[repimp] Alix - Lou Kien/Enak - PG | Délicieusement exotique…
tag manquant : pour Lou-Kien
Titre : Délicieusement exotique…
Auteur : ylg
Base : Alix, L’Empereur de Chine
Personnages/Couples : Lou Kien/Enak, Enak /Alix
Genre : tension
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Jacques Martin, je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : « Alix - Lou Kien/Enak - le prince étranger »
sur le Grand Kink Mème Anonyme Multi-Fandom en Français [LJ]
Continuité/Spoil éventuel : courant tome 17
Nombre de mots : 300
*
Alix, à la demande du prince Lou Kien, est parti inspecter les travaux de la montagne rouge. Resté là, Enak toise son hôte.
« Tu me gardes en otage pour t’assurer qu’il reviendra ? Alix tient toujours sa parole, même à ceux qui n’en méritent pas la peine.
- Quelles paroles acerbes.
- Mais je ne t’en veux pas. J’ai l’habitude.
- D’être un otage ? Quelle idée étrange. Pour moi, tu es un invité de marque, plus que le garçon aux cheveux de flamme. Si je l’ai envoyé lui tout seul, c’est que je voulais te garder près de moi. »
Enak reste coi. Des gens bizarres, au cours de leurs périples, ils en ont croisé beaucoup, mais de ce prince étranger, il ne sait que penser.
Lou Kien, en revanche, tient à ce que la conversation ne meure pas !
« Alors, raconte. Es-tu vraiment le prince d’un pays lointain ? Quel genre de pays peut laisser son prince partir au bout du monde, est-il donc si puissant pour n’avoir rien à craindre ? Cet Alix, est-il ton garde du corps personnel ? »
Enak ne peut s’empêcher de rire :
« Alix est mon ami. »
Les yeux de Lou Kien pétillent :
« Je vois. Ce genre de choses m’est interdit par ma mauvaise santé, hélas, et la solitude me pèse. Heureusement, tu es là pour la combler, désormais.
- Jusqu’au retour d’Alix. Et ça sera bientôt.
- Oh, je n’en doute pas. Mais qu’importe ! nous continuerons avec lui ensuite, voilà tout. Allons, vous avez promis de m’enseigner les coutumes de vos pays, et si nous avons le temps, si j’ai la force, je vous montrerai ce que je peux des nôtres. Tiendras-tu aussi bien ta parole que ton… ami, tient la sienne ? »
Titre : Délicieusement exotique…
Auteur : ylg
Base : Alix, L’Empereur de Chine
Personnages/Couples : Lou Kien/Enak, Enak /Alix
Genre : tension
Gradation : PG / K+
Légalité : propriété de Jacques Martin, je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : « Alix - Lou Kien/Enak - le prince étranger »
sur le Grand Kink Mème Anonyme Multi-Fandom en Français [LJ]
Continuité/Spoil éventuel : courant tome 17
Nombre de mots : 300
*
Alix, à la demande du prince Lou Kien, est parti inspecter les travaux de la montagne rouge. Resté là, Enak toise son hôte.
« Tu me gardes en otage pour t’assurer qu’il reviendra ? Alix tient toujours sa parole, même à ceux qui n’en méritent pas la peine.
- Quelles paroles acerbes.
- Mais je ne t’en veux pas. J’ai l’habitude.
- D’être un otage ? Quelle idée étrange. Pour moi, tu es un invité de marque, plus que le garçon aux cheveux de flamme. Si je l’ai envoyé lui tout seul, c’est que je voulais te garder près de moi. »
Enak reste coi. Des gens bizarres, au cours de leurs périples, ils en ont croisé beaucoup, mais de ce prince étranger, il ne sait que penser.
Lou Kien, en revanche, tient à ce que la conversation ne meure pas !
« Alors, raconte. Es-tu vraiment le prince d’un pays lointain ? Quel genre de pays peut laisser son prince partir au bout du monde, est-il donc si puissant pour n’avoir rien à craindre ? Cet Alix, est-il ton garde du corps personnel ? »
Enak ne peut s’empêcher de rire :
« Alix est mon ami. »
Les yeux de Lou Kien pétillent :
« Je vois. Ce genre de choses m’est interdit par ma mauvaise santé, hélas, et la solitude me pèse. Heureusement, tu es là pour la combler, désormais.
- Jusqu’au retour d’Alix. Et ça sera bientôt.
- Oh, je n’en doute pas. Mais qu’importe ! nous continuerons avec lui ensuite, voilà tout. Allons, vous avez promis de m’enseigner les coutumes de vos pays, et si nous avons le temps, si j’ai la force, je vous montrerai ce que je peux des nôtres. Tiendras-tu aussi bien ta parole que ton… ami, tient la sienne ? »