Titre: Le dindon de la farce.
Disclaimer: rien n’est a moi, tout est à JKR (pffffff, si c’est pas triste)
Personnages/Couples: Harry/ Ginny, Sirius / Severus
Rating: PG
Défi: Veritaserum
Nombre de mots: 4 x 100
Note : Dans cette histoire ridicule, il est fait mention d’une chanson que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Elle est tirée d’une vieille opérette. Si vous voulez jeter une oreille, elle c’est
là (version revue et corrigée par Moriarty).
Et oui, j’ai des goûts musicaux de Mamie. Mais j’assume !
Ah, et au cas ou ce ne serait pas clair, les pistons mentionnées ci-dessous sont ceux de « choupette » la moto d’amour de Sirius.
Harry referma la porte de la cuisine derrière lui, mais le chant étrange parvenait encore à ses oreilles.
Ginny hurla que tout ceci était sa faute, et qu’a son retour, il a avait tout intérêt à avoir solutionner ce petit problème lyrique, sinon il devrait se contenter du vieux canapé.
Et il avait aussi intérêt à faire la vaisselle !
Et a passer l’aspirateur !
Et encore bien d’autres choses qu’il n’avait pas comprises puisqu’elle avait disparut dans la cheminée en les énumérant.
Franchement, comme s’il y était pour quelque chose dans toute cette histoire.
C’était entièrement la faute d’Hermione.
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Ok, il avait voulu que son parrain soit enfin heureux.
Il le méritait bien après tant d’année de prison, de cavale, de planque et de misère sexuelle sentimentale.
D’accord, il avait voulu que Snape trouve enfin un amant pour l’épuiser le bonheur, pour le remercier d’avoir veillé sur lui durant tant d’années.
Et aussi pour que la prochaine génération de jeunes sorciers, dont son futur fils ne soit pas traumatisée du chaudron comme Neville. (Le jeune professeur de Botanique préférait encore faire un détour de vingt-cinq minutes plutôt que de passer devant les cachots pour se rendre aux serres)
*****
Oui, l’idée venait de lui.
Inviter Sirius et Severus à souper et les forcer à s’avouer enfin leur amour refoulé en leur faisant boire du véritaserum à leur insu, était loin d’être stupide.
Il voulait bien concéder que sans le manuel de Snape, il était carrément un handicapé de la potion.
C’était bien pour ça qu’il avait fait appel à Hermione pour l’aider.
D’ailleurs quand le disque d’opérette moldu offert par Molly pour noël était malencontreusement tombé dans le veritaserum en train de bouillir, elle lui avait assuré que s’il le retirait délicatement, cela n’altérerait en rien la potion.
******
Alors, tout ceci était la faute d’Hermione.
Et puis ça avait marché ! Plus ou moins. D’une façon très, hum, harmonieuse ?
Et non, il ne dormirait pas sur le canapé sous le prétexte que Ginny enceinte jusqu'à yeux n’en pouvait plus d’entendre les deux zigomars s’époumoner :
- J'aime bien mes chaudrons
- J'aime bien mes pistons
- Quand ils font leurs doux gloup gloup gloup
- Quand chacun d'eux fait vroum,
- Mais... j't’aime mieux qu'mes chaudrons
- J't'aime mieux qu'mes pistons
- Quand ils font leurs doux gloup gloup gloup
- Quand chacun d'eux fait vroum,
- Gloup gloup gloup
- Vroum,
- Gloup gloup gloup
- Vroum vroum vroum