Aug 04, 2012 21:47
Bonsoir,
Ce soir, coincer chez moi par deux vilains beaux-frères, ma marraine, la fée twitter, fit pleuvoir des miriades d'informations sur moi tel que "nuit de l'écriture dans 20 minutes" pour me faire voyager depuis mon vieil ordinateur qui me servait de chauffage pour dormir.
Je participais donc à la nuit de l'écriture pour avancer au niveau recherche, écriture et dessin. Oui les trois :) Je voulais tenter d'y participer jusqu'à ce que ma plume se transforme en citrouille et ma souris d'ordinateur en mulot... et éditer ce post plusieurs fois pour faire le point sur mes avancées ou mes interrogations : Mais où est donc passé le prince charmant ?
Voici donc l'histoire de ma première mi-nuit de l'écriture:
J'ai cherché (Mais où est ma muse ? Cette égocentrique et susceptible petite créature. Oups... je veux dire mais où est donc l'astucieux et talenteux prince ?),
J'ai trouvé (entrain de casser les pieds de je-ne-sais-qui),
J'ai écris (chère maraine, pourrais-tu m'expliquer l'intérêt de me mettre un couvre-feu dans des conditions pareils. Ne devais-je pas voyager dans un pays imaginaire où les doigts pianotent vite et l'orthographe s'adapte à l'écrivain et non l'inverse. Ta filleule qui t'aime).
Réponse de ma marraine :
Pour te faire progresser, ma filleule ! En te bottant les fesses s'il le faut, puisque je ne peux pas botter celles du prince, fort belles au demeurant. Les as-tu croqué au moins ?
Signée : Ta marraine qui ne peut que t'aimer puisque c'est dans son contrat avec disney.
Je dois avouer que non, ce n'est pas ce que je cherchais. En outre, le prince n'avait pas arrêté de se disperser et n'étant pas une groupie dans l'âme ni dans l'esprit, à suivre le premier email-diamant toute une soirée pour obtenir quelques faveurs faciles, je ne pus qu'apercevoir cette partie anatomique fort prisée et bien peu partager par le prince, sans qu'il l'eu anticipé ni moi d'ailleurs.
Puis vint minuit et les premiers virus, plus retords à chaque fois. Mon courageux HP pavilion ne possèdant ni anti-virus ni duo core, il tint bon jusqu'au douzième coups, 758 mots au compteur au final.
Il ne me reste donc plus qu'à aller croquer rapidement avec fusain, pinceaux et couleurs quelques scènes pour mon campnano avant qu'elles ne disparaissent de ma mémoire après cette soirée. Car de ces instants passés, il ne me reste plus que quelques souvenirs extrêmement précieux parce que possédant la rareté du vair et la fagilité de son homophone : le verre.
Isabelle et la touche de verre.
les 12 coups,
dessin,
campnanowrimo,
Fénia