Sherlock - Je me rase pour Sherlock Holmes
Je me rase pour Sherlock Holmes
Fandom : Sherlock
Persos : Mary/John/(Sherlock)
nb de mots : 527
rating : PG-13
avertissement : crack, OT3, relation établie. Post saison 3.
note : pour Andersandrew dans mon appel à prompts de Noël, qui voulait quelque chose d'humoristique sur la moustache de John.
Je me rase pour Sherlock Holmes.
John regarde le t-shirt, puis Mary, puis de nouveau le t-shirt qu’il tient à bout de bras, tout juste sorti de son emballage de plastique fin.
“C’est absolument hors de question”, dit-il sur un ton qu’il prend bien soin de rendre le plus définitif et le plus intransigeant possible. “Certainement pas.”
Confortablement installée dans son fauteuil, Mary le regarde sans ciller, décroise puis recroise les jambes, remonte Hope sur son épaule où elle s’est endormie et bave avec délectation sur la serviette de protection.
“Ça lui ferait plaisir,” remarque-t-elle en retenant presque parfaitement le sourire satisfait que John devine.
“Ça ne ferait que nourrir son ego déjà surdimensionné. Et je ne vois pas en quoi ce serait un bon cadeau d’anniversaire pour lui. Je ne vais pas lui offrir un t-shirt que je porterais, enfin ! Et surtout pas celui-là… J’ai prévu toute une semaine de disponibilité où nous pourrons aller enquêter ensemble, je ne vois vraiment pas pourquoi-
Cette fois Mary ne fait même pas semblant de retenir son sourire.
“Ah, mais ça, très cher, c’est ton cadeau pour lui, et je sais qu’il sera absolument ravi. Mais tu te méprends. Ceci”, elle désigne le t-shirt bleu pâle - n’est pas un cadeau que tu lui fais, c’est un cadeau que je lui fais.
- Tu-
- Et ça lui fera plaisir parce que le cadeau n’est pas simplement le t-shirt, mais ce qu’il y aura en dessous. Regarde dans la boîte.”
John regarde et ses sourcils grimpent rejoindre la ligne de ses cheveux tandis que ses oreilles puis son cou rougissent.
“Mary…”, proteste-t-il faiblement.
“J’avoue”, rit-elle, “c’est aussi un peu un cadeau pour moi aussi, disons que c’est une pierre deux coups. Mais après tout nous avons pris la semaine, Hope va passer ses journées avec tata Hudson, et s’il n’y a pas un bon beau meurtre il faudra bien que nous trouvions à nous occuper…
- Je-
- Allons, Capitaine Watson, je pensais que tu appréciais le danger…” Elle sourit, de son sourire qui fait accélérer le pouls de John et ajoute le parfait coup d’estoc. “Et après tout je le fais bien, ce n’est pas un peu de douleur qui t’arrêtera, non ?
- Le t-shirt ment”, dit finalement John.
“Ho, sémantique”, balaie-t-elle. “Le résultat est le même et ça durera plus longtemps. Et puis ça repousse, tu peux considérer cela comme une expérience. Est-ce que ça ne vaudra pas la peine juste pour voir sa tête ? Tu sais aussi bien que moi qu’il appréciera le geste… et le résultat.” Elle prend un ton pensif... “Il voudra sans doute expérimenter sur les différences de sensibilité de la peau et sur ta réactivité…”
Le rougissement se propage un peu plus et John grimace, puis soupire avec un sourire en coin.
“Tu es machiavélique.
- N’est-ce-pas ?”, acquiesce-t-elle, ravie. “Laisse-moi mettre la crevette au lit, et puis on va pouvoir tester la cire.” Elle se lève et avant de quitter la pièce, lui offre un clin d’oeil : “comme ça on pourra faire un round d’essai ce soir, avant de donner son cadeau à Sherlock.”
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Persos : Mary/John/(Sherlock)
nb de mots : 527
rating : PG-13
avertissement : crack, OT3, relation établie. Post saison 3.
note : pour Andersandrew dans mon appel à prompts de Noël, qui voulait quelque chose d'humoristique sur la moustache de John.
Je me rase pour Sherlock Holmes.
John regarde le t-shirt, puis Mary, puis de nouveau le t-shirt qu’il tient à bout de bras, tout juste sorti de son emballage de plastique fin.
“C’est absolument hors de question”, dit-il sur un ton qu’il prend bien soin de rendre le plus définitif et le plus intransigeant possible. “Certainement pas.”
Confortablement installée dans son fauteuil, Mary le regarde sans ciller, décroise puis recroise les jambes, remonte Hope sur son épaule où elle s’est endormie et bave avec délectation sur la serviette de protection.
“Ça lui ferait plaisir,” remarque-t-elle en retenant presque parfaitement le sourire satisfait que John devine.
“Ça ne ferait que nourrir son ego déjà surdimensionné. Et je ne vois pas en quoi ce serait un bon cadeau d’anniversaire pour lui. Je ne vais pas lui offrir un t-shirt que je porterais, enfin ! Et surtout pas celui-là… J’ai prévu toute une semaine de disponibilité où nous pourrons aller enquêter ensemble, je ne vois vraiment pas pourquoi-
Cette fois Mary ne fait même pas semblant de retenir son sourire.
“Ah, mais ça, très cher, c’est ton cadeau pour lui, et je sais qu’il sera absolument ravi. Mais tu te méprends. Ceci”, elle désigne le t-shirt bleu pâle - n’est pas un cadeau que tu lui fais, c’est un cadeau que je lui fais.
- Tu-
- Et ça lui fera plaisir parce que le cadeau n’est pas simplement le t-shirt, mais ce qu’il y aura en dessous. Regarde dans la boîte.”
John regarde et ses sourcils grimpent rejoindre la ligne de ses cheveux tandis que ses oreilles puis son cou rougissent.
“Mary…”, proteste-t-il faiblement.
“J’avoue”, rit-elle, “c’est aussi un peu un cadeau pour moi aussi, disons que c’est une pierre deux coups. Mais après tout nous avons pris la semaine, Hope va passer ses journées avec tata Hudson, et s’il n’y a pas un bon beau meurtre il faudra bien que nous trouvions à nous occuper…
- Je-
- Allons, Capitaine Watson, je pensais que tu appréciais le danger…” Elle sourit, de son sourire qui fait accélérer le pouls de John et ajoute le parfait coup d’estoc. “Et après tout je le fais bien, ce n’est pas un peu de douleur qui t’arrêtera, non ?
- Le t-shirt ment”, dit finalement John.
“Ho, sémantique”, balaie-t-elle. “Le résultat est le même et ça durera plus longtemps. Et puis ça repousse, tu peux considérer cela comme une expérience. Est-ce que ça ne vaudra pas la peine juste pour voir sa tête ? Tu sais aussi bien que moi qu’il appréciera le geste… et le résultat.” Elle prend un ton pensif... “Il voudra sans doute expérimenter sur les différences de sensibilité de la peau et sur ta réactivité…”
Le rougissement se propage un peu plus et John grimace, puis soupire avec un sourire en coin.
“Tu es machiavélique.
- N’est-ce-pas ?”, acquiesce-t-elle, ravie. “Laisse-moi mettre la crevette au lit, et puis on va pouvoir tester la cire.” Elle se lève et avant de quitter la pièce, lui offre un clin d’oeil : “comme ça on pourra faire un round d’essai ce soir, avant de donner son cadeau à Sherlock.”
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