(no subject)
chacun voudrait bien lancer sa télévision par la fenêtre. chacun voudrait bien vivre avec ses idéaux, avec ses beaux slogans, avec ses mensonges-pour-bien-paraître. mais quand c'est l'heure de la tolérance, où s'envolent les beaux idéaux proclamés? rien. nothing. nada. j'ai comme toujours cette impression de voir ce que les gens ne veulent pas s'avouer à eux-même. je suis folle. j'ai conscience d'être passée par là, aussi, mais d'un tout autre sens. le lien douteux est très évident dans ma tête.
et peut-être que tout revient au même. peut-être pas, aussi. tout ça à cause d'une personne qui a bien voulu faire ce que son coeur lui disait. on ne le saura jamais vraiment, alors pourquoi s'en soucier? les êtres humains en général sont fous.
malgré tout, malgré tout tout tout, j'ai envie de serrer le monde entier dans mes bras. j'ai envie de sourire comme si j'étais la reine d'angleterre à un gala quelconque, mais moi, ce serait pour de vrai et contagieux. je pense à toi, toi et toi, et tous les autres. mon nuage vibre, et c'est comme tout chaud. sublime, rancid, bjork. et shakira demain. (elle est petite petite et elle danse étrange. c'est comme si elle l'avait pas pentoute l'affaire. je l'idolâtre.)