"Que se passe-t-il, aaaah, je suis une fille ! Le sol est si bas ! Fakir, tu as vu, je suis... presque une fille, en fait, je suis déjà déguisée ! Oh, viens danser avec moi, viens !"
"Je peux le comprendre." dit Ahiru alors que tout le monde forme un cercle autour d'eux - pour les regarder danser, pour ne pas leur marcher sur les pieds ? qui sait. "Tu m'as lu cette histoire. Il était humain, et à la fin il est redevenu humain, et sous forme cygne il a connu le froid, mais cela n'empêche pas qu'il veut encore voler."
"Je ne t'ai jamais demandé." répond Fakir. "Je ne sais même pas si tu veux être une humaine ou un canard."
"Cela dépend." dit-elle - et un instant elle est légère comme une plume. "Je croyais qu'être un canard était ce que j'étais vraiment, mais en réalité, les deux sont moi."
Elle baisse les yeux, rougit, et dit "Et toi, je ne te l'ai jamais dit, mais tu peux être un auteur et un chevalier et un danseur et une personne merveilleuse et tant d'autres choses."
Il voudrait l'embrasser, mais le moment est passé. Et déjà il lui offre une pile de caramels et de tout ce qu'un canard est incapable de trouver bon.
C'est une nuit de rêve et de sorcellerie, alors que les fantômes et les sorcières défilent, les vrais et les faux mélangés. Fakir prend la main d'Ahiru. C'est ce qu'il ne peut pas faire quand elle est un canard. Il peut bien la serrer dans ses bras.
"Viens." dit-elle enfin. "Nous devons le lui rendre. C'est sa soeur qui la lui a fait. C'est important." Il est au rendez-vous, au même endroit, devant une maison qui, réalise Fakir, quand elle est ouverte vend des plumes et de l'encre.
Les vêtements d'Ahiru tombent à terre, et elle devenient canard. Le cygne remet la chemise d'orties. Sous forme humaine, il y a du givre dans ses cheveux.
"Au revoir." dit-il. "Savait-tu que ma soeur est princesse aussi ? Pas de naissance, mais elle a épousé un prince."
"Kwak !" répond Ahiru d'un ton plein d'énergie.
Et Fakir se promet que ce sont qu'ils sont réellement ne compte pas devant ce qu'ils peuvent devenir. Il se promet qu'il lui tissera une histoire pour lui donner le pouvoir d'être canard ou humaine à sa guise, même si l'encre et la plume doivent en brûler ses doigts comme des fils d'orties.
"Je peux le comprendre." dit Ahiru alors que tout le monde forme un cercle autour d'eux - pour les regarder danser, pour ne pas leur marcher sur les pieds ? qui sait. "Tu m'as lu cette histoire. Il était humain, et à la fin il est redevenu humain, et sous forme cygne il a connu le froid, mais cela n'empêche pas qu'il veut encore voler."
"Je ne t'ai jamais demandé." répond Fakir. "Je ne sais même pas si tu veux être une humaine ou un canard."
"Cela dépend." dit-elle - et un instant elle est légère comme une plume. "Je croyais qu'être un canard était ce que j'étais vraiment, mais en réalité, les deux sont moi."
Elle baisse les yeux, rougit, et dit "Et toi, je ne te l'ai jamais dit, mais tu peux être un auteur et un chevalier et un danseur et une personne merveilleuse et tant d'autres choses."
Il voudrait l'embrasser, mais le moment est passé. Et déjà il lui offre une pile de caramels et de tout ce qu'un canard est incapable de trouver bon.
C'est une nuit de rêve et de sorcellerie, alors que les fantômes et les sorcières défilent, les vrais et les faux mélangés. Fakir prend la main d'Ahiru. C'est ce qu'il ne peut pas faire quand elle est un canard. Il peut bien la serrer dans ses bras.
"Viens." dit-elle enfin. "Nous devons le lui rendre. C'est sa soeur qui la lui a fait. C'est important." Il est au rendez-vous, au même endroit, devant une maison qui, réalise Fakir, quand elle est ouverte vend des plumes et de l'encre.
Les vêtements d'Ahiru tombent à terre, et elle devenient canard. Le cygne remet la chemise d'orties. Sous forme humaine, il y a du givre dans ses cheveux.
"Au revoir." dit-il. "Savait-tu que ma soeur est princesse aussi ? Pas de naissance, mais elle a épousé un prince."
"Kwak !" répond Ahiru d'un ton plein d'énergie.
Et Fakir se promet que ce sont qu'ils sont réellement ne compte pas devant ce qu'ils peuvent devenir. Il se promet qu'il lui tissera une histoire pour lui donner le pouvoir d'être canard ou humaine à sa guise, même si l'encre et la plume doivent en brûler ses doigts comme des fils d'orties.
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