Défi libre : Bébé
J'ai l'impression que les derniers défis libres remontent à 3 mois à peine ^^; Je crains de ne pas en profiter comme il se doit cette fois-ci :(
Personnages/Couples : James Potter (et Harry)
Rating : K
Défi : Bébé (écrit le 04/01/13 pour la nuit du FOF sur le thème Résolution)
Nombre de mots : 2x100
J’ai comme une impression de redite de Plus que de raison (publiée sur la communauté) mais bon, c’est la seule idée qui me soit venue.
Harry suce son poing durant son sommeil. Le voir téter ses doigts minuscules et fripés dans un bruit mouillé de succion est la chose la plus adorable que James ait jamais vue. Son fils est la chose la plus adorable qui soit ; il ne se lasse pas de le regarder. Ses grands yeux verts (et un peu globuleux, il faut bien l’avouer) qu’il a hérités de sa mère, sa tignasse sombre et déjà épaisse pour son âge, les odeurs de lait, de talc et de ce quelque chose d’indéfinissable qui lui est particulier. Le rosé de sa peau si délicate…
Comment un être aussi débordant de vie, qui n’a de cesse d’explorer l’univers qui l’entoure, peut porter le poids d’un tel destin sur les épaules dépasse l’entendement de James. Faire l’objet d’une prophétie n’est pas ce qu’il aurait souhaité pour Harry mais une part de lui ne peut étouffer la braise de fierté qui l’anime. Son fils, son enfant va changer le monde.
Du revers de l’index, James caresse la joue rebondie sans prendre garde à la bave de bébé qu’il récolte au passage.
« Si tu savais combien je t’aime, Harry. Je te promets, je serai toujours là pour toi. »
Personnages/Couples : James Potter (et Harry)
Rating : K
Défi : Bébé (écrit le 04/01/13 pour la nuit du FOF sur le thème Résolution)
Nombre de mots : 2x100
J’ai comme une impression de redite de Plus que de raison (publiée sur la communauté) mais bon, c’est la seule idée qui me soit venue.
Harry suce son poing durant son sommeil. Le voir téter ses doigts minuscules et fripés dans un bruit mouillé de succion est la chose la plus adorable que James ait jamais vue. Son fils est la chose la plus adorable qui soit ; il ne se lasse pas de le regarder. Ses grands yeux verts (et un peu globuleux, il faut bien l’avouer) qu’il a hérités de sa mère, sa tignasse sombre et déjà épaisse pour son âge, les odeurs de lait, de talc et de ce quelque chose d’indéfinissable qui lui est particulier. Le rosé de sa peau si délicate…
Comment un être aussi débordant de vie, qui n’a de cesse d’explorer l’univers qui l’entoure, peut porter le poids d’un tel destin sur les épaules dépasse l’entendement de James. Faire l’objet d’une prophétie n’est pas ce qu’il aurait souhaité pour Harry mais une part de lui ne peut étouffer la braise de fierté qui l’anime. Son fils, son enfant va changer le monde.
Du revers de l’index, James caresse la joue rebondie sans prendre garde à la bave de bébé qu’il récolte au passage.
« Si tu savais combien je t’aime, Harry. Je te promets, je serai toujours là pour toi. »