De l'Amour (bis repetita)
Qu’est-ce que ça peut être con des amoureux!
A peine revenue, Stefano m’appelle déjà au secours. Il me raconte que dire au revoir devient de plus en plus difficile. Il veut s’endormir et se réveiller à ses côtés. Moi je plaisante sur le fait qu’il veut simplement…
Il affirme que non, c’est au-delà de cela, il veut vivre avec elle. Je laisse échapper un gloussement. Il se meurt d’une passion dévorante à laquelle je ne donne que peu de durée de vie. Trois mois encore, tout au plus.
Je lui explique que l’Amour qui traverse tout n’existe pas. La flamme qui le rend dans cet état n’est rien d’autre qu’une drogue sécrétée par le cerveau. Lorsque celui-ci ne la produira plus, pfffiout! Plus rien. C’est triste mais ce n’est que la réalité. Après… ce n’est que l’habitude, et les coutumes judéo-chrétiennes. Et oui, les contes de fées c’est bien pour les bouquins d’enfants. La vraie vie, c’est une autre histoire.
Comme disait je ne sais plus qui: "on veut toujours ce qu’on a pas, et ce qu’on a, on en veut pas". Je l’invite à réfléchir sur sa situation. Pourquoi veut-il cette fille à ce point là? Parce qu’il ne peut pas l’avoir complètement, il ne peut pas s’exprimer comme il le veut, ni faire ce qu’il désire. Si c’était le cas, cela aurait tout de suite moins d’intérêt. J’essaie de lui faire comprendre que le sentiment de manque est une bonne chose. Cela peut être salvateur. C’est une sensation motivante. Lorsqu’elle disparaît, c’est souvent le début de la fin, si je puis dire.
Je lui conseille dans un premier temps de se calmer, de prendre les choses avec plus de philosophie. J’étais d’accord pour qu’il vire sa copine parce que ça se voyait qu’il n’avait plus rien à faire ensemble, mais je ne lui ai pas dit de recommencer la même dans 6 mois. Juste le temps qu’il se rende compte que ce qu’il vit actuellement n’est qu’une passade.
De plus je n’ai qu’un son de cloche. Je ne sais pas ce que ressent la fille. Il ne faut jamais oublier qu’il y en a toujours un qui aime plus que l’autre. Et elle est jeune, qui sait ce qu’elle pensera dans 6 mois.
Qu’ils se contentent de vivre l’instant présent. Oui, je me répète toujours et encore. Mais ils ont bien le temps de faire des projets (sur la comète).
A peine revenue, Stefano m’appelle déjà au secours. Il me raconte que dire au revoir devient de plus en plus difficile. Il veut s’endormir et se réveiller à ses côtés. Moi je plaisante sur le fait qu’il veut simplement…
Il affirme que non, c’est au-delà de cela, il veut vivre avec elle. Je laisse échapper un gloussement. Il se meurt d’une passion dévorante à laquelle je ne donne que peu de durée de vie. Trois mois encore, tout au plus.
Je lui explique que l’Amour qui traverse tout n’existe pas. La flamme qui le rend dans cet état n’est rien d’autre qu’une drogue sécrétée par le cerveau. Lorsque celui-ci ne la produira plus, pfffiout! Plus rien. C’est triste mais ce n’est que la réalité. Après… ce n’est que l’habitude, et les coutumes judéo-chrétiennes. Et oui, les contes de fées c’est bien pour les bouquins d’enfants. La vraie vie, c’est une autre histoire.
Comme disait je ne sais plus qui: "on veut toujours ce qu’on a pas, et ce qu’on a, on en veut pas". Je l’invite à réfléchir sur sa situation. Pourquoi veut-il cette fille à ce point là? Parce qu’il ne peut pas l’avoir complètement, il ne peut pas s’exprimer comme il le veut, ni faire ce qu’il désire. Si c’était le cas, cela aurait tout de suite moins d’intérêt. J’essaie de lui faire comprendre que le sentiment de manque est une bonne chose. Cela peut être salvateur. C’est une sensation motivante. Lorsqu’elle disparaît, c’est souvent le début de la fin, si je puis dire.
Je lui conseille dans un premier temps de se calmer, de prendre les choses avec plus de philosophie. J’étais d’accord pour qu’il vire sa copine parce que ça se voyait qu’il n’avait plus rien à faire ensemble, mais je ne lui ai pas dit de recommencer la même dans 6 mois. Juste le temps qu’il se rende compte que ce qu’il vit actuellement n’est qu’une passade.
De plus je n’ai qu’un son de cloche. Je ne sais pas ce que ressent la fille. Il ne faut jamais oublier qu’il y en a toujours un qui aime plus que l’autre. Et elle est jeune, qui sait ce qu’elle pensera dans 6 mois.
Qu’ils se contentent de vivre l’instant présent. Oui, je me répète toujours et encore. Mais ils ont bien le temps de faire des projets (sur la comète).