Auto-prompt : Cette phrase traduite de la fic
Given in Evidence de
verityburn, dans sa traduction par
Falyla (
given in evidence chap 3) m’a frappée. Je ne suis pas ravie du résultat, mais ça voulait sortir... peut être que j’arriverai à en faire quelque chose de plus travaillé/plus long un jour (mais je ne suis pas la spécialiste de la disséquation des sentiments et des actes...) “Je croyais qu'elle était l'amie que vous ignoriez tous les deux, pour être honnête, fit remarquer John. Sauf quand ça t'arrange, évidemment.”
Disclaimer Tout appartient à leurs créateurs : les personnages et l’univers à Sir Arthur Conan Doyle, je me situe plus dans l’univers contemporain de BBC sherlock, la phrase initiatrice est de verityburn sous la plume de sa traductrice, Falyla
(si quelqu'un a une meilleure idée de titre ^^)
Longueur : 124 mots
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trois. Trois amis, Trois cibles.
un. Un Sociopathe et non un psychopathe.
Lui. Le vrai psychopathe.
John. Celui qui l’avait fait changer? Celui qui l’avait accepté.
Lestrade. Celui qui le soutenait? Celui qui le faisait bouger.
Mme Hudson. Celle qui les protégeait. Celle qu’ils voulaient tous protéger.
Et elle? Elle avait un rôle ignoré, un rôle qui n’apparaissait pas vraiment dans le jeu qu’ils jouait tous deux. Elle tanguait entre deux pôles, deux positions. Oscillante, Ignorée, ou protégée. Entre deux. Partagée par ce qu’elle savait et par ce qu’ils savaient, émotion et déductions liées.
Elle était l’amie qu’ils ignoraient tous deux, ou la complice de l’un et de l’autre. Celle par qui le malheur arrive et celle qui fait tout pour connaître et aider.