Bon, je cède, voici ma liste au
kink meme d'Halloween d’
azalee_calypso.
Et j’essaierai aussi de participer également !
(Petit résumé des règles du jeu :
1) on poste un lien vers sa liste sur le Master post
2) Les gens répondent comme ils veulent sur le journal de la personne qui a posté le prompt qui les intéresse. On n’est pas obligé d’avoir posté
(
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Des innocents, blessés et morts, la rage montant sans cesse et le casque qui se brisait. La rage et la haine dans les gestes de Freeze, l’envie de faire souffrir autant qu’il souffre.
Tim était innocent et les Gothamites aussi, ils n’avaient rien à voir avec ses malheurs. Ceci marqua le point de basculement, véritablement.
Bruce n’était pas optimiste, réaliste sans concession, ni demi-mesure. Nora perdue, Victor l’était, perdu plus qu’il ne l’avait jamais été. Maintenant, il était comme les autres et Batman pouvait seulement l’arrêter, sauver ses victimes, briser ses plans et défenses. Nul culpabilité quand il évoquait Nora et que la colère, la tristesse et la rage de Victor revenait. Parce que quoiqu’il arriva, Batman n’oubliait pas : ni Tim, ni Gotham, ni les autres, jamais.
Il n’y avait plus d’espoir, comme le concerné l’avait dit lui-même certaines choses ne pouvaient être sauvé et d’autres ne le voulaient pas.
Il n’y avait plus d’espoir ni pour Nora, ni pour Victor, ça, Batman n’oubliait pas.
-
Mister Freeze était comme un autre de ses adversaires, tout en rage, puissance et violence, vide, ne vivant plus que dans un passé révolu et dans la douleur, la sienne, celles des autres. Depuis la mort de Nora, il s’était mué en ce que Batman voulait combattre depuis le début, moins victime, plus bourreau. Comme les autres, il le guettait d’autant plus qu’il semblait maintenant imprévisible, disparaissant des mois durant, sans doute pour frapper plus fort.
Il voulait sa vengeance et sa femme vivante, cet état de fait ne changeait pas et pourtant, un détail clochait, qui faisait réunir tout ce qui pouvait l’être, comme un mauvais pressentiment. Cependant, les affaires pressantes ne manquaient jamais, sans parler des crises pleinement ou partiellement évités, un fils découvert, même de sa propre disparition, dans l’espace et le temps. Freeze restait toujours là, tout autant dangereux, ne changeant pas ses méthodes, sans que le pressentiment ne parte véritablement, ni la pensée obscure et lancinante de quelque chose qu’il manquait invariablement.
Alors, comme toujours, il veillait, adoptant avec Mister Freeze la même posture qu’avec les autres, s’attendant au pire, toujours, à jamais.
Bruce connaissait Victor.
Batman n’oubliait rien à propos de Mister Freeze.
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J'aime beaucoup l'articulation et l'évolution chronologique de ton histoire, le fait qu'u début Bruce - Batman - peut ressentir de la pitié pour Freeze, parce qu'il est en quelque sorte une victime supplémentaire, et qu'il est conscient de la similitude avec sa propre histoire... et ke fait qu'au fur et à mesure Freeze fait ses choix, s'attaque aux Robins, il perd toute excuse pour n'être plus qu'un monstre comme les autres.
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