Un festival de lose
L'espèce de maladie bizarre qui m'a attaquée commence à perdre la bataille et aujourd'hui je me sens super bien ! je suis même motivée pour bosser (et c'est pourquoi je suis en train de perdre mon temps sur Internet ô_o), c'est dire (enfin, pour bosser toutes mes matières sauf une, plus exactement. Je me demande si j'ai du latin l'année prochaine ?).
Hier a été pour moi un festival de lose !
Ma journée devait s'organiser comme suit :
8h-10h : cours de latin (fac)
12h20 : rendez-vous devant le RU Ricordeau (centre-ville) avec Amanda
14h-16h : cours de grammaire&stylistique (fac)
16h30- ? : voir Dulci (centre-ville)
18h : réunion Ritournelle (Chantiers navals)
Bon. Comme prévu, je débarque à 7h55 à la fac, et il n'y avait ni élèves, ni profs en vue. Comme c'était un cours de rattrapage, je ne connaissais pas la salle, et le secrétariat était fermé. J'ai quand même regardé dans quelques salles, dont celle où on a cours d'habitude et celle où avait eu lieu le cours de rattrapage de la semaine d'avant : elles étaient toutes vides. Rien n'était affiché, ni au Tertre, ni en Censive. La camarade que j'ai appelé sur son portable ne répondait pas.
Alors je suis passée chez Dulci, mais elle avait conduite à 11h. J'ai donc fini ma matinée à une terrasse de café pour attendre le rendez-vous avec Amanda.
Amanda est arrivée avec vingt minutes de retard.
Je l'ai donc attendue une demi-heure (en gros). Mais ça m'a permis de croiser Mathilde qui paraissait très en forme. Et on a bien mangé ^^
A 14h je me trouvais devant notre salle de cours qui était vide, et pas de prof à l'horizon. J'ai éprouvé un petit sentiment de déjà-vu. Je m'apprêtais à partir quand j'ai rencontré Stéphanie, et on allées regarder le panneau d'affichage qui indiquait que le cours était annulé, pour cause de "Commission de spécialistes". Une chose est sûre : le mot n'y était pas la veille (or en principe personne n'a cours le vendredi matin...). En fait, je ne crois pas qu'il y était non plus le matin...
Du coup j'ai retrouvé Dulci plus tôt mais on n'avait plus d'argent, et on ne pouvait pas non plus en retirer, ni elle ni moi... A nous deux on avait 3,50 euros, ce qui nous a permis de prendre deux cafés au Fleysselles.
Et puis j'ai été à la réunion et après on a couru jusqu'à l'arrêt de bus sous des trombes d'eau, terrorisés par les coups de tonnerre ^^
Juste une indication, le prof qui n'était pas là ce matin... C'est la sixième fois (pour être précise) que je viens à la fac pour rien à cause de lui (i.e : que j'apprends en arrivant qu'il n'y a pas cours). Il a beau être drôle et précieux et gentil et bizarre, je commence à le détester.
Autre (bonne) nouvelle.
A force de me creuser la tête pour trouver un sujet de mémoire - enfin, quand je dis "me creuser la tête"... En fait, l'opération consiste plutôt à tenter de ralentir le flot d'idées qui me viennent toutes seules pour essayer d'en distinguer une qui soit un peu précise, voire qui soit susceptible de tenir la route... Donc, à force, l'une d'elles a surgi au cours de la réunion d'information sur le master : et si que je travaillais sur les femmes (de préférence amoureuses) et le couvent ? ^^
(rien de subjectif là-dedans, n'est-ce pas)
Bon, le souci, c'est que c'est large (entre Héloïse et la Duchesse de Langeais, quoi).
Le souci, c'est surtout qu'il faut que je prenne mon courage à deux mains pour envoyer un mail à un de mes profs, ah ! ah ! AU SECOURS J'AI PEUR !!
Un jour il faudra que je songe à soigner cette timidité maladive et plus seulement à me contenter de la dissimuler de mon mieux -_-'
Hier a été pour moi un festival de lose !
Ma journée devait s'organiser comme suit :
8h-10h : cours de latin (fac)
12h20 : rendez-vous devant le RU Ricordeau (centre-ville) avec Amanda
14h-16h : cours de grammaire&stylistique (fac)
16h30- ? : voir Dulci (centre-ville)
18h : réunion Ritournelle (Chantiers navals)
Bon. Comme prévu, je débarque à 7h55 à la fac, et il n'y avait ni élèves, ni profs en vue. Comme c'était un cours de rattrapage, je ne connaissais pas la salle, et le secrétariat était fermé. J'ai quand même regardé dans quelques salles, dont celle où on a cours d'habitude et celle où avait eu lieu le cours de rattrapage de la semaine d'avant : elles étaient toutes vides. Rien n'était affiché, ni au Tertre, ni en Censive. La camarade que j'ai appelé sur son portable ne répondait pas.
Alors je suis passée chez Dulci, mais elle avait conduite à 11h. J'ai donc fini ma matinée à une terrasse de café pour attendre le rendez-vous avec Amanda.
Amanda est arrivée avec vingt minutes de retard.
Je l'ai donc attendue une demi-heure (en gros). Mais ça m'a permis de croiser Mathilde qui paraissait très en forme. Et on a bien mangé ^^
A 14h je me trouvais devant notre salle de cours qui était vide, et pas de prof à l'horizon. J'ai éprouvé un petit sentiment de déjà-vu. Je m'apprêtais à partir quand j'ai rencontré Stéphanie, et on allées regarder le panneau d'affichage qui indiquait que le cours était annulé, pour cause de "Commission de spécialistes". Une chose est sûre : le mot n'y était pas la veille (or en principe personne n'a cours le vendredi matin...). En fait, je ne crois pas qu'il y était non plus le matin...
Du coup j'ai retrouvé Dulci plus tôt mais on n'avait plus d'argent, et on ne pouvait pas non plus en retirer, ni elle ni moi... A nous deux on avait 3,50 euros, ce qui nous a permis de prendre deux cafés au Fleysselles.
Et puis j'ai été à la réunion et après on a couru jusqu'à l'arrêt de bus sous des trombes d'eau, terrorisés par les coups de tonnerre ^^
Juste une indication, le prof qui n'était pas là ce matin... C'est la sixième fois (pour être précise) que je viens à la fac pour rien à cause de lui (i.e : que j'apprends en arrivant qu'il n'y a pas cours). Il a beau être drôle et précieux et gentil et bizarre, je commence à le détester.
Autre (bonne) nouvelle.
A force de me creuser la tête pour trouver un sujet de mémoire - enfin, quand je dis "me creuser la tête"... En fait, l'opération consiste plutôt à tenter de ralentir le flot d'idées qui me viennent toutes seules pour essayer d'en distinguer une qui soit un peu précise, voire qui soit susceptible de tenir la route... Donc, à force, l'une d'elles a surgi au cours de la réunion d'information sur le master : et si que je travaillais sur les femmes (de préférence amoureuses) et le couvent ? ^^
(rien de subjectif là-dedans, n'est-ce pas)
Bon, le souci, c'est que c'est large (entre Héloïse et la Duchesse de Langeais, quoi).
Le souci, c'est surtout qu'il faut que je prenne mon courage à deux mains pour envoyer un mail à un de mes profs, ah ! ah ! AU SECOURS J'AI PEUR !!
Un jour il faudra que je songe à soigner cette timidité maladive et plus seulement à me contenter de la dissimuler de mon mieux -_-'