça avance donc forcément à petits pas. Je profite de la pause déjeuner pour avancer dans la lecture de La Dramaturgie, de Lavandier. Le soir, je n'ai pas vraiment la possibilité de le faire, à moins de sacrifier le temps passé en amoureux. J'envisagerai peut-être une autre organisation quand je serai de nouveau en phase d'écriture. L'envie est là, en tout cas... Il faut dire que je vis au beau milieu des livres, maintenant !
Bon, certains aspects du métier me plaisent plus que d'autres : par exemple, ranger tous les matins les rayonnages pourra peut-être me sembler à la longue un peu fastidieux, tout comme l'équipement des livres (les couvrir, les étiqueter...). Mais c'est quand même loin d'être accablant ! Et à côté de ça, j'aime être au contact du public, assurer les prêts, les retours, essayer de renseigner au mieux. Ce qui m'intéresse beaucoup aussi, ce sont les animations, les projets, mais ça je n'ai bien sûr pas trop encore eu l'occasion de m'y plonger. Ça va venir !
En tout cas, je pars travailler le matin le cœur léger, et je découvre avec plaisir le bonheur de rentrer chez soi en n'ayant rien à faire. Le travail se fait à la bibliothèque (on peut éventuellement rapporter un peu de lecture, mais ce n'est pas pareil !). Heureusement, d'ailleurs, car la seule ombre au tableau est le temps de transport. J'en ai pour environ 1h, ce qui n'est pas non plus le pire que j'aie connu, mais quand on finit à 18h30 la soirée se retrouve vite bien entamée. Pour raccourcir un tant soit peu ce temps de trajet j'essaie de remplacer le bus par le vélib, mais c'est un peu aléatoire : on ne trouve parfois pas de vélo du tout, ou alors des vélos avec des pneus à plat, des pédales qui manquent, et même des cadres pliés. Il vaut donc mieux avoir un plan B...
Du côté de l'écriture, ça avance donc forcément à petits pas. Je profite de la pause déjeuner pour avancer dans la lecture de La Dramaturgie, de Lavandier. Le soir, je n'ai pas vraiment la possibilité de le faire, à moins de sacrifier le temps passé en amoureux. J'envisagerai peut-être une autre organisation quand je serai de nouveau en phase d'écriture. L'envie est là, en tout cas... Il faut dire que je vis au beau milieu des livres, maintenant !