Petite histoire du boulot 1
A y est, voilà la première partie !
Titre : La quête de la Jeune Carole à la recherche du Pays Manga
Genre : délire complet
Rating : G
Avertissements : aucun
Disclaimer : Cette histoire est une oeuvre de pure fiction. Toute ressemblance avec des lieux ou des personnes existantes est vraiment réellement complètement totalement le parfait fruit d'un hasard incroyable. si, je vous jure ! Si vous reconnaissez quelque chose, ce n'est pas à moi. Ceci est une écriture à but non lucratif. Les opinions exprimées par les personnages ne sont pas forcément celles de l'auteur. (je pense que ça couvre l'essentiel)
Part I
Au royaume de la Fnac, dans la ville de V2, vivait une jeune Carole. Elle passait ses journées enfermée dans une petite cabane à collecter les taxes pour le roi. Et toute la journée, elle rêvait de partir dans le lointain pays de Manga, là où monstres et samouraïs côtoient écolières en costume marin, armures futuristes et toutes sortes de robots et créatures virtuelles.
Un jour Sami, un druide lycanthrope forcé lui aussi à collecter les taxes par une magie obscure et cruelle, lui adressa ces propos :
« Hey, heu, Carole. J'ai entendu parler d'un lutin dans la forêt EGP qui connaît peut être un moyen d'aller à Manga. Faut que tu trouves Loïc, c'est pas trop dur, c'est un lutin geek et il a vraiment une tête de geek. » Ayant ainsi parlé, il se changea en loup et partit hurler à la lune.
Quand tout fut calme et les taxes de la journée enfermées dans les coffres royaux, la jeune Carole se dirigea vers la forêt EGP à la recherche du lutin geek Loïc. La forêt EGP était une partie du quartier EGP où les arbres avaient des feuilles gigantesques sur lesquelles des images apparaissaient pour raconter des histoires pleines d'aventures. La jeune Carole chercha de longues heures durant, sous la lumière de la lune et la clarté des feuilles-écrans. Elle rencontra un Christophe, étourdissant de paroles et de rires, qui finit par lui indiquer la tanière du geek.
Loïc, le lutin geek, n'était pas petit. Il avait des oreilles pointues, des petites lunettes ovales et un air un peu sournois à force de longer les murs. Il marmonna quelque chose d'inintelligible en la voyant, mais la jeune Carole n'y prêta pas attention.
« Salut Loïc ! » s'écria-t-elle. « Je veux aller à Manga et Sami m'a dit que tu savais comment y aller ! »
« Heu Manga ? Ouais, sûr, y a un moyen... Mais c'est pas facile. Et faut beaucoup d'argent. »
« De l'argent ? »
« Ouais, c'est pour Séraphine, la sphinx. Elle habite dans la Cité Perdue de Gemmes, au milieu du Désert de l'Avarice qui est derrière les Montagnes de l'Oubli. Elle arrête pas de poser des questions, et une fois sur deux c'est « Combien tu me payes ? ». Et si elle aime pas la réponse, ben c'est une sphinx. »
« Heu, okay, » dit la jeune Carole, « mais en quoi ça m'aide à aller à Manga ? »
« Ben Séraphine sait comment y aller. »
Cette nuit-là, Carole ne cessa de se retourner sur son matelas, posé à même le sol de sa petite cabane. Comment allait-elle trouver l'argent pour payer Séraphine ? Elle s'en ouvrit le lendemain à sa collègue Valéria, une dryade venue des pays du sud. Celle-ci lui fit remarquer avec justesse que nulle part dans la ville de V2 pourrait-elle trouver la somme, à moins de se poster sur la voie d'accès et d'attaquer les voyageurs.
« T'es complètement malade ! »s'écria la jeune Carole. « Si je fais ça, ils vont prévenir les gardes, la route sera surveillée et je finirais en prison ! Je veux aller à Manga, pas moisir dans un trou ! Et ça prendra trop de temps ton idée. »
« Alors t'as qu'à voler la recette des taxes. » répondit Valéria en haussant les épaules. A ces mots, la jeune Carole ouvrit de grands yeux.
« C'est encore plus dingue ! »
« Tu veux beaucoup d'argent rapidement, il n'y a pas trente-six solutions. »
La jeune Carole médiat toute la journée sur les paroles de Valéria, méditation ponctuée par le passage des gens à se cabane pour les taxes. A force de répéter éternellement le même échange de paroles :
« Bonjour Madame/Monsieur, êtes-vous citoyen de la Fnac ? » « Vous transportez (…), ce qui vous fera une taxe de (…). Nous prenons les espèces, les cartes de crédit et les chèques. » « Merci Madame/Monsieur, et passez une excellente journée ! »
A force de se répéter, elle prit finalement sa décision. Elle irait à Manga coûte que coûte, peu importe les épreuves !
Titre : La quête de la Jeune Carole à la recherche du Pays Manga
Genre : délire complet
Rating : G
Avertissements : aucun
Disclaimer : Cette histoire est une oeuvre de pure fiction. Toute ressemblance avec des lieux ou des personnes existantes est vraiment réellement complètement totalement le parfait fruit d'un hasard incroyable. si, je vous jure ! Si vous reconnaissez quelque chose, ce n'est pas à moi. Ceci est une écriture à but non lucratif. Les opinions exprimées par les personnages ne sont pas forcément celles de l'auteur. (je pense que ça couvre l'essentiel)
Part I
Au royaume de la Fnac, dans la ville de V2, vivait une jeune Carole. Elle passait ses journées enfermée dans une petite cabane à collecter les taxes pour le roi. Et toute la journée, elle rêvait de partir dans le lointain pays de Manga, là où monstres et samouraïs côtoient écolières en costume marin, armures futuristes et toutes sortes de robots et créatures virtuelles.
Un jour Sami, un druide lycanthrope forcé lui aussi à collecter les taxes par une magie obscure et cruelle, lui adressa ces propos :
« Hey, heu, Carole. J'ai entendu parler d'un lutin dans la forêt EGP qui connaît peut être un moyen d'aller à Manga. Faut que tu trouves Loïc, c'est pas trop dur, c'est un lutin geek et il a vraiment une tête de geek. » Ayant ainsi parlé, il se changea en loup et partit hurler à la lune.
Quand tout fut calme et les taxes de la journée enfermées dans les coffres royaux, la jeune Carole se dirigea vers la forêt EGP à la recherche du lutin geek Loïc. La forêt EGP était une partie du quartier EGP où les arbres avaient des feuilles gigantesques sur lesquelles des images apparaissaient pour raconter des histoires pleines d'aventures. La jeune Carole chercha de longues heures durant, sous la lumière de la lune et la clarté des feuilles-écrans. Elle rencontra un Christophe, étourdissant de paroles et de rires, qui finit par lui indiquer la tanière du geek.
Loïc, le lutin geek, n'était pas petit. Il avait des oreilles pointues, des petites lunettes ovales et un air un peu sournois à force de longer les murs. Il marmonna quelque chose d'inintelligible en la voyant, mais la jeune Carole n'y prêta pas attention.
« Salut Loïc ! » s'écria-t-elle. « Je veux aller à Manga et Sami m'a dit que tu savais comment y aller ! »
« Heu Manga ? Ouais, sûr, y a un moyen... Mais c'est pas facile. Et faut beaucoup d'argent. »
« De l'argent ? »
« Ouais, c'est pour Séraphine, la sphinx. Elle habite dans la Cité Perdue de Gemmes, au milieu du Désert de l'Avarice qui est derrière les Montagnes de l'Oubli. Elle arrête pas de poser des questions, et une fois sur deux c'est « Combien tu me payes ? ». Et si elle aime pas la réponse, ben c'est une sphinx. »
« Heu, okay, » dit la jeune Carole, « mais en quoi ça m'aide à aller à Manga ? »
« Ben Séraphine sait comment y aller. »
Cette nuit-là, Carole ne cessa de se retourner sur son matelas, posé à même le sol de sa petite cabane. Comment allait-elle trouver l'argent pour payer Séraphine ? Elle s'en ouvrit le lendemain à sa collègue Valéria, une dryade venue des pays du sud. Celle-ci lui fit remarquer avec justesse que nulle part dans la ville de V2 pourrait-elle trouver la somme, à moins de se poster sur la voie d'accès et d'attaquer les voyageurs.
« T'es complètement malade ! »s'écria la jeune Carole. « Si je fais ça, ils vont prévenir les gardes, la route sera surveillée et je finirais en prison ! Je veux aller à Manga, pas moisir dans un trou ! Et ça prendra trop de temps ton idée. »
« Alors t'as qu'à voler la recette des taxes. » répondit Valéria en haussant les épaules. A ces mots, la jeune Carole ouvrit de grands yeux.
« C'est encore plus dingue ! »
« Tu veux beaucoup d'argent rapidement, il n'y a pas trente-six solutions. »
La jeune Carole médiat toute la journée sur les paroles de Valéria, méditation ponctuée par le passage des gens à se cabane pour les taxes. A force de répéter éternellement le même échange de paroles :
« Bonjour Madame/Monsieur, êtes-vous citoyen de la Fnac ? » « Vous transportez (…), ce qui vous fera une taxe de (…). Nous prenons les espèces, les cartes de crédit et les chèques. » « Merci Madame/Monsieur, et passez une excellente journée ! »
A force de se répéter, elle prit finalement sa décision. Elle irait à Manga coûte que coûte, peu importe les épreuves !