Présence distrayante - CSI
Les inscriptions pour un nouvel atelier sur la lanterne sont ouvertes si ça peut intéresser quelqu'un. Ce sera le dernier atelier avant les vacances et il se déroulera le 20 ou le 27. Si ça vous dit, c'est plutôt simple de s'inscrire et les régles sont faciles à comprendre : un pairing et un thème imposé pour un temps d'écriture de 30 minutes. J'ai hâte d'y être ! ^^
Voici un nouveau petit texte sur la série CSi et mon petit couple slash préféré dans ce fandom.
Titre : Présence distrayante
Fandom : CSI
Perso : Catherine Willows, Gil Grissom et Nick Stokes
Rating : PG-13
Disclaimer : Rien n'est à moi.
« Catherine, Catherine ! Il faut que je vous parle ! »
« Ne pas se retourner, ne surtout pas se retourner ! » pensa la femme, tout en se dirigeant le plus vite possible vers les vestiaires. La nuit avait été longue et elle ne rêvait que d’une chose : retrouver Lindsey et la serrer entre ses bras avant de l’emmener à l’école. Alors, Grissom attendrait pour lui faire des remontrances. Ce qu’elle avait dit à Sara, elle le lui redirait sans aucun regret !
Alors qu’elle entrait dans la pièce, Nick lui sourit. Lui aussi rentrait à la maison. Il venait de se doucher et ne portait, pour l’instant, qu’un caleçon. Elle laissa ses yeux dériver sur le corps de son collègue, qui continuait à sourire, se prêtant à son jeu. Ils flirtaient à l’occasion mais c’était sans conséquence. Ils s’entendaient trop bien pour avoir envie de placer leur relation sur un autre niveau. De plus, il n’y avait pas réellement de alchimie sexuelle entre eux. Chacun se retourna vers son casier. La femme en retirait sa veste quand leur supérieur entra à son tour.
« Catherine, nous devons discuter de ce qui s’est passé.
- Gil, soupira-t-elle en se retournant vers le nouveau venu, nous en reparlerons plus tard. Je dois rentrer chez moi. Vous savez, j’ai une vie dehors. Contrairement à vous, je ne vis pas dans ce labo…
- Nous avons besoin de mettre à plat ce qui s’est passé. Il ne faut pas que…
- Il n’y a rien à dire. Tout est entre Sara et moi ! Cela ne vous concerne pas ! Je n’ai pas l’intention d’en discuter avec vous. »
Catherine s’attendait à ce que Gil proteste, qu’il insiste mais ce fut le silence qui lui répondit. Elle eut d’abord un mouvement de colère. Pourquoi ne parlait-il pas ? Soudain, elle eut peur : et si Grissom avait de nouveau des problèmes d’ouïe ? Elle releva les yeux et se figea. L’homme mordillait l’une des branches de ses lunettes. Il semblait extrêmement concentré. Elle suivit son regard et tomba sur le corps penché de Nick. Ce dernier rangeait des vêtements sales dans un sac, offrant ainsi au regard avide de son supérieur, la vue de ses fesses et de ses jambes. L’entomologiste ne semblait plus conscient de ce qu’il se passait autour de lui, fixant simplement le jeune homme. Catherine se retint de glousser. L’homme n’arborait cette expression que lorsqu’il était en présence d’une de ses petites bêtes. Il prenait visiblement beaucoup de plaisir à ce qu’il voyait.
Silencieusement, elle remercia Stokes et sa présence distrayante. Ainsi, Gil l’avait oubliée. Sans bruit, elle prit son sac, ferma son casier et réussit à passer près du plus vieux, sans se faire remarquer, pour sortir de la pièce. Elle se mit à fredonner, plus légère et déjà moins énervée.
Au moment de quitter le bâtiment, elle entendit son prénom. Elle s’arrêta tout en levant les yeux au ciel. C’était trop beau qu’elle puisse s’échapper sans soucis ! Il fallait bien que Nick finisse de s’habiller…
Avant que Gil ne puisse dire quelque chose, elle l’arrêta :
« Griss, au lieu de m’embêter avec cette histoire, si vous retourniez au vestiaire. Il y a là-bas un jeune homme qui serait très heureux que vous l’invitiez pour le petit-déjeuner ! »
L’homme se retourna, comme s’il allait pouvoir percer tous les murs jusqu’au vestiaire.
« - Vous croyez ? demanda-t-il dubitatif.
- Me suis-je déjà trompée !? » s’exclama Catherine, tout sourire. L’homme la dévisagea encore plus incertain.
L’entomologiste l’observa partir. Avait-elle raison ? Il sentit une main se poser sur son épaule. Nick rentrait chez lui, lui aussi. Gil hocha la tête dans sa direction en guise d’au revoir. Ses yeux se posèrent sur le postérieur de son collègue.
« Nick, attendez… »
La nuit suivante, Catherine était occupée à analyser un vêtement quand elle vit Nick s’approcher. Ils discutèrent quelques minutes. Sans crier gare, le jeune homme se pencha et l’embrassa sur la joue. Elle le scruta, curieuse.
« C’est en quel honneur ?
- Pour avoir soufflé une très bonne idée à une certaine personne. »
La femme rit.
« - Tu veux aussi un conseil : continue à te balader à moitié nu dans les vestiaires en présence de cette personne et tu auras tout ce que tu veux… »
Nick sourit, très amusé. Il leva la tête et vit leur supérieur passer dans le couloir. Catherine remarqua l’air rêveur du jeune homme. Elle secoua la tête. Les hommes étaient bien tous les mêmes !
Voici un nouveau petit texte sur la série CSi et mon petit couple slash préféré dans ce fandom.
Titre : Présence distrayante
Fandom : CSI
Perso : Catherine Willows, Gil Grissom et Nick Stokes
Rating : PG-13
Disclaimer : Rien n'est à moi.
« Catherine, Catherine ! Il faut que je vous parle ! »
« Ne pas se retourner, ne surtout pas se retourner ! » pensa la femme, tout en se dirigeant le plus vite possible vers les vestiaires. La nuit avait été longue et elle ne rêvait que d’une chose : retrouver Lindsey et la serrer entre ses bras avant de l’emmener à l’école. Alors, Grissom attendrait pour lui faire des remontrances. Ce qu’elle avait dit à Sara, elle le lui redirait sans aucun regret !
Alors qu’elle entrait dans la pièce, Nick lui sourit. Lui aussi rentrait à la maison. Il venait de se doucher et ne portait, pour l’instant, qu’un caleçon. Elle laissa ses yeux dériver sur le corps de son collègue, qui continuait à sourire, se prêtant à son jeu. Ils flirtaient à l’occasion mais c’était sans conséquence. Ils s’entendaient trop bien pour avoir envie de placer leur relation sur un autre niveau. De plus, il n’y avait pas réellement de alchimie sexuelle entre eux. Chacun se retourna vers son casier. La femme en retirait sa veste quand leur supérieur entra à son tour.
« Catherine, nous devons discuter de ce qui s’est passé.
- Gil, soupira-t-elle en se retournant vers le nouveau venu, nous en reparlerons plus tard. Je dois rentrer chez moi. Vous savez, j’ai une vie dehors. Contrairement à vous, je ne vis pas dans ce labo…
- Nous avons besoin de mettre à plat ce qui s’est passé. Il ne faut pas que…
- Il n’y a rien à dire. Tout est entre Sara et moi ! Cela ne vous concerne pas ! Je n’ai pas l’intention d’en discuter avec vous. »
Catherine s’attendait à ce que Gil proteste, qu’il insiste mais ce fut le silence qui lui répondit. Elle eut d’abord un mouvement de colère. Pourquoi ne parlait-il pas ? Soudain, elle eut peur : et si Grissom avait de nouveau des problèmes d’ouïe ? Elle releva les yeux et se figea. L’homme mordillait l’une des branches de ses lunettes. Il semblait extrêmement concentré. Elle suivit son regard et tomba sur le corps penché de Nick. Ce dernier rangeait des vêtements sales dans un sac, offrant ainsi au regard avide de son supérieur, la vue de ses fesses et de ses jambes. L’entomologiste ne semblait plus conscient de ce qu’il se passait autour de lui, fixant simplement le jeune homme. Catherine se retint de glousser. L’homme n’arborait cette expression que lorsqu’il était en présence d’une de ses petites bêtes. Il prenait visiblement beaucoup de plaisir à ce qu’il voyait.
Silencieusement, elle remercia Stokes et sa présence distrayante. Ainsi, Gil l’avait oubliée. Sans bruit, elle prit son sac, ferma son casier et réussit à passer près du plus vieux, sans se faire remarquer, pour sortir de la pièce. Elle se mit à fredonner, plus légère et déjà moins énervée.
Au moment de quitter le bâtiment, elle entendit son prénom. Elle s’arrêta tout en levant les yeux au ciel. C’était trop beau qu’elle puisse s’échapper sans soucis ! Il fallait bien que Nick finisse de s’habiller…
Avant que Gil ne puisse dire quelque chose, elle l’arrêta :
« Griss, au lieu de m’embêter avec cette histoire, si vous retourniez au vestiaire. Il y a là-bas un jeune homme qui serait très heureux que vous l’invitiez pour le petit-déjeuner ! »
L’homme se retourna, comme s’il allait pouvoir percer tous les murs jusqu’au vestiaire.
« - Vous croyez ? demanda-t-il dubitatif.
- Me suis-je déjà trompée !? » s’exclama Catherine, tout sourire. L’homme la dévisagea encore plus incertain.
L’entomologiste l’observa partir. Avait-elle raison ? Il sentit une main se poser sur son épaule. Nick rentrait chez lui, lui aussi. Gil hocha la tête dans sa direction en guise d’au revoir. Ses yeux se posèrent sur le postérieur de son collègue.
« Nick, attendez… »
La nuit suivante, Catherine était occupée à analyser un vêtement quand elle vit Nick s’approcher. Ils discutèrent quelques minutes. Sans crier gare, le jeune homme se pencha et l’embrassa sur la joue. Elle le scruta, curieuse.
« C’est en quel honneur ?
- Pour avoir soufflé une très bonne idée à une certaine personne. »
La femme rit.
« - Tu veux aussi un conseil : continue à te balader à moitié nu dans les vestiaires en présence de cette personne et tu auras tout ce que tu veux… »
Nick sourit, très amusé. Il leva la tête et vit leur supérieur passer dans le couloir. Catherine remarqua l’air rêveur du jeune homme. Elle secoua la tête. Les hommes étaient bien tous les mêmes !