Connerie humaine, quand tu nous tiens...II
Me revoila. Le titre de cette note devait être à la base "maman, les p'tits bateaux...", et depuis, on va dire que les Anglais nous en ont encore envoyé une bien bonne (après les chars gonflables qui volent puis ne volent plus -voir article du Figaro dont je vous donnerai la date dès que j'arriverai à remettre la main sur le canard en question-). C'est donc devenu "gros poisson et lapin-garou".
Le gros poisson, il appartient à l'armée française et se trouve au fond du golfe de Gascogne. A priori, son poids oscille entre 10 tonnes et quelques centaines de kilos, et son prix va de 3 millions d'euros (selon le Ministère de la Défense) et 50 millions (selon le Canard Enchaîné). Je ne vais pas polémiquer, ni sur l'article ni sur ce qui a été dit à la suite de cette malheureuse histoire, et je ne doute pas que l'enquête fera toute la lumière sur cette affaire.
Le lapin-garou, il se trouve de l'autre côté de la Manche. C'est une bestiole dont on ne sait pas de quelle race elle tient ni la taille qu'elle fait. Tout ce qu'on en sait, c'est qu'elle est énorme (dixit les témoignages recueillis), et qu'elle dévaste les jardins encore mieux que les sangliers en notre bonne vieille France. Pauvres navets... Paix à leurs âmes.
Sur ce, je vous laisse. Surveillez bien vos jardins potagers, on ne sait jamais...
Bye.
Le gros poisson, il appartient à l'armée française et se trouve au fond du golfe de Gascogne. A priori, son poids oscille entre 10 tonnes et quelques centaines de kilos, et son prix va de 3 millions d'euros (selon le Ministère de la Défense) et 50 millions (selon le Canard Enchaîné). Je ne vais pas polémiquer, ni sur l'article ni sur ce qui a été dit à la suite de cette malheureuse histoire, et je ne doute pas que l'enquête fera toute la lumière sur cette affaire.
Le lapin-garou, il se trouve de l'autre côté de la Manche. C'est une bestiole dont on ne sait pas de quelle race elle tient ni la taille qu'elle fait. Tout ce qu'on en sait, c'est qu'elle est énorme (dixit les témoignages recueillis), et qu'elle dévaste les jardins encore mieux que les sangliers en notre bonne vieille France. Pauvres navets... Paix à leurs âmes.
Sur ce, je vous laisse. Surveillez bien vos jardins potagers, on ne sait jamais...
Bye.