mer rouge
ocs
angoisse ; pg-13
note - cette histoire est en francais = this story is in french.
Il était une fois une petite ville qui si se situait dans le milieu d’un désert. Avant il y avait un petit lac sur le bord de cette ville, mais depuis des années, il n’a pas plu, et le lac est devenu aride. Les citoyens ont commencé à partir quand l’eau a disparue et les puits ne trouvaient pas d’eau. Cette ville s’appelait Petilac, «petit lac », même quand toute l’eau était partie.
Quand le lac était plein d’eau, des milliers de personnes voyageaient à Petilac pour vendre leurs marchandises ou ils arrêtaient leur voyage pour rester dans un hôtel. La ville était dans le désert, alors Petilac a était perçu comme un voyage spécial et luxueux-seules les personnes qui avaient l’argent pourraient y aller, alors Petilac a grandi comme une ville riche. Les voyageurs de l’Europe et du Moyen Orient voulaient mettre leurs pieds dans l’eau du lac car une rumeur disait que l’eau donnait la chance.
Mais les visiteurs ont arrêté de visiter Petilac quand l’eau s’est mise à baisser. Les vendeurs et les aubergistes ont fermé leurs services et beaucoup de citoyens sont partis. Après six ans, il restait seulement le maire et sa famille, et une vieille dame qui vivait dans la maison le plus proche à l’ancien lac.
Le maire de la ville, Monsieur Dupont, avait perdu beaucoup d’argent. Son fils aîné, Jean, était parti de la maison quand il était très jeune, et sa femme était très malade de déshydratation. Ses quatre enfants restaient dans la maison parce que le soleil brulait leur peau facilement. Un matin, quand sa femme ne pouvait plus sortir de son lit, Monsieur Dupont a décidé d’aller à la maison de la vieille dame pour demander de l’aide.
Il cogna à la porte. Il essaya de ne pas regarder le lac sec, mais ses yeux errèrent et avant que la vieille dame n’ouvre la porte, il vit les rides dans la terre et le sol jaune et malade.
- C’est quoi l’occasion, Monsieur le maire, demande la petite vieille quand elle ouvre la porte.
-Ma femme est horriblement malade et j’ai besoin de médicaments. Vous êtes sage et je pensais que vous sauriez comment la guérir, » dit Monsieur Dupont.
La dame secoua sa tête.
- Elle a besoin de ce qu’on a besoin, Monsieur le Maire, elle a besoin d’eau.
-Mais comment est-ce qu’on peut avoir de l’eau? On n’est pas proche d’une grande ville et nos puits ne trouvent rien de spécial.
La vieille dame pense un petit peu, mais avec un hochement de la tête, elle rentre dans sa maison et revient avec une cape et un couteau long et fin. Elle les lui passe, et pointe au lac sec.
-Demander aux dieux pour la pluie. S’ils pensent que vous êtes un homme humble et loyal, ils vont vous donner la pluie. Mais attendez-les dieux veulent toujours un prix pour ce qu’ils donnent alors ne soyez pas paresseux. » Elle hocha sa tête encore et retraite a sa maison, laissant Mr. Dupont avec le lac.
Il marcha au milieu du lac, ses pieds lourds et le couteau coupant ses pantalons en marchant. Le soleil battait sur lui et sa gorge devint rapidement seche, mais il continua, jusqu’à il ne trouve pas de nuages dans le ciel et que le soleil soit presque couché. Il mit la cape sur la terre stérile et s’agenouilla dessus la cape. Le couteau tomba avec lui, et fit une brèche dans le sol sèche.
-Les dieux, si vous m’entendez, est-ce que vous pouvez emmener la pluie? Petilac a vraiment besoin de la pluie. Ma femme a vraiment besoin de la pluie…
Il commença à pleurer. Tous ses sentiments sortissent avec la première larme qui touche la terre, et y entre.
Le ciel devint couvert de nuages, et le maire leva les yeux au son du tonnerre. En quelques secondes, la pluie commença à tomber et a toucher ses joues. Il se leva et dança dans la pluie. Il y resta jusqu’à ce que ses cheveux soient mouillés et ses pantalons collent à ses jambes. Avec la pluie, ses problèmes disparaissaient; il se sent jeune.
-Marie! Marie! Cri-a-t-il quand il entra dans sa maison.
Il courut à la chambre de sa femme et la prit dans ses bras. Il la laissa nager dans le lac, il la laissa boire l’eau qui tombait du ciel. Il chercha les seaux et les mit dessous les maisons pour collectionner la pluie. Ses enfants courent dehors et dansent dans la pluie.
Il plut pour cinq jours.
Sur le sixième jour, il arrêta de pleuvoir. Les seaux étaient pleins d’eau et le lac était une marée baissé. Le maire pouvait nager dans l’eau pour se laver. Sa femme était moins malade et elle pouvait se tenir debout. Des voyageurs arrêtèrent dans la ville pour quelques jours, et ils devinrent amis avec le maire.
Il était prêt à visiter un nouvel ami quand la vieille dame cogna à sa porte.
-Oui, madame? demanda le maire.
-Avez-vous remercié les dieux? Il y a six jours maintenant.
-Non, mais je le ferai dans quelques jours. La pluie a emmené beaucoup, oui?
-Oui. J’espère que vos quatre enfants l’aiment. »
La vielle dame sourit. L’homme courut en haut de sa maison en essayant de trouver ses enfants. Le soleil est intense et brillant, et le désert semble tout le même. Il entre dans toutes les maisons en cherchant ses enfants, mais ne les trouve pas. Sa femme a disparu, elle aussi. Quand il crie pour quelqu’un, personne ne répond.
Le ciel réfléchit l’eau-rouge vif. Le maire met ses pieds dans l’eau et y trouve ses enfants. Le couteau flotte à ses pieds avec les vagues et la lame saignant rouge. Les petits os touchent ses orteils mais il ne saute pas.
Le ciel s’ouvre et il commence à pleuvoir encore. Il pleut jusqu’à ce que l’homme soit engloutit, et le désert est couvert d’une mer. La mer rouge.
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fin.
a/n: ecrit pour la classe de francais.