La belle au cou percé. Défi de tous les défis
Titre La belle au cou percé
Personnages/Pairing: Dean/Pansy,Ron/Hermione, Harry, Rose, Drago
Disclaimer: Tout à JKR
Rating : PG-13 pour certains thèmes
Nombre de mots: 4x100, 2x100, 2x100, 100 et 100
Je pourrais avoir un tag série, madame la modé?? Je me suis décidée pour " 101 vies pour Dean"....Et je me suis trompée, j'ai mis le tag défi en cours et j'arrive pas à l'enlever!
La belle au cou percé
Défi : Vampire
Etre un artiste, c’est parfois fréquenter des endroits peu recommandables…. Dean avait passé la semaine à croquer des taudis et des tavernes embrumées dans l’Allée des Embrumes.
En rentrant un soir, il aperçut deux silhouettes affalées dans un porche, dont l’une portait le jupon orange reconnaissable des filles de joie. Il aurait passé pudiquement sa route si un faible cri n’avait retenti, juste au moment où l’odeur du sang parvenait à ses narines.
Il ne fit qu’un bond, empoigna le type par l’épaule pour l’envoyer bouler, mais c’est une face aux canines beaucoup trop longues qui se retourna vers lui.
Il levait déjà sa baguette, le sort aux lèvres, entraîné par ses réflexes acquis pendant la guerre quand la prostituée se jeta entre le vampire et lui.
« Thomas, crétin, c’est un client !
-PARKINSON !! »
Le vampire attroupait sa cape autour de lui et cherchait à prendre la poudre d’escampette, mais la poigne de Dean se resserra autour de son cou.
« Eh là, Dents Longues, attendez un peu…
-Thomas, laisse le partir, je te dis, tu vas ruiner ma réputation.
-Ta réputation !! Très bien, Crocs blancs s’en va, mais TOI tu viens avec moi ! »
« Mets toi à l’aise. J’ai du jus de pomme ou de la bière au gingembre.
-Un jus de fruits. Qu’est-ce que tu foutais là ?
-Des études pour une commande. Les populations sorcières défavorisées en sept mètres sur trois.
-Et tu ne t’es pas fait agresser ? Un type qui regarde tout avec trop d’attention ? Sans parler des vampires en rupture de promesse qui cherchent un casse-croûte ! »
Il désigna le cordon rouge porté sur l’épaule droite de sa cape: le signe de reconnaissance de la dernière Bataille, portés par les survivants en souvenir de leur camarades…
« Voyez-vous cela. Un cordon rouge. Un membre des phalanges opérationnelles de l’Ordre. Je comprends mieux que les vampires t’évitent. On dit que vous étiez spécialement entraînés contre eux.
-C’était le cas. L’Ordre savait que nous aurions à affronter lors de la Bataille les clans vampires qui s’étaient ralliés à Voldemort. On était prêt, pas eux et le vieil Alastor nous avait appris à ne pas faire dans la dentelle. Ils n’avaient qu’à pas rompre leur promesse et à en rester au sang animal, mais n’essaye pas de détourner la conversation. Pourquoi as-tu dit que c’était un client ? »
Défi : Rumeur
Parkinson s’était endormie dans son lit, dans un de ses pyjamas. Elle avait d’abord récriminé, cherché à se sauver, jusqu’au moment où il avait demandé le tarif pour qu’elle reste et se taise enfin. 300 Gallions plus tard, elle avait paru très étonnée qu’il ne la touche pas, mais l’envoie prendre un bain, lui fasse un sandwich gigantesque, servi avec un verre de lait et l’envoie se coucher.
Il alluma la Cheminée. A six heures du matin, Ron devait encore être chez lui.
« Tu as entendu quelque chose sur ce qu’est devenue Pansy Parkinson depuis la Bataille ? »
« La brigade des mœurs raconte qu’elle est tombée dans les pattes d’un proxénète. Ce type a monté un réseau : des filles de familles déchues qui ont besoin de fric pour entretenir leur fratrie quand les parents sont à Azakaban où il faut encore graisser des patte pour s’assurer qu’aucun d’eux ne tombera accidentellement jusqu’à s’en briser le cou.
- Il les prostitue ?
- Ouais, y compris aux vampires qu’ont un creux, tant qu’ils n’assèchent pas les filles, sinon, il y a un supplément important à payer. Et personne ne lève le petit doigt….
- …parce que ce sont des Serpentardes...»
Défi : Auror
Quand Pansy se réveilla, l’appartement était vide, sa baguette avait disparu et la porte était verrouillée…Pour qui il se prenait Thomas ?
Elle évaluait la distance de la fenêtre au sol quand le peintre rentra…en compagnie de Weasley et Potter !
« Des Aurors, ordure !
-On se calme, le chat sauvage, on vient pour t’aider. Tu l’ignores peut-être, mais Ron est papa d’une petite Rose depuis deux mois.
-Je dois le féliciter ?
-Non, lui demander s’il cherche une nounou !
-Potter……moi ??
-Il paraît que tu as deux benjamins dont tu t’occupes, tu m’as l’air qualifiée ! »
Le bedonnant tenancier de La Vouivre aguicheuse avait senti les ennuis quand la gosse Parkinson n’était pas rentrée avec les autres filles.
Maintenant, alors qu’un Auror roux lui enfonçait méchamment la tête dans la planche du comptoir en lui murmurant que les pots de vin, c’était fini et que c’est son équipe qui reprenait le dossier, il se disait qu’il avait bien eu raison. Encore plus quand leurs collègues débarquèrent et l’emmenèrent jusqu’à une cellule où il attendit son procès, procès où toutes les filles comparurent….15 ans à Azkaban pour proxénétisme.
Il ne faisait pas bon attirer l’attention de l’Elu.
Défi : Petits bonheurs et Habitude
C’est très différent des repas d’autrefois, avant la chute de la famille.
Ron et Hermione, les meilleurs patrons du monde selon elle, sont chacun à un bout de la table, ses deux frères, Rose, s’installent dans un joyeux désordre. Dean passe souvent dîner les soirs de semaine, et le week-end, c’est rare qu’on n’ait pas la visite d’un des couples Weasley….et quand ils vont dîner au Terrier, ils emmènent les trois Parkinson avec eux !
Dans ce bonheur domestique, qu’elle soit à plier du linge ou à empêcher Rose de manger de la pâte à modeler, Pansy se sent heureuse.
Défi : Mépris
C’est une Parkinson en larme que Dean trouva ce jour là sur son palier. Cinq paquets de mouchoirs, deux verres de Firewhisky plein à ras bord et de multiples tapotements de l’épaule plus tard, il comprit que, en train de faire des courses sur le Chemin de Traverse, elle y avait croisé Draco. Elle avait voulu l’aborder mais celui-ci lui avait bien fait comprendre qu’il n’avait rien à faire avec une femme comme elle, flétrie.
Sanglotante, elle se plaignit que plus aucun honnête homme ne voudrait d’une ancienne pute, et c’est à ce moment que Dean se pencha et l’embrassa.
***Fin.
Personnages/Pairing: Dean/Pansy,Ron/Hermione, Harry, Rose, Drago
Disclaimer: Tout à JKR
Rating : PG-13 pour certains thèmes
Nombre de mots: 4x100, 2x100, 2x100, 100 et 100
Je pourrais avoir un tag série, madame la modé?? Je me suis décidée pour " 101 vies pour Dean"....Et je me suis trompée, j'ai mis le tag défi en cours et j'arrive pas à l'enlever!
La belle au cou percé
Défi : Vampire
Etre un artiste, c’est parfois fréquenter des endroits peu recommandables…. Dean avait passé la semaine à croquer des taudis et des tavernes embrumées dans l’Allée des Embrumes.
En rentrant un soir, il aperçut deux silhouettes affalées dans un porche, dont l’une portait le jupon orange reconnaissable des filles de joie. Il aurait passé pudiquement sa route si un faible cri n’avait retenti, juste au moment où l’odeur du sang parvenait à ses narines.
Il ne fit qu’un bond, empoigna le type par l’épaule pour l’envoyer bouler, mais c’est une face aux canines beaucoup trop longues qui se retourna vers lui.
Il levait déjà sa baguette, le sort aux lèvres, entraîné par ses réflexes acquis pendant la guerre quand la prostituée se jeta entre le vampire et lui.
« Thomas, crétin, c’est un client !
-PARKINSON !! »
Le vampire attroupait sa cape autour de lui et cherchait à prendre la poudre d’escampette, mais la poigne de Dean se resserra autour de son cou.
« Eh là, Dents Longues, attendez un peu…
-Thomas, laisse le partir, je te dis, tu vas ruiner ma réputation.
-Ta réputation !! Très bien, Crocs blancs s’en va, mais TOI tu viens avec moi ! »
« Mets toi à l’aise. J’ai du jus de pomme ou de la bière au gingembre.
-Un jus de fruits. Qu’est-ce que tu foutais là ?
-Des études pour une commande. Les populations sorcières défavorisées en sept mètres sur trois.
-Et tu ne t’es pas fait agresser ? Un type qui regarde tout avec trop d’attention ? Sans parler des vampires en rupture de promesse qui cherchent un casse-croûte ! »
Il désigna le cordon rouge porté sur l’épaule droite de sa cape: le signe de reconnaissance de la dernière Bataille, portés par les survivants en souvenir de leur camarades…
« Voyez-vous cela. Un cordon rouge. Un membre des phalanges opérationnelles de l’Ordre. Je comprends mieux que les vampires t’évitent. On dit que vous étiez spécialement entraînés contre eux.
-C’était le cas. L’Ordre savait que nous aurions à affronter lors de la Bataille les clans vampires qui s’étaient ralliés à Voldemort. On était prêt, pas eux et le vieil Alastor nous avait appris à ne pas faire dans la dentelle. Ils n’avaient qu’à pas rompre leur promesse et à en rester au sang animal, mais n’essaye pas de détourner la conversation. Pourquoi as-tu dit que c’était un client ? »
Défi : Rumeur
Parkinson s’était endormie dans son lit, dans un de ses pyjamas. Elle avait d’abord récriminé, cherché à se sauver, jusqu’au moment où il avait demandé le tarif pour qu’elle reste et se taise enfin. 300 Gallions plus tard, elle avait paru très étonnée qu’il ne la touche pas, mais l’envoie prendre un bain, lui fasse un sandwich gigantesque, servi avec un verre de lait et l’envoie se coucher.
Il alluma la Cheminée. A six heures du matin, Ron devait encore être chez lui.
« Tu as entendu quelque chose sur ce qu’est devenue Pansy Parkinson depuis la Bataille ? »
« La brigade des mœurs raconte qu’elle est tombée dans les pattes d’un proxénète. Ce type a monté un réseau : des filles de familles déchues qui ont besoin de fric pour entretenir leur fratrie quand les parents sont à Azakaban où il faut encore graisser des patte pour s’assurer qu’aucun d’eux ne tombera accidentellement jusqu’à s’en briser le cou.
- Il les prostitue ?
- Ouais, y compris aux vampires qu’ont un creux, tant qu’ils n’assèchent pas les filles, sinon, il y a un supplément important à payer. Et personne ne lève le petit doigt….
- …parce que ce sont des Serpentardes...»
Défi : Auror
Quand Pansy se réveilla, l’appartement était vide, sa baguette avait disparu et la porte était verrouillée…Pour qui il se prenait Thomas ?
Elle évaluait la distance de la fenêtre au sol quand le peintre rentra…en compagnie de Weasley et Potter !
« Des Aurors, ordure !
-On se calme, le chat sauvage, on vient pour t’aider. Tu l’ignores peut-être, mais Ron est papa d’une petite Rose depuis deux mois.
-Je dois le féliciter ?
-Non, lui demander s’il cherche une nounou !
-Potter……moi ??
-Il paraît que tu as deux benjamins dont tu t’occupes, tu m’as l’air qualifiée ! »
Le bedonnant tenancier de La Vouivre aguicheuse avait senti les ennuis quand la gosse Parkinson n’était pas rentrée avec les autres filles.
Maintenant, alors qu’un Auror roux lui enfonçait méchamment la tête dans la planche du comptoir en lui murmurant que les pots de vin, c’était fini et que c’est son équipe qui reprenait le dossier, il se disait qu’il avait bien eu raison. Encore plus quand leurs collègues débarquèrent et l’emmenèrent jusqu’à une cellule où il attendit son procès, procès où toutes les filles comparurent….15 ans à Azkaban pour proxénétisme.
Il ne faisait pas bon attirer l’attention de l’Elu.
Défi : Petits bonheurs et Habitude
C’est très différent des repas d’autrefois, avant la chute de la famille.
Ron et Hermione, les meilleurs patrons du monde selon elle, sont chacun à un bout de la table, ses deux frères, Rose, s’installent dans un joyeux désordre. Dean passe souvent dîner les soirs de semaine, et le week-end, c’est rare qu’on n’ait pas la visite d’un des couples Weasley….et quand ils vont dîner au Terrier, ils emmènent les trois Parkinson avec eux !
Dans ce bonheur domestique, qu’elle soit à plier du linge ou à empêcher Rose de manger de la pâte à modeler, Pansy se sent heureuse.
Défi : Mépris
C’est une Parkinson en larme que Dean trouva ce jour là sur son palier. Cinq paquets de mouchoirs, deux verres de Firewhisky plein à ras bord et de multiples tapotements de l’épaule plus tard, il comprit que, en train de faire des courses sur le Chemin de Traverse, elle y avait croisé Draco. Elle avait voulu l’aborder mais celui-ci lui avait bien fait comprendre qu’il n’avait rien à faire avec une femme comme elle, flétrie.
Sanglotante, elle se plaignit que plus aucun honnête homme ne voudrait d’une ancienne pute, et c’est à ce moment que Dean se pencha et l’embrassa.
***Fin.