La vie, et son sens (de l'humour siiii particulier.)
Devinez qui a de nouveau internet grâce à son cher voisin ? ^_______________^ C 'est bibi !
Et devinez qui a ses partiels dans deux jours ?
.... ouais, ouais, c'est bibi -_-
Sinon, la vie suis son cours du coté des poulpes, et des évènements palpitants ne cessent de se produire ; dans les dernières semaines, on pouvait lire comme gros titre dans la gazette de la vie sous-marine :
Camus se lit vite et demeure terriblement français - Un sujet de mémoire sur la BBC pour l'année prochaine, ça va être joliment terrible à réaliser - comme d'habitude, mes révisions se font par à coup mais je sais maintenant que rien ne pourrait être pire que les partiels précédents, et ça me rend étrangement calme - il arrive que les garçons soient d'étranges créatures qui portent leur coeurs accrochés à la manche, et c'est attendrissant et triste à la fois - pour trouver un trèfle à quatre feuilles à la minute il suffit de les chercher pour quelqu'un d'autre que soi - la paperasse administrative est lentement mais surement en train de mettre en oeuvre ses plans pour m'ensevelir - je vais devoir choisir Faulkner pour mon examen de littérature, c'est certain, et l'idée même me fait me sentir hypocrite - un dilemme se pose à moi, chaque fois que j'aperçois la confiture d'églantines maison que l'on m'a offert et qui repose dans mon friggo : un plaisir si éphémère soit- il vaut-il les longues minutes qui le suivent, à essayer de chasser l'irritation et les aiguilles s'attaquant à ma bouche ?
Apparemment, oui.
Si les courageuses qui lisent cette entrée jusqu'à sa fin ont vu leur vie irrémédiablement chamboulée depuis la dernière fois où j'ai eu l'occasion de lire lj/ profiter d'internet, ce serait aussi définitivement une très bonne action pour leur karma que de m'en informer dans un commentaire, histoire que je ne reste pas un nouille ignare. ^_^
Et devinez qui a ses partiels dans deux jours ?
.... ouais, ouais, c'est bibi -_-
Sinon, la vie suis son cours du coté des poulpes, et des évènements palpitants ne cessent de se produire ; dans les dernières semaines, on pouvait lire comme gros titre dans la gazette de la vie sous-marine :
Camus se lit vite et demeure terriblement français - Un sujet de mémoire sur la BBC pour l'année prochaine, ça va être joliment terrible à réaliser - comme d'habitude, mes révisions se font par à coup mais je sais maintenant que rien ne pourrait être pire que les partiels précédents, et ça me rend étrangement calme - il arrive que les garçons soient d'étranges créatures qui portent leur coeurs accrochés à la manche, et c'est attendrissant et triste à la fois - pour trouver un trèfle à quatre feuilles à la minute il suffit de les chercher pour quelqu'un d'autre que soi - la paperasse administrative est lentement mais surement en train de mettre en oeuvre ses plans pour m'ensevelir - je vais devoir choisir Faulkner pour mon examen de littérature, c'est certain, et l'idée même me fait me sentir hypocrite - un dilemme se pose à moi, chaque fois que j'aperçois la confiture d'églantines maison que l'on m'a offert et qui repose dans mon friggo : un plaisir si éphémère soit- il vaut-il les longues minutes qui le suivent, à essayer de chasser l'irritation et les aiguilles s'attaquant à ma bouche ?
Apparemment, oui.
Si les courageuses qui lisent cette entrée jusqu'à sa fin ont vu leur vie irrémédiablement chamboulée depuis la dernière fois où j'ai eu l'occasion de lire lj/ profiter d'internet, ce serait aussi définitivement une très bonne action pour leur karma que de m'en informer dans un commentaire, histoire que je ne reste pas un nouille ignare. ^_^