Naruto - drabble - ChouShikaIno
Avec un threesome que je n'ai encore jamais lu, même pas en anglais (mais ça fait longtemps que je ne cherche plus vraiment sur la partie english de ffnet).
Et ouais, traitez-moi de folle si vous voulez, je suis accro au ChouShikaIno.
Et je ne poste qu'un seul de mes drabbles ici, parce que comme il est classé PG-13, je ne pourrai pas m'en servir pour 30_interdits. Les autres, il faudra attendre le 23 juillet, que je m'inscrive... XD
Titre : Aucun pour l'instant - quelqu'un a une idée ?
Auteur : Ishime
Sujet : Naruto
Rating : PG-13
Genre : Romance
Disclaimer : Ino, Shikamaru et Chôji sont à Masashi Kishimoto.
Note : Attention, je me répète : ce drabble évoque un threesome, en bon français ménage à trois. Si ça vous dérange, vous dégoûte ou vous traumatise, s'il vous plaît ne le lisez pas.
Sinon, j'ai eu envie d'écrire ce paring parce que j'aime beaucoup les fics sur l'équipe 7 de Kineko et Asuka. Sauf que mes personnages préférés à moi sont l'équipe 10. Donc voilà.
Thème (donné par Menhlo) : superficiel
Ino était une fille superficielle.
Pour Shikamaru, ce n'était même plus un jugement de valeur, c'était un fait. Elle se préoccupait de son allure, prenait soin de sa peau, de ses cheveux, prenait garde à 'assortir' ses vêtements, à toujours conserver une démarche féminine... Elle jugeait les autres d'après leur physique, et était incapable de voir qui ils étaient réellement.
Mais peut-être parce que justement, ce défaut avait cessé d'être un jugement de valeur à ses yeux, il ne le dérangeait plus. Du moins plus vraiment.
Il l'acceptait elle, totalement, sans laisser de côté un aspect de son caractère parce qu'il paraissait moins reluisant.
Chôji était l'opposé d'un garçon superficiel.
C'était l'évidence même. Il aimait les gens tels qu'ils étaient, sans chercher à les changer. Il s'attachait à eux facilement, et leur restait fidèle, envers et contre tout. L'affection qu'il avait pour Ino en était la preuve la plus flagrante. Elle l'avait ignoré pendant des années, ne lui adressant la parole que pour le critiquer, sans qu'il ne cesse de voir en elle une amie et une personne formidable.
Chôji l'avait choisi comme meilleur ami, malgré sa paresse et ses grognements. Il l'avait accompagné partout, en souriant toujours, entre deux bouchées de chips. Il lui avait fait confiance, sans jamais exiger d'explications.
Bien sûr, il avait d'autres défauts. Il passait ses journées à grignoter. Il n'était pas vraiment très intelligent - du moins, tactiquement parlant.
Mais Shikamaru n'aurait pas supporté qu'on change quoi que ce soit en lui, pas même ses défauts.
Shikamaru ne s'était jamais demandé s'il était ou non superficiel.
Il n'en avait jamais eu l'occasion auparavant. Tout simplement parce qu'il n'aimait pas s'interroger sur son quotidien. Généralement, plus la question paraissait simple, plus il était difficile d'y répondre. Dans un combat, celle qui se souçiait encore de l'état de sa coiffure ou de ses vêtements était superficielle, point.
Dans la vie de tout les jours, c'était plus complexe.
Il y avait des tas de sujets sur lesquels il avait refusé de s'attarder mentalement, comme par exemple le lien qui s'était tissé petit à petit entre lui et ses équipiers. Ils étaient amis depuis l'enfance, et c'était tout. Il n'y avait aucun besoin de s'interroger là-dessus.
S'il détestait voir les autres garçons tourner autour d'Ino quand elle quittait sa tenue habituelle pour un kimono, c'était parce qu'ils le bousculaient au passage et agissaient exactement comme s'il n'existait pas. Si les filles qui s'extasiaient sur Chôji depuis qu'il avait cessé de ressembler à un petit garçon joufflu l'exaspéraient, c'était parce que leurs piaillements étaient insupportables.
Et à présent il réalisait à quel point il était superficiel dans sa vie quotidienne.
La vie n'était pas seulement une lutte à mort entre shinobis. Tout ne se limitait pas à l'utilité dans un combat.
Il se sentait vraiment stupide, en s'aperçevant seulement maintenant, après qu'ils l'aient installé dans un canapé entre eux deux et embrassé l'un après l'autre, que ce n'était pas, que ce n'était plus de l'amitié. Ino et Chôji sourirent devant son air embarrassé. Chôji le saisit par la taille, le souleva et l'installa sur ses genoux, ignorant ses protestations. Ino eut un rire moqueur, vint l'y rejoindre d'un saut et passa sa main dans ses cheveux, sans l'écouter ronchonner. Il continua de marmonner pour la forme quand ils le traînèrent jusqu'au lit de Chôji, mais se tut quand un doigt se posa sur ses lèvres.
S'il était un génie tactique, il était tout bonnement aveugle dès lors qu'il sagissait de sentiments ; il était peut-être, au fond, le plus superficiel d'eux trois, mais puisqu'ils l'acceptaient tel quel, il n'avait pas à en rougir.
Et ouais, traitez-moi de folle si vous voulez, je suis accro au ChouShikaIno.
Et je ne poste qu'un seul de mes drabbles ici, parce que comme il est classé PG-13, je ne pourrai pas m'en servir pour 30_interdits. Les autres, il faudra attendre le 23 juillet, que je m'inscrive... XD
Titre : Aucun pour l'instant - quelqu'un a une idée ?
Auteur : Ishime
Sujet : Naruto
Rating : PG-13
Genre : Romance
Disclaimer : Ino, Shikamaru et Chôji sont à Masashi Kishimoto.
Note : Attention, je me répète : ce drabble évoque un threesome, en bon français ménage à trois. Si ça vous dérange, vous dégoûte ou vous traumatise, s'il vous plaît ne le lisez pas.
Sinon, j'ai eu envie d'écrire ce paring parce que j'aime beaucoup les fics sur l'équipe 7 de Kineko et Asuka. Sauf que mes personnages préférés à moi sont l'équipe 10. Donc voilà.
Thème (donné par Menhlo) : superficiel
Ino était une fille superficielle.
Pour Shikamaru, ce n'était même plus un jugement de valeur, c'était un fait. Elle se préoccupait de son allure, prenait soin de sa peau, de ses cheveux, prenait garde à 'assortir' ses vêtements, à toujours conserver une démarche féminine... Elle jugeait les autres d'après leur physique, et était incapable de voir qui ils étaient réellement.
Mais peut-être parce que justement, ce défaut avait cessé d'être un jugement de valeur à ses yeux, il ne le dérangeait plus. Du moins plus vraiment.
Il l'acceptait elle, totalement, sans laisser de côté un aspect de son caractère parce qu'il paraissait moins reluisant.
Chôji était l'opposé d'un garçon superficiel.
C'était l'évidence même. Il aimait les gens tels qu'ils étaient, sans chercher à les changer. Il s'attachait à eux facilement, et leur restait fidèle, envers et contre tout. L'affection qu'il avait pour Ino en était la preuve la plus flagrante. Elle l'avait ignoré pendant des années, ne lui adressant la parole que pour le critiquer, sans qu'il ne cesse de voir en elle une amie et une personne formidable.
Chôji l'avait choisi comme meilleur ami, malgré sa paresse et ses grognements. Il l'avait accompagné partout, en souriant toujours, entre deux bouchées de chips. Il lui avait fait confiance, sans jamais exiger d'explications.
Bien sûr, il avait d'autres défauts. Il passait ses journées à grignoter. Il n'était pas vraiment très intelligent - du moins, tactiquement parlant.
Mais Shikamaru n'aurait pas supporté qu'on change quoi que ce soit en lui, pas même ses défauts.
Shikamaru ne s'était jamais demandé s'il était ou non superficiel.
Il n'en avait jamais eu l'occasion auparavant. Tout simplement parce qu'il n'aimait pas s'interroger sur son quotidien. Généralement, plus la question paraissait simple, plus il était difficile d'y répondre. Dans un combat, celle qui se souçiait encore de l'état de sa coiffure ou de ses vêtements était superficielle, point.
Dans la vie de tout les jours, c'était plus complexe.
Il y avait des tas de sujets sur lesquels il avait refusé de s'attarder mentalement, comme par exemple le lien qui s'était tissé petit à petit entre lui et ses équipiers. Ils étaient amis depuis l'enfance, et c'était tout. Il n'y avait aucun besoin de s'interroger là-dessus.
S'il détestait voir les autres garçons tourner autour d'Ino quand elle quittait sa tenue habituelle pour un kimono, c'était parce qu'ils le bousculaient au passage et agissaient exactement comme s'il n'existait pas. Si les filles qui s'extasiaient sur Chôji depuis qu'il avait cessé de ressembler à un petit garçon joufflu l'exaspéraient, c'était parce que leurs piaillements étaient insupportables.
Et à présent il réalisait à quel point il était superficiel dans sa vie quotidienne.
La vie n'était pas seulement une lutte à mort entre shinobis. Tout ne se limitait pas à l'utilité dans un combat.
Il se sentait vraiment stupide, en s'aperçevant seulement maintenant, après qu'ils l'aient installé dans un canapé entre eux deux et embrassé l'un après l'autre, que ce n'était pas, que ce n'était plus de l'amitié. Ino et Chôji sourirent devant son air embarrassé. Chôji le saisit par la taille, le souleva et l'installa sur ses genoux, ignorant ses protestations. Ino eut un rire moqueur, vint l'y rejoindre d'un saut et passa sa main dans ses cheveux, sans l'écouter ronchonner. Il continua de marmonner pour la forme quand ils le traînèrent jusqu'au lit de Chôji, mais se tut quand un doigt se posa sur ses lèvres.
S'il était un génie tactique, il était tout bonnement aveugle dès lors qu'il sagissait de sentiments ; il était peut-être, au fond, le plus superficiel d'eux trois, mais puisqu'ils l'acceptaient tel quel, il n'avait pas à en rougir.