Où l'on est pas sûre de comment le prendre
Pour des raisons diverses et sans le moindre doute mauvaises, j'ai jamais expliqué à mon père que je voyais Madame Psy, quand j'étais à Lyon. Je voulais le faire, parce que ça me tracassait, mais j'ai jamais eu le courage de lancer la discussion. Quand je suis venue à Nîmes, le problème a cessé de se poser, alors j'en ai profité pour arrêter d'y penser.
Là, comme je recommence à péter un boulon j'ai failli fuir du bureau du gars de l'ANPE l'autre jour (mais vraiment fuir, hein, prendre mon sac et courir dehors et même crétinement me demander comment on ferait pour arranger les rendez-vous suivants vu que je savais pas s'il avait mes coordonnées) juste parce que ma tête se vide dès qu'on me pose une question et que je panique ça fait deux semaines que je m'engueule mentalement pour prendre rendez-vous avec un/e psy dans le coin. Ce matin, je me suis réveillée suffisamment déprimée sans raison précise pour finir par appeler, et j'en ai discuté un peu avec ma mère.
Elle, à chaque fois que je lui parlais de ça, à propos de mon père et tout, sa réaction était basiquement "Tu sais, ton père, ces choses-là c'est pas trop son truc, je sais pas trop comment il le prendrait, tu peux peut-être attendre de voir si ça va mieux", sous-entendu que pendant que je suis à Lyon, de toute façon, il risquait pas de s'en rendre compte tout seul -ce qui m'avait un peu déstabilisée parce que j'aurai cru qu'elle me dirait plutôt d'arrêter de tourner autour du pot et de lui en parler, mais bref.
Tout à l'heure, sa réaction a été que mais non, elle m'a jamais dit que c'était une mauvaise idée de lui dire, allons. Et que vu que dans le coin, les psys sont apparemment moins chers que dans une grande ville comme Lyon, ça passerait peut-être mieux.
...J'arrive pas à savoir si je suis censée être d'accord (c'est vrai que ça peut monter vachement cher des fois) ou mal le prendre parce que si depuis le début, le fond de la discussion c'était le fric que ça coûte, j'aurais bien aimé que ça soit clair: moi j'étais pas au courant qu'on parlait de ça o_O
Z'en pensez quoi? =___=
Là, comme je recommence à péter un boulon j'ai failli fuir du bureau du gars de l'ANPE l'autre jour (mais vraiment fuir, hein, prendre mon sac et courir dehors et même crétinement me demander comment on ferait pour arranger les rendez-vous suivants vu que je savais pas s'il avait mes coordonnées) juste parce que ma tête se vide dès qu'on me pose une question et que je panique ça fait deux semaines que je m'engueule mentalement pour prendre rendez-vous avec un/e psy dans le coin. Ce matin, je me suis réveillée suffisamment déprimée sans raison précise pour finir par appeler, et j'en ai discuté un peu avec ma mère.
Elle, à chaque fois que je lui parlais de ça, à propos de mon père et tout, sa réaction était basiquement "Tu sais, ton père, ces choses-là c'est pas trop son truc, je sais pas trop comment il le prendrait, tu peux peut-être attendre de voir si ça va mieux", sous-entendu que pendant que je suis à Lyon, de toute façon, il risquait pas de s'en rendre compte tout seul -ce qui m'avait un peu déstabilisée parce que j'aurai cru qu'elle me dirait plutôt d'arrêter de tourner autour du pot et de lui en parler, mais bref.
Tout à l'heure, sa réaction a été que mais non, elle m'a jamais dit que c'était une mauvaise idée de lui dire, allons. Et que vu que dans le coin, les psys sont apparemment moins chers que dans une grande ville comme Lyon, ça passerait peut-être mieux.
...J'arrive pas à savoir si je suis censée être d'accord (c'est vrai que ça peut monter vachement cher des fois) ou mal le prendre parce que si depuis le début, le fond de la discussion c'était le fric que ça coûte, j'aurais bien aimé que ça soit clair: moi j'étais pas au courant qu'on parlait de ça o_O
Z'en pensez quoi? =___=