Barcelone, son marché, ses canards
L'entrée du marché
Et ça s'étale 10 fois plus que ça
Les épices
Emilie et le mime. En vrai il y en avait partout, rarement les mêmes, avec des costumes plus ouf les uns que les autres. Sur les ramblas, à côté de l'auberge de jeunesse, il y en avait un devant lequel on passait tous les jours, parfois homme/journal, parfois diable/méchant de la menace fantôme...
On a passé beaucoup, mais beaucoup de temps à imiter les canards, à Barcelone (allez savoir pourquoi...). Mais là, je crois que ce n'était même pas le cas. C'est pas possible, ça devait être un signe avant courreur. Remarquez la grande prétrêsse Buenedicty et son élève malabile Nonolita.
Pour bien réussir son imitation du canard, le secret de la grande prêtresse, un bain de pieds histoire de ressentir l'"esprit canard" entrer en elle (encore heureux qu'elle n'ai pas imité la danse de l'autruche, très répandue parmis les canards barcelonais...)
Admirée, de loin, par Emilie, disciple nouvellement arrivée.
L'imitation était tellement réussie que les gars du coin ont voulu nous mettre en cage, dans un zoo.
Nous avons réussis à nous en sortir par un passage secret mais du coup, on était un peu paumées, après ("mais elle est où cette putain d'office de tourisme !!!")
Puis Emilie est entrée en transe et nous a montré la voie.
Et nous sommes rentrées à la maison. (Admirez la décoration à la fois sobre et aérée de cet espace à découvert, qui permet à la fois la communication entre les différentes ailes, et une certaine intimité, nous y retrouvons un amour des grands espaces nécessaires à l'expansion de notre aura, quelques plantes ici ou là pour faire joli et permettre le renouvellement écologique de l'air....)(c'était joli chez nous, hein ?) (oui mais tu comprends, Barcelone c'est une expérience, il faut la vivre par soi-même)
Allez, c'est tout pour aujourd'hui