Fluff Part Two
Titre : L'abus d'alcool nuit gravement à la libido
Fandom : Veronica Mars
Personnage(s) : Dick Casablancas/Logan Echolls
Rating : PG-13
Disclaimer : Pazàmouah
Il n'y a pas encore eu de beta.
La migraine l’attaqua dès qu’il ouvrit les yeux. Dick les referma vivement, essayant de chasser la douleur, d’une manière plutôt vaine. Il lui fallut plusieurs longues minutes pour s’extirper de son lit. La première chose qu’il remarqua, debout mais chancelant, à côté de son lit, c’est qu’il ne portait rien… Il lui arrivait, parfois, de dormir nu mais rarement tout seul. Sans grâce, il se laissa tomber sur le lit, mettant la tête entre ses mains. Là, il put contempler, au sol, les vêtements éparpillés. Fronçant les sourcils, il prit entre ses doigts un caleçon, puis, avec son autre main, un autre. Et ben… Il grimaça. Pas qu’il n’avait pas déjà batifolé avec d’autres mecs -très discrètement, toujours, il ne le racontait pas à ses potes- mais, c’était la première fois depuis longtemps qu’il ne se rappelait pas avec qui il était rentré. Il essaya de faire remonter les souvenirs de ce qui avait bien pu se passer mais, il put juste se rappeler qu’il était allé faire l’ouverture d’un nouveau club avec Logan. Fatigué d’un coup, de trop réfléchir, Dick se redressa le moins rapidement possible, pour éviter la nausée, et se dirigea vers sa commode. Il sortit un sous-vêtement propre avant de sortir de sa chambre.
Au radar, il réussit à aller jusqu’au grand canapé. Dans le brouillard, il réussit, quand même, à repérer le chariot où était posé le petit-déjeuner et, sur la table basse, il crut reconnaître un tube d’aspirine. Avec un soupir de soulagement, mais toujours sans se presser, il alla chercher un verre et le remplit d’eau.
Alors qu’il était avachi dans le canapé, après avoir avalé un comprimé, il entendit une porte s’ouvrir. Logan se pencha sur le sofa et observa, assez amusé, son meilleur ami.
« Gueule de bois, hein ? »
Dick grogna, peu enclin à entendre des moqueries. Et puis, il était trop jeune pour se lamenter. D’ici quelques heures, il serait sur pied et prêt à recommencer !
Ils ne se parlèrent pas pendant un court moment, le blond tentait de ne pas s’assoupir contre les oreillers du sofa et Logan préparait son petit-déjeuner. Pour se distraire de sa fatigue, Casablancas regardait le manège de son colocataire. Logan était un bon sujet d’observation même s’il n’oserait pas lui dire. Dick ne lui avait jamais confié qu’il avait de l’expérience avec les représentants des deux "équipes". Il ne pensait pas que Logan le jugerait durement cependant, il avait une réputation à tenir ! Et puis, il ne voulait pas que son meilleur ami se rende compte que quand il le fixait comme il le faisait maintenant, il n’avait pas que des idées innocentes en tête…
Justement, ce matin, Logan était très appétissant. Le petit bruit de contentement que lança Echolls quand il croqua dans son beignet fit sourire Dick. Son ami avait l’air heureux ce matin, cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu comme ça. Ce fut à ce moment-là que Dick aperçut une étrange marque sur la peau de l’autre homme.
« C’est quoi ça ? dit-il, un peu plus réveillé.
- Quoi ? interrogea Logan, perplexe.
- Ça ! répliqua, plus fortement, le blond, tout en désignant son cou.
- Oh ! Tu m’as fait peur… Voyons, Dick, je pensais que tu serais capable de reconnaître un suçon. Faut croire que tu as pris une cuite plus importante que je ne le pensais…
- Qui… ? » commença Dick mais il s’arrêta.
Il n’avait pas réellement envie de savoir finalement. Voilà, peut-être la raison pour laquelle il avait fini par coucher avec un inconnu hier soir ; Logan n’était pas rentré tout seul. Dick fronça, à nouveau, les sourcils, assailli par le doute. D’un coup, il se leva. Plus rapidement qu’avant, il se dirigea vers sa chambre, y entra et constata, maintenant qu’il était un peu plus sobre, l’ampleur du désastre sur la moquette. Il nota les vêtements éparpillés. Pantalons, chemises, caleçons, chaussettes… Tout était là… Le mec n’était pas reparti chez lui à poil quand même ! Et pourtant… ils n’étaient que deux dans l’appartement… Dick écarquilla les yeux, complètement dégrisé. NON !
« Qu’eche qui t’arriv’ ? » lui demanda Logan, la bouche pleine.
Le blond revint dans le salon, tout retourné. Non, non, non… Qu’on ne lui dise pas qu’il… qu’il… Le suçon sur le cou de Logan avait l’air encore plus visible. Dick secoua la tête. Ce n’était pas possible. Il avait couché avec son meilleur ami !? Il avait couché avec Logan et… il ne s’en souvenait pas ! Non, la vie ne pouvait pas être si injuste… Enfin, si, il était bien placé pour savoir que la vie était injuste mais, pas ça quoi !
Il retourna sur le canapé, en plein désespoir. Quel idiot, il était ! Logan le scrutait, surpris et un peu inquiet.
« Dick ? tenta-t-il.
- Toi… Toi et moi… je veux dire… enfin… »
Incapable d’enchaîner des mots pour former une phrase cohérente, il ferma la bouche. Echolls sourit.
« - Hé ben, tu n’étais pas si ivre que ça, finalement », s’amusa-t-il à dire.
Dick grimaça. Il ne savait pas s’il devait rire ou pleurer.
« - J’me souviens de rien… », murmura-t-il, dévasté.
Logan reposa sa tasse de café. Une expression indéchiffrable passa sur son visage. D’une voix qu’il voulut complètement neutre, il demanda, sans regarder son ami et en jouant avec des miettes sur la table basse :
« - C’est une bonne ou… ou une mauvaise chose ?
- Mais c’est terrible ! »
Dick se leva, sous les yeux étonnés de Logan. Il se mit à faire les cent pas.
« C’est pas possible ! Enfin on passe notre soirée à autre chose qu’à jouer des jeux vidéo et je ne me souviens de rien ! De rien ! Le trou noir… Tuez-moi ! »
Pas qu’il aimait pas leur soirée jeux avec Logan mais, merde, ce qu’ils avaient dû faire cette nuit, à en juger par le suçon, avait dû être bien plus amusant… Dick, trop occupé à se flageller mentalement, ne vit pas le sourire qui naquit sur les lèvres de son ami.
« - Dans le club, le barman était très doué, tu lui as commandé bien trop de cocktails… De mon côté, en voyant ton état, j’ai diminué ma consommation. Cela m’a permis de savoir que tu ne m’avais pas encore raconté tous tes exploits sexuels… »
Le blond fit une chose qu’il faisait peu pourtant ; il rougit.
« … et que tu étais tout aussi attiré par moi que je l’étais par toi. Disons qu’une histoire en amenant une autre, tu as quand même réussi à voir que tu m’avais bien chauffé. On est rentrés et on a continué notre conversation dans ton lit… »
Casablancas était très attentif. Tout en écoutant son ami, il essayait de faire remonter les souvenirs.
« … Tu es doué : même rond comme une barrique, tu as réussi à te déshabiller puis à me déshabiller avant de t’attaquer à mon cou… »
Logan s’arrêta pour boire une dernière gorgée de café. Dick le regardait, désespéré, conscient que le jeune homme le faisait mariner.
« - Quoi ? Tu vas me dire ce qui s’est passé !
- Ah Dick… Tu es très doué pour allumer mais pour ce qui est de finir le boulot, tu as encore du chemin…
- Quoi ? répéta-t-il, blessé dans son ego de mâle.
- Tu t’es endormi en plein milieu. Impossible de te réveiller. J’ai même fui ta chambre quand tu as commencé à ronfler.
- QUOI ? » s’exclama, encore une fois, Dick.
Le blond sut que Logan ne plaisantait pas. Il ne pouvait pas dire ce qui était pire : ne pas se souvenir d’avoir couché avec Echolls ou ne pas se souvenir d’avoir presque couché avec lui… Quel idiot ! Il avait gâché sa seule chance de… Il réalisa d’un coup. Logan avait été plus que consentant. Il avait dit lui-même qu’il n’était pas aussi saoul, qu’il était intéressé… Peut-être… Et puis, il avait une réputation à tenir. Il se laissa glisser au sol et vint s’installer entre les genoux de Logan. Ce dernier le laissa faire sans rien dire. Dick sourit et, rapidement, embrassa son ami avant qu’il ne puisse changer d’idée. Il avait encore le goût de café et de croissant. Le blond sentit l’excitation monter en lui. Il ne se souvenait peut-être pas ce qui s’était passé durant la nuit mais il avait bien l’intention de garder en mémoire chaque baiser, chaque caresse qu’ils allaient partager à partir de ce moment. Savourer pour ne rien regretter. Pantelants, ils se séparèrent. Dick retira prestement le tee-shirt de Logan et s’attaqua à sa ceinture. Celui-ci l’arrêta.
« Attends ! »
Le blond lui lança un regard interrogatif. Peut-être n’est-ce pas lui qui auraient des regrets ?
« Désolé de casser l’ambiance… Tu as une haleine de vieux alcoolo, c’est pas très sexy. !»
Logan rit alors que Dick se levait. Ce dernier se précipita dans sa salle de bains. Dans le miroir, le reflet lui renvoyait une image pas très flatteuse, avec son teint un peu cireux et ses cernes, mais il mit tout ça de côté. Il arriverait quand même à séduire son ami. Foi de Casablancas. Il se sentit nerveux quand il sortit de la pièce d’eau cependant, ses doutes s’éclipsèrent rapidement. Logan, nu dans son lit, l’attendait un sourire aux lèvres.
« T’as intérêt à pas t’endormir cette fois-ci ! »
Dick ne répondit pas, il était trop occupé pour parler. De plus, il croyait plus aux actes qu’aux paroles et, puis, il avait déjà gaspillé un moment avec Logan pour rien, il ne comptait pas recommencer !
Fandom : Veronica Mars
Personnage(s) : Dick Casablancas/Logan Echolls
Rating : PG-13
Disclaimer : Pazàmouah
Il n'y a pas encore eu de beta.
La migraine l’attaqua dès qu’il ouvrit les yeux. Dick les referma vivement, essayant de chasser la douleur, d’une manière plutôt vaine. Il lui fallut plusieurs longues minutes pour s’extirper de son lit. La première chose qu’il remarqua, debout mais chancelant, à côté de son lit, c’est qu’il ne portait rien… Il lui arrivait, parfois, de dormir nu mais rarement tout seul. Sans grâce, il se laissa tomber sur le lit, mettant la tête entre ses mains. Là, il put contempler, au sol, les vêtements éparpillés. Fronçant les sourcils, il prit entre ses doigts un caleçon, puis, avec son autre main, un autre. Et ben… Il grimaça. Pas qu’il n’avait pas déjà batifolé avec d’autres mecs -très discrètement, toujours, il ne le racontait pas à ses potes- mais, c’était la première fois depuis longtemps qu’il ne se rappelait pas avec qui il était rentré. Il essaya de faire remonter les souvenirs de ce qui avait bien pu se passer mais, il put juste se rappeler qu’il était allé faire l’ouverture d’un nouveau club avec Logan. Fatigué d’un coup, de trop réfléchir, Dick se redressa le moins rapidement possible, pour éviter la nausée, et se dirigea vers sa commode. Il sortit un sous-vêtement propre avant de sortir de sa chambre.
Au radar, il réussit à aller jusqu’au grand canapé. Dans le brouillard, il réussit, quand même, à repérer le chariot où était posé le petit-déjeuner et, sur la table basse, il crut reconnaître un tube d’aspirine. Avec un soupir de soulagement, mais toujours sans se presser, il alla chercher un verre et le remplit d’eau.
Alors qu’il était avachi dans le canapé, après avoir avalé un comprimé, il entendit une porte s’ouvrir. Logan se pencha sur le sofa et observa, assez amusé, son meilleur ami.
« Gueule de bois, hein ? »
Dick grogna, peu enclin à entendre des moqueries. Et puis, il était trop jeune pour se lamenter. D’ici quelques heures, il serait sur pied et prêt à recommencer !
Ils ne se parlèrent pas pendant un court moment, le blond tentait de ne pas s’assoupir contre les oreillers du sofa et Logan préparait son petit-déjeuner. Pour se distraire de sa fatigue, Casablancas regardait le manège de son colocataire. Logan était un bon sujet d’observation même s’il n’oserait pas lui dire. Dick ne lui avait jamais confié qu’il avait de l’expérience avec les représentants des deux "équipes". Il ne pensait pas que Logan le jugerait durement cependant, il avait une réputation à tenir ! Et puis, il ne voulait pas que son meilleur ami se rende compte que quand il le fixait comme il le faisait maintenant, il n’avait pas que des idées innocentes en tête…
Justement, ce matin, Logan était très appétissant. Le petit bruit de contentement que lança Echolls quand il croqua dans son beignet fit sourire Dick. Son ami avait l’air heureux ce matin, cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas vu comme ça. Ce fut à ce moment-là que Dick aperçut une étrange marque sur la peau de l’autre homme.
« C’est quoi ça ? dit-il, un peu plus réveillé.
- Quoi ? interrogea Logan, perplexe.
- Ça ! répliqua, plus fortement, le blond, tout en désignant son cou.
- Oh ! Tu m’as fait peur… Voyons, Dick, je pensais que tu serais capable de reconnaître un suçon. Faut croire que tu as pris une cuite plus importante que je ne le pensais…
- Qui… ? » commença Dick mais il s’arrêta.
Il n’avait pas réellement envie de savoir finalement. Voilà, peut-être la raison pour laquelle il avait fini par coucher avec un inconnu hier soir ; Logan n’était pas rentré tout seul. Dick fronça, à nouveau, les sourcils, assailli par le doute. D’un coup, il se leva. Plus rapidement qu’avant, il se dirigea vers sa chambre, y entra et constata, maintenant qu’il était un peu plus sobre, l’ampleur du désastre sur la moquette. Il nota les vêtements éparpillés. Pantalons, chemises, caleçons, chaussettes… Tout était là… Le mec n’était pas reparti chez lui à poil quand même ! Et pourtant… ils n’étaient que deux dans l’appartement… Dick écarquilla les yeux, complètement dégrisé. NON !
« Qu’eche qui t’arriv’ ? » lui demanda Logan, la bouche pleine.
Le blond revint dans le salon, tout retourné. Non, non, non… Qu’on ne lui dise pas qu’il… qu’il… Le suçon sur le cou de Logan avait l’air encore plus visible. Dick secoua la tête. Ce n’était pas possible. Il avait couché avec son meilleur ami !? Il avait couché avec Logan et… il ne s’en souvenait pas ! Non, la vie ne pouvait pas être si injuste… Enfin, si, il était bien placé pour savoir que la vie était injuste mais, pas ça quoi !
Il retourna sur le canapé, en plein désespoir. Quel idiot, il était ! Logan le scrutait, surpris et un peu inquiet.
« Dick ? tenta-t-il.
- Toi… Toi et moi… je veux dire… enfin… »
Incapable d’enchaîner des mots pour former une phrase cohérente, il ferma la bouche. Echolls sourit.
« - Hé ben, tu n’étais pas si ivre que ça, finalement », s’amusa-t-il à dire.
Dick grimaça. Il ne savait pas s’il devait rire ou pleurer.
« - J’me souviens de rien… », murmura-t-il, dévasté.
Logan reposa sa tasse de café. Une expression indéchiffrable passa sur son visage. D’une voix qu’il voulut complètement neutre, il demanda, sans regarder son ami et en jouant avec des miettes sur la table basse :
« - C’est une bonne ou… ou une mauvaise chose ?
- Mais c’est terrible ! »
Dick se leva, sous les yeux étonnés de Logan. Il se mit à faire les cent pas.
« C’est pas possible ! Enfin on passe notre soirée à autre chose qu’à jouer des jeux vidéo et je ne me souviens de rien ! De rien ! Le trou noir… Tuez-moi ! »
Pas qu’il aimait pas leur soirée jeux avec Logan mais, merde, ce qu’ils avaient dû faire cette nuit, à en juger par le suçon, avait dû être bien plus amusant… Dick, trop occupé à se flageller mentalement, ne vit pas le sourire qui naquit sur les lèvres de son ami.
« - Dans le club, le barman était très doué, tu lui as commandé bien trop de cocktails… De mon côté, en voyant ton état, j’ai diminué ma consommation. Cela m’a permis de savoir que tu ne m’avais pas encore raconté tous tes exploits sexuels… »
Le blond fit une chose qu’il faisait peu pourtant ; il rougit.
« … et que tu étais tout aussi attiré par moi que je l’étais par toi. Disons qu’une histoire en amenant une autre, tu as quand même réussi à voir que tu m’avais bien chauffé. On est rentrés et on a continué notre conversation dans ton lit… »
Casablancas était très attentif. Tout en écoutant son ami, il essayait de faire remonter les souvenirs.
« … Tu es doué : même rond comme une barrique, tu as réussi à te déshabiller puis à me déshabiller avant de t’attaquer à mon cou… »
Logan s’arrêta pour boire une dernière gorgée de café. Dick le regardait, désespéré, conscient que le jeune homme le faisait mariner.
« - Quoi ? Tu vas me dire ce qui s’est passé !
- Ah Dick… Tu es très doué pour allumer mais pour ce qui est de finir le boulot, tu as encore du chemin…
- Quoi ? répéta-t-il, blessé dans son ego de mâle.
- Tu t’es endormi en plein milieu. Impossible de te réveiller. J’ai même fui ta chambre quand tu as commencé à ronfler.
- QUOI ? » s’exclama, encore une fois, Dick.
Le blond sut que Logan ne plaisantait pas. Il ne pouvait pas dire ce qui était pire : ne pas se souvenir d’avoir couché avec Echolls ou ne pas se souvenir d’avoir presque couché avec lui… Quel idiot ! Il avait gâché sa seule chance de… Il réalisa d’un coup. Logan avait été plus que consentant. Il avait dit lui-même qu’il n’était pas aussi saoul, qu’il était intéressé… Peut-être… Et puis, il avait une réputation à tenir. Il se laissa glisser au sol et vint s’installer entre les genoux de Logan. Ce dernier le laissa faire sans rien dire. Dick sourit et, rapidement, embrassa son ami avant qu’il ne puisse changer d’idée. Il avait encore le goût de café et de croissant. Le blond sentit l’excitation monter en lui. Il ne se souvenait peut-être pas ce qui s’était passé durant la nuit mais il avait bien l’intention de garder en mémoire chaque baiser, chaque caresse qu’ils allaient partager à partir de ce moment. Savourer pour ne rien regretter. Pantelants, ils se séparèrent. Dick retira prestement le tee-shirt de Logan et s’attaqua à sa ceinture. Celui-ci l’arrêta.
« Attends ! »
Le blond lui lança un regard interrogatif. Peut-être n’est-ce pas lui qui auraient des regrets ?
« Désolé de casser l’ambiance… Tu as une haleine de vieux alcoolo, c’est pas très sexy. !»
Logan rit alors que Dick se levait. Ce dernier se précipita dans sa salle de bains. Dans le miroir, le reflet lui renvoyait une image pas très flatteuse, avec son teint un peu cireux et ses cernes, mais il mit tout ça de côté. Il arriverait quand même à séduire son ami. Foi de Casablancas. Il se sentit nerveux quand il sortit de la pièce d’eau cependant, ses doutes s’éclipsèrent rapidement. Logan, nu dans son lit, l’attendait un sourire aux lèvres.
« T’as intérêt à pas t’endormir cette fois-ci ! »
Dick ne répondit pas, il était trop occupé pour parler. De plus, il croyait plus aux actes qu’aux paroles et, puis, il avait déjà gaspillé un moment avec Logan pour rien, il ne comptait pas recommencer !