Grrrr...
Réveil de mauvais poil. J'accuse mon homme, qui est incapable de se lever dès sa première sonnerie de réveil, mais qui le laisse sonner une bonne dizaine de fois à côté de mon oreille avant d'émerger enfin. Je l'accuse aussi d'avoir, comme à son habitude, décroché la moitié du rideau du salon en tirant trop fort dessus, et de ne pas l'avoir remis en place. Et j'accuse les voisins de me réveiller si tôt (à 9h30, NDLR) avec cette stupide chanson des Pussycat-pétasses-dolls que je déteste. Et j'accuse encore la météo et ce fichu soleil qui n'est même pas capable de me donner ce que j'attends d'un mois d'août. Toute l'année, je ne vis que pour les beaux jours, et on n'a droit qu'à trois misérables semaines de vrai été par an.
Voilà mon coup de gueule matinal, qui n'est dû, admettons-le, qu'à la fatigue et non au rideau, à cette chanson stupide, et encore moins à mon brave petit chou qui se lève si tôt pour aller travailler. Du coup, j'ai simplement mis en place un système magique pour que le rideau ne se décroche plus jamais, et je me permets de traîner en pyjama un moment avant de faire tout ce que j'ai à faire.
Sinon, hier j'ai passé une excellente journée: ma soeur est venue dîner à la maison, puis j'ai retrouvé Nicole dans l'après-midi, et le soir on est tous sortis boire un verre (tous sauf deux, qui manquent systématiquement à l'appel...) et j'ai eu le plaisir de passer cette soirée à discuter avec Mél de tout et de rien. Et avec tout ça, j'ai quand même trouvé le temps de bien avancer dans mon travail.
Par contre, aujourd'hui, je ne sais absolument pas ce que je vais faire, hormis les courses et réviser un moment. J'hésite à monter voir ma maman... Mais du coup, je risque de ne pas réviser assez. Et d'un autre côté, si je reste toute la journée seule ici, ça n'ira pas non plus (défaut de motivation). Bon, on verra ça plus tard.