[pimp] C&C - Andreo, Plaisant - G | L’ironie de la situation
tags manquants : pour Andreo et Plaisant.
Titre : L’ironie de la situation
Auteur : ylg
Base : De cape et de crocs
Personnages/Couple : Andreo, Plaisant ; mention d’Andreo/Hermine
Genre :
Gradation : G / K
Légalité : propriété d’Ayrolles et Masbou, je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : Andreo et Plaisant, « tout ça pour ça »
pour flo_Nelja (Noël ’09)
Notes : écrit de manière spéculative pour la fin de la série à une époque où on n’était pas encore sûr de comment ça finirait - je vous laisse juger du résultat.
Nombre de mots : 120
*
« Te souviens-tu, Plaisant, du temps où je quittais en cachette le palais paternel à la nuitée pour aller admirer les comédiens du côté du port ?
- Si fait, Maître. C’est ainsi, cherchant quelque divertissement, que vous rencontrâtes mademoiselle Hermine.
- Ô Hermine, douce Hermine, pour qui je tentai vainement de réunir 500 écus afin de l’arracher à sa vie de bohémienne et aux planches sans reconnaissance…
- Et aujourd’hui, c’est nous qui jouons les comédiens.
- Alors qu’elle a trouvé un autre nobliau pour l’enlever au loin et peut-être l’épouser. Tout ça pour quoi ?
- Ne désespérez pas, Maître, rien n’est encore joué.
- Et cette pièce non plus d’ailleurs ! Au travail donc ! »
Titre : L’ironie de la situation
Auteur : ylg
Base : De cape et de crocs
Personnages/Couple : Andreo, Plaisant ; mention d’Andreo/Hermine
Genre :
Gradation : G / K
Légalité : propriété d’Ayrolles et Masbou, je ne cherche ni à en tirer profit ni à manquer de respect.
Prompt : Andreo et Plaisant, « tout ça pour ça »
pour flo_Nelja (Noël ’09)
Notes : écrit de manière spéculative pour la fin de la série à une époque où on n’était pas encore sûr de comment ça finirait - je vous laisse juger du résultat.
Nombre de mots : 120
*
« Te souviens-tu, Plaisant, du temps où je quittais en cachette le palais paternel à la nuitée pour aller admirer les comédiens du côté du port ?
- Si fait, Maître. C’est ainsi, cherchant quelque divertissement, que vous rencontrâtes mademoiselle Hermine.
- Ô Hermine, douce Hermine, pour qui je tentai vainement de réunir 500 écus afin de l’arracher à sa vie de bohémienne et aux planches sans reconnaissance…
- Et aujourd’hui, c’est nous qui jouons les comédiens.
- Alors qu’elle a trouvé un autre nobliau pour l’enlever au loin et peut-être l’épouser. Tout ça pour quoi ?
- Ne désespérez pas, Maître, rien n’est encore joué.
- Et cette pièce non plus d’ailleurs ! Au travail donc ! »