Titre: Terrain d'entente
Ship: Draco/Harry, Albus/Scorpius
Rating: NC-17 (smut)
Nombre de mots: ± 3,160
Résumé: Albus et Scorpius se font prendre les culottes à terre et risquent l'expulsion permanente. Sous les ordres de McGonagall, Draco et Harry devront se mettre d'accord sur la punition à infliger, mais savent-ils au moins la raison de cette expulsion?
Note: Pour
babydracky à l'échange anonyme de
hp-valentin 2008 merci à ma béta
alexia-drake Terrain d'entente
C'est ses cheveux le problème. Le désordre qui y règne, lui donne toujours envie de fourrer ses doigts dans cette chevelure opaque. Il doit se retenir de toutes ses forces pour ne pas se lever et aller le faire durant ses cours en commun avec les Gryffondor. Porter attention au monologue du Professeur Binns sur la révolution des gobelins sous le pouvoir de Trukmashain II est d'une rivalité presque nulle face à celle qu'il pose sur la nuque de son Gryffondor préféré.
Le blond détourne ses yeux gris alors que les émeraudes de son obsession font un survol rapide de la salle de classe. Il attend ce regard qui va s'attarder sur sa personne avant de retourner le sien vers l'observateur pris en flagrant délit de matage. Son sourire narquois s'accroît alors qu'une teinte rosée vient se poser sur les joues du délinquant. Il essaie de détourner son regard sans y parvenir totalement, retournant ses yeux curieux sur lui pendant quelques secondes pour vérifier qu'il le fixe toujours.
« Et c'est toujours le cas, Potter... » pense-t-il alors que son rival se gratte le cou nerveusement afin de se donner contenance. Le jeune homme fait semblant de revenir là où le monologue sans fin du Professeur fantôme s'était interrompu.
L'alarme signalant la fin du cours sonne et d'un seul mouvement général, les élèves se lèvent, synchronisés à souhait. Pendant qu'il prend son sac et le met sur son épaule, il épit le Lion qui fait la même chose de son côté avant d'entrer dans le flot avec ses jeunes compatriotes sorciers.
« Tu viens, mec? » demande quelqu'un à côté de lui. Il ne se souvient plus de son nom, la seule chose qui compte c'est cette cravate rouge et or mal noué. Il aime le désordre. Ça oui. Surtout le sien et celui qu'il fait dans sa vie.
Il bouge à peine la tête et suit de près son meilleur ami et voisin de lit dans le dortoir des sixièmes années de Serpentard. Le hasard est son allié, il aime bien y croire. Toute coïncidence si pure soit-elle, est synonyme de mensonge ici. Il le sait tout aussi bien que l'autre le frôle d'une touche volatile qui se change en caresse intime, mais invisible au reste. La chaleur de cette paume contre sa peau froide envoie un frisson jusqu'à la pointe de ses cheveux qui se dresse à la base de cou.
Au moment où il n'en peut plus, on l'attire vers un placard à balais pour le tenir en otage parce qu'il est l'héritier Malfoy. Il en est sûr. Et cette passion avec laquelle le rebelle le torture, il est sûr que la rançon sera grande, car il ne veut pas retourner chez son père.
« Al---hmmm... Je--ooohh--aahh--Merliiiin--, » tout devint flou et il perd conscience. Jusqu'à ce que son partenaire arrête tout. Il se fige et évalue la situation. Il est de la guimauve dans ses bras qui le retiennent pour ne pas qu'il tombe sur le plancher.
« Quoi?? » dit-il plus agressif qu'il l'aurait voulu, il se sent étrange sous les yeux obscurcis qui le fixent.
« Combien de fois je dois te dire que mon nom est Albus? Qu'est-ce qu'il t'a fait Merlin, dis-moi? Pas ça en tout cas! »
« La ferme, Potter! » réplique Scorpius en le repoussant. « T'es qu'un con de venir tout gâcher. »
Ils se défient du regard pendant quelques... centième de seconde avant de retomber dans les bras l'un de l'autre et de s'embrasser, se caresser, se déshabiller, se lécher comme s'il n'y avait pas de lendemain!
« HEU-HUM! »
« Laissez-moi les punir, M'dame la Directrice! »
Les garçons sont comme des statues grecques, immobilisés dans la pose, manche de balais mêlé entre eux deux. Ils sont foutus. F. O. U. T. U. S.
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Il court. Son fils. Le mot parle de son fils et McGonagall n'a pas été précise. Il escalade les marches principales deux à deux, passe dans un couloir desert et disparaît derrière une tapisserie pour ressortir juste en face du bureau directorial. Il ne souffle qu'un peu avant de cogner, mais déjà il entend la réprimande. Il fronce les sourcils et se dit que finalement son fils ne devait qu'avoir fait une autre bêtise. Et dire qu'il a cru que James sorti de Poudlard, ça le rendrait moins... Potter.
« Entrez, M. Potter. »
Harry fait ce qu'on lui dit et la porte grince alors qu'il pose pied dans le bureau.
« Comme je disais à M. Malfoy, ceci n'est aucunement acceptable... »
« Est-ce qu'on peut en finir avec cet entretien? Donnez une retenue au môme Potter et c'est tout. Scorpius ne se serait jamais rabaissé à ce point... »
« QUOI?! ET POURQUOI MON FILS ET PAS LE TIEN, SALE VIPÈRE?! »
« Du calme, Potter. Et vous, M. Malfoy, Scorpius est loin d'être l'angelot que vous croyez. » Les deux hommes se regardent de travers accusant l'autre d'être la source du problème. « Vous devez vous entendre sur la punition due pour vos deux fils. Ils sont expulsés de l'école jusqu'à ce que vous trouviez la solution. Maintenant, j'ai autre chose à faire, veuillez bien fermer la porte en sortant. »
Marmonnant chacun sur l'injustice qu'ils vivent, ils sortent du bureau.
« Vos garçons vous attendent dans le hall d'entrée, » finit McGonagall alors que la porte se referme derrière eux.
Marchant côte à côte, les pères se regardent du coin de l'œil, mais pas un mot n'est dit pendant un bon moment. Harry se demande dans quoi le fils Malfoy a bien pu entraîner Albus. Il se demande si l'homme à ses côtés le sait et se mord la langue pour ne pas être le premier à faire le premier pas.
Trouver une punition. Pour son fils. Avec l'aide et l'accord du connard avec lequel il se dirige vers l'entrée du château. Et pourquoi McGonagall n'est-elle pas capable d'en trouver une convenable?
« C'est son boulot en plus! » rechigne le blond comme s'il lisait dans ses pensées. « Je ne me souviens pas que père se soit déplacé pour une connerie du genre! »
« C'était le bon vieux temps, n'est-ce pas? » dit sarcastiquement Harry.
Draco tourne la tête vers lui, « Est-ce que tu sais au moins ce qu'ils ont fait? »
« Non. » Il hésite, mais se lance, « Tu le sais, toi? »
« McGo n'a rien dit de concret. »
Ils se taisent de nouveau alors qu'ils descendent les dernières marches. Ils se figent alors qu'ils voient devant eux deux garçons s'embrasser impunément devant un public restreint. Deux mâchoires se disloquent au même moment alors que les deux anciens de Poudlard manquent la dernière marche et viennent s'étaler tête la première sur le plancher de marbre.
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« Sporpius! Veux-pu bien annêter de licher ce... ce... Potter! Bo'del! »
« Du calme, M. Malfoy, le temps que je replace votre mâchoire, » le gronde M. Pomfresh et d'un coup de baguette, la blessure n'y parait plus.
Harry teste la sienne qui fut remise en place de la même manière par l'infirmière de l'école, « Albus, fais de même! Depuis quand ça dure de toute façon? On n'a jamais eu vent de ça! »
Albus semble gêné, « Je... Nous attendions le bon moment. Et puisqu'il n'arrivait jamais, on avait décidé de vous en parler seulement si vous nous posiez des questions directes. »
Son petit ami lui prend la main et ajoute, « On ne voulait pas prendre de chance de faire face à des 'Vous n'êtes pas fait l'un pour l'autre' ou 'Il n'est pas d'un haut rang de la société sorcière' ou... »
« Et c'est la vérité! Tu rentres au manoir et tu ne ressortiras plus jamais! C'EST CLAIR?! » et avant même qu'il n'ait sa réponse, Draco prend son portoloin, agrippe son fils par le bras et ils disparaissent.
La panique gagne rapidement les yeux du jeune Potter alors qu'il retourne son regard mouillé vers son père.
Harry déteste ce regard. Il soupire avant de dire, « C'est bon, on va au manoir Malfoy. Mais avant on doit discuter tous les deux. On transplanera. »
Il remercie Pompom et se dirige vers la sortie, Albus sur ses talons. Même avant sa séparation avec la mère de ses enfants, il ne savait pas comment agir face à des problèmes d'adolescents. Et il faut toujours que ça tombe alors que Ginny n'est pas au pays. Elle est tellement meilleure que lui dans ces situations, elle sait toujours quoi dire, mais surtout quoi ne pas dire.
« PAPA!!! »
Harry n'a pas le temps de réagir que sa fille est dans ses bras. « Bonjour, chérie. Tu vas bien? »
Elle se recule et regarde Albus qui lui lance un regard de défi, « Oui, et toi? Qu'est-ce que tu fais là? Encore Al qui fait du grabuge? Même quand James n'est pas là! Dire que maman disait...! »
« LA FERME! » hurle Albus pour faire taire sa sœur, sa baguette pointée sous le nez de Lily.
« Du calme, les enfants! Al, baisse le ton et range cette baguette! Lily, s'il te plait, ceci ne te regarde pas. On doit y aller, » dit-il en poussant son fils vers la sortie. « Je t'envoie un hibou demain, Lys. »
Sa fille le salut et les regarde partir. Harry de son côté ne sait pas ce qui vient d'arriver, « Tu peux m'expliquer? Depuis quand toi et ta sœur avez autant d'animosité l'un envers l'autre? »
« J'ai fait fuir son petit ami. Mais j'avais de bonnes raisons, papa! » ajoute-t-il rapidement alors que son père ouvre la bouche pour parler. « C'est un vampire! »
« Al, il ne faut pas toujours croire ce qu'on dit, » rigole l'adulte.
« Je te jure! C'est vrai! Et ce salaud ne veut que sucer la jugulaire de ma sœur. Elle ne l'a pas pris et depuis, c'est la guerre ouverte. »
Harry secoue la tête. Il en vient à regretter Voldemort et même son année difficile avec Ombrage. Qu'est-ce que les jeunes d'aujourd'hui deviennent? « Laissons de côté ce problème et revenons au nôtre. Tu n'as pas répondu à ma question. »
Albus regarde le sol et botte un petit caillou qui se trouve sur le chemin, « Laquelle? »
« Ne fais pas l'innocent et réponds. »
« Bientôt un an, 5 mois et 6 jours, » souffle-t-il sans hésitation, levant les yeux au ciel.
« La vache... Es-tu celui qui fait le décompte des jours? » demande Harry en rigolant, mais il sait bien que c'est une question sérieuse qu'il lui pose.
« Oui. » Son père grogne. « Scorp fait celui des fois qu'on l'a fait, où on l'a fait et comment on l'a fait, mais je pense que ce n'est qu'une perte de temps. »
Harry se tourne vers lui la bouche grande ouverte, alors que son fils a un sourire sournois sur les lèvres. Son père lui donne un coup de coude et sourit à son tour ce qui déclenche un petit duel. Arrivés aux limites de transplanage, Harry lui dit, « Vous êtes amoureux alors. » Ce n'est pas une question. « Son père n'est pas un gars facile à gérer, tu sais. Mais je vais faire tout mon possible pour vous aider. »
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Le manoir est différent de la dernière fois qu'il a pu le visiter. C'est plus éclairé. Harry et Albus attendent que les maîtres de la maison les accueillent, mais ils sont dans le hall depuis bientôt, « Deux heures?! Non, sérieusement, Al! Allez, on fout l'camp et on pourra même écouter le match de Quidditch de ton frère à la tévélision magique. »
Le réseau magique de tévélision n'a pas encore beaucoup de chaîne, mais peu à peu ça se développe. Après la guerre, on a pu voir une explosion de mélange technologique et magique. Le moldu-sorcier était devenu une mode.
« AAAL! » s'écrit un jeune homme blond qui descends en courrant les marches, son père le précédant. Il le bouscule pour descendre plus vite et rejoindre celui qu'il veut voir depuis qu'il est arrivé au manoir.
« Minute là! » Draco le ramène par le collet et Scorpius est arrêté dans son élan. « Que crois-tu faire? »
« Papaaaa! » fait son fils.
Albus pile sur le pied de son père dont les yeux ne font qu'un tour dans leur orbite face à la scène qu'il assiste. Draco Malfoy n'a pas changé d'un pouce. Toujours ce connard arrogant qui veut faire la loi. Albus insiste et Harry finit par se lancer à contre coeur, « Malfoy, je crois qu'on doit parler. Est-ce qu'on peut se voir en privé? »
« J'ai déjà réglé le problème de délinquance de mon fils. Règle le tien comme ça te chante et je ne veux plus vous voir sur ma propriété, Potter. »
Le regard d'Harry se fait menaçant avant qu'il ne prenne le bras de son ennemi d'enfance pour l'entraîner dans le couloir principal du manoir. Il trouvera bien un endroit où ils pourront discuter sans que leurs fils ne voient la scène.
« Lâche-moi, Potter! » proteste Draco. « Où est-ce que tu vas, bordel? »
« Vu que tu ne veux pas coopérer, je cherche ton foutu bureau de merde. Il doit bien en avoir un sur l'étage. »
Le blond se libère et alors que son adversaire veut le reprendre en main, il grogne furieux, « Par ici. » Harry se laisse guider et en peu de temps, ils sont seuls dans un bureau. Il est grand. Un foyer réchauffe la pièce et une bibliothèque s'étend tout le long du mur opposé. « Un verre de Purefeu? »
« Sans glace, » dit-il mécaniquement. « Super le bureau. J'aime bien. C'est classique et... »
« Veux-tu bien te taire, » coupe Draco. « À quoi tu joues? On est copain-copain, maintenant? »
Harry fronce les sourcils et prends son verre d'un geste rageur. « La ferme. »
« Je ne vois même pas ce que Scorpius trouve à ton fils. Je savais qu'il était gay, mais de là à... à ça! »
« Albus est un jeune homme très bien! Il est courageux, persévérant, il fait son lot de bêtises, mais c'est un garçon parfait pour... »
« N'OSE MÊME PAS LE DIRE! »
« Tu dramatises, Malfoy! Ils sont jeunes! Que veux-tu faire de toute façon, tu ne peux pas juste le garder ici à jamais! »
« Oh que oui! »
Harry secoue la tête et pose son verre à moitié vide sur le comptoir du bar. « Ils sont amoureux. »
Draco se jette sur Harry et lui balance un poing au visage qui est évité de peu. Ils se débattent, roulent sur le plancher.
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« Ils vont s'entretuer! » couine Albus.
« Relaxe! Ils vont juste argumenter, rien de plus. Au pire, ils se tueront et on aura la paix! »
Albus le tape sur le torse, ne pouvant s'empêcher de rigoler à ce que son petit ami vient de dire. Mais l'inquiétude est de retour alors qu'on entend de nouveau des bruits de bataille venir de la porte du bureau de Malfoy sr, suivit d'un gémissement de douleur.
« Pourquoi on n'intervient pas déjà? »
« Parce que tout est okay. Al, » Scorpius prend les épaules du jeune Gryffondor pour ramener de nouveau son attention sur lui. « Ton père est Auror et le mien... err... un homme d'affaire féroce... Ils ne se tueront pas. Ils vont seulement avoir quelques bleus. Pourquoi je ne te fais pas visiter le manoir? »
Un grincement répétitif se fait entendre et Albus détourne la tête, son regard se pose sur la porte en chêne.
« Al? » Les jades reviennent sur Scorpius, « Ça te dit? » fait-il avec un haussement de sourcils séducteur. « Si on commençait par ma chambre? »
La tentation est trop grande pour refuser l'offre.
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Les mains posées sur les hanches, il ramène le corps bronzé vers le sien. « AAAAH! »
Une bouche pulpeuse papillonne la nuque en sueur, alors qu'une main monte sur le flanc, créant des frissons ravageurs faisant hérisser les fins poils de son corps. L'homme sous lui gémit en douceur, mais lui intime d'accélérer le rythme.
Le feu crépite et la projection de lumière des flammes les berce dans ce ballet de corps.
Harry s'agrippe au bureau et au moment où il se sent partir, Draco se retire pour le retourner dos contre son bureau. « Qu'est-ce que tu fais? »
« Je veux te voir. Je veux revoir le visage que tu fais quand tu es frappé de plein fouet par l'orgasme. » Les images défilent dans la tête d'Harry. Une époque oubliée refait surface entremêlant le passé et le présent. Draco et lui, ne faisant qu'un.
Il l'attire sur le bord du meuble et se positionne pour se glisser dans l'antre d'Harry. « Dracooohmmm. »
Une main se glisse sur le ventre plat de l'Auror pour venir prendre la verge tendue. Ses doigts s'enfoncent dans la cuisse qu'il maintient avec fermeté, le ramenant sans cesse à lui alors que les ongles de son amant griffent la surface de bois.
Harry se tend. La bouche entrouverte laisse échapper un son rauque, alors qu'il éjacule sur son ventre. Draco ne se retient pas plus longtemps et le rejoint dans la jouissance.
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Albus se réveille en sursaut.
« Hmmm, » marmonne Scorpius qui le rapproche de lui, sous les couvertures.
« Il est quelle heure? » demande-t-il alors qu'il balance la douillette sur le côté et qu'il se penche pour reprendre ses vêtements. « Scorpius! »
« Al, il est tard et je veux dormir. »
Le brun le secoue, « Allons voir nos père, Scorp. »
« Hmmrrff » grogne le jeune Malfoy, mais se lève tout de même et met son pantalon de pyjama qui traîne sur la chaise de bureau.
« Allez! »
« Relaxe un peu, merde. »
Albus ouvre la porte et tombe nez à nez avec son père qui sort de la chambre d'en face. « Papa?! »
« AHH--Albus! » crie Harry.
« Mais qu'est-ce que tu fous là? »
Mais avant de pouvoir répondre, la porte derrière son père s'ouvre pour dévoiler un Malfoy père qui attache son peignoir vert sombre. « Avant de partir, tu veux qu'on aille voir les, » il lève la tête, « garçons? »
Malaise.
« Les garçons! On a trouvé un terrain d'entente! » dit joyeusement Draco.
Gros malaise silencieux.
« N'est-ce pas, chéri? » dit-il en donnant une tape sur le fessier de son amant.
Scorpius pouffe de rire. Harry ferme les yeux et passe une main sur son visage. Albus est toujours stupéfixié.