Lettre à mon ombre (Partie I)
Lettre à mon humble ombre par Karpe
Je dédis ses prochaines lignes à mon ombre qui est quand même le reflet de la lumière depuis
Maintenant 28 ans.
La découverte de mon ombre
Enfant, insouciant et innocent, je me souciais vraiment guère de elle, ne faisait que coexister sans vraiment la remarquer. Mes amis imaginaires dans ce temps la prenaient beaucoup trop de place, pour une chose aussi simplet. Un jours ça ma quand même piqué ma curiosité faut bien l’avouer. Je demandais donc à ma mère que me paressait la déesse des bobos. Ce qui est bien avec une mère c’est qu’on dirait que tu peux avoir n’importe qu’elle bobo sans t’en soucier guère car elle est là. Donc, je ne pouvais demander à mon père qui lui sont utilité était de me gronder quand je posais trop de question à sa déesse du désir. Un peu comme s’il en était possessif, je ne comprenais guère ce geste plutôt primitif. Je dois admettre que ceci de façon indirecte apportait de la sécurité. Quand je ne pouvais entendre mon père gronder, ou veiller à sa déesse, nous nous sentions fragile. Pourtant la solution aurait été bien simple de poser la question directement à la mer des réponses. Bref, avec un peu de prudence, je demandais la fatidique question. Qu’elle est cette forme qui me suit et qui me surprend à répéter sans cesse mes faits et gestes. Effectivement, y’a rien de plus énervent que quelqu’un qui t’imite sans cesse pour te narguer. J’essayais souvent de le défier d’ailleurs, mais en vain. Quel ne serait pas la satisfaction de battre ce odieux personnage qui durant 5 longue année vivait la sans que je m’en rendre compte, pourtant mes amis eux en avaient pas ! Jaloux j’étais et déterminer à m’en débarrasser une fois pour toute. Quel fut pas la surprise de ma vie lorsque ma mère me disait d’une voix douce et mielleuse.
à suivre..
Je dédis ses prochaines lignes à mon ombre qui est quand même le reflet de la lumière depuis
Maintenant 28 ans.
La découverte de mon ombre
Enfant, insouciant et innocent, je me souciais vraiment guère de elle, ne faisait que coexister sans vraiment la remarquer. Mes amis imaginaires dans ce temps la prenaient beaucoup trop de place, pour une chose aussi simplet. Un jours ça ma quand même piqué ma curiosité faut bien l’avouer. Je demandais donc à ma mère que me paressait la déesse des bobos. Ce qui est bien avec une mère c’est qu’on dirait que tu peux avoir n’importe qu’elle bobo sans t’en soucier guère car elle est là. Donc, je ne pouvais demander à mon père qui lui sont utilité était de me gronder quand je posais trop de question à sa déesse du désir. Un peu comme s’il en était possessif, je ne comprenais guère ce geste plutôt primitif. Je dois admettre que ceci de façon indirecte apportait de la sécurité. Quand je ne pouvais entendre mon père gronder, ou veiller à sa déesse, nous nous sentions fragile. Pourtant la solution aurait été bien simple de poser la question directement à la mer des réponses. Bref, avec un peu de prudence, je demandais la fatidique question. Qu’elle est cette forme qui me suit et qui me surprend à répéter sans cesse mes faits et gestes. Effectivement, y’a rien de plus énervent que quelqu’un qui t’imite sans cesse pour te narguer. J’essayais souvent de le défier d’ailleurs, mais en vain. Quel ne serait pas la satisfaction de battre ce odieux personnage qui durant 5 longue année vivait la sans que je m’en rendre compte, pourtant mes amis eux en avaient pas ! Jaloux j’étais et déterminer à m’en débarrasser une fois pour toute. Quel fut pas la surprise de ma vie lorsque ma mère me disait d’une voix douce et mielleuse.
à suivre..