Une petite réflexion que je me suis faite ce matin en écrivant - qui ne m'empêchera pas de continuer comme je le fais, vu que moi, personnellement, ça ne me dérange pas, mais... du coup, je suis curieuse
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Re: le démon + le feeling ou non de roman réaliste, je copie/colle ce que j'ai mis dans mon comm précédent, car ça s'applique bien:
"L'impression que cela m'avait laissé était plutôt la suivante: le bouquin est du YA paranormal comme c'est très à la mode --> le mec/fille a voulu lire une histoire de ce genre, pensant y trouver un truc un peu surnaturel (style les vampires gentillets de Twilight) --> l'un des *protagonistes* était un démon (=donc pas nécessairement l'Ennemi, le Méchant, le Mal qui est vaincu à la fin) --> la personne a été choquée de voir qu'un démon pouvait être autre chose qu'un méchant pur et dur." Je pense que dans le bouquin en question, vu ce dont je me souviens, il était clair dès le début qu'il y aurait du paranormal, donc que ce soit un démon, un ange, un vampire ou autre, ça n'arrivait pas là comme un cheveu sur la soupe. (Mais je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis: si rien ne l'annonçait avant, ça fait bizarre d'avoir un tel retournement de situation.)
Concernant le fait de savoir si c'est important pour l'auteur de mentionner tel ou tel détail, j'ai tendance à y aller purement au feeling sur ce genre de trucs, à improviser pas mal de choses en cours d'écriture, et à ne pas trop réfléchir. Donc quand je donne une certaine caractéristique à un perso, c'est souvent parce qu'à un moment, ça m'a semblé la chose la plus naturelle à faire, un peu comme quand on apprend à connaître une personne, qu'on découvre des choses sur elles... C'est "important" dans le sens où ça rajoute de la définition au perso, qui n'est pas juste là pour jouer son rôle dans l'intrigue et après, hop, on le jette; mais ce n'est pas non plus forcément essentiel, au final.
Ouaip, je vois, pour la personne en question. Elle avait une impression de propagande, un peu. Comme moi, ça ne me dérange pas de lire un livre où dès le début on sait que Dieu existe (et est le gentil) dans cet univers, mais si ce n'est pas le principe de base et que c'est à partir du milieu du livre qu'on voit tous les personnages découvrir l'Amour de Dieu... ça le fera beaucoup moins.
Personnellement, à ta place, je ne me soucierais pas trop d'écrire un livre où les homophobes, en arrivant au milieu, peuvent se sentir floués. Même si c'est le cas, tant pis pour eux ! ^^
"L'impression que cela m'avait laissé était plutôt la suivante: le bouquin est du YA paranormal comme c'est très à la mode --> le mec/fille a voulu lire une histoire de ce genre, pensant y trouver un truc un peu surnaturel (style les vampires gentillets de Twilight) --> l'un des *protagonistes* était un démon (=donc pas nécessairement l'Ennemi, le Méchant, le Mal qui est vaincu à la fin) --> la personne a été choquée de voir qu'un démon pouvait être autre chose qu'un méchant pur et dur."
Je pense que dans le bouquin en question, vu ce dont je me souviens, il était clair dès le début qu'il y aurait du paranormal, donc que ce soit un démon, un ange, un vampire ou autre, ça n'arrivait pas là comme un cheveu sur la soupe. (Mais je suis entièrement d'accord avec ce que tu dis: si rien ne l'annonçait avant, ça fait bizarre d'avoir un tel retournement de situation.)
Concernant le fait de savoir si c'est important pour l'auteur de mentionner tel ou tel détail, j'ai tendance à y aller purement au feeling sur ce genre de trucs, à improviser pas mal de choses en cours d'écriture, et à ne pas trop réfléchir. Donc quand je donne une certaine caractéristique à un perso, c'est souvent parce qu'à un moment, ça m'a semblé la chose la plus naturelle à faire, un peu comme quand on apprend à connaître une personne, qu'on découvre des choses sur elles... C'est "important" dans le sens où ça rajoute de la définition au perso, qui n'est pas juste là pour jouer son rôle dans l'intrigue et après, hop, on le jette; mais ce n'est pas non plus forcément essentiel, au final.
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Personnellement, à ta place, je ne me soucierais pas trop d'écrire un livre où les homophobes, en arrivant au milieu, peuvent se sentir floués. Même si c'est le cas, tant pis pour eux ! ^^
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