[pimp] Yoko Tsuno - Yoko et Rosée - G | Pas vraiment un jeu d'enfant
Titre : Pas vraiment un jeu d'enfant...
Auteur : ylg
Base : Yoko Tsuno
Personnages : Yoko et Rosée du Matin
Genre : gen/familial
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété de Roger Leloup, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : « Les petites filles modèles »
pour Kiranagio (octobre '09)
Note : peut servir de pièce compagne à ma fic plus longue " Un prénom d'enfant"
Continuité : après Le Dragon de Hong-Kong
Nombre de mots : 175
*
Yoko a cru que ça serait facile de devenir la mère de Rosée. Tant que c'était une petite fille perdue sur sa route qui avait besoin d'une grande sœur de procuration, le rôle était facile à tenir. Rosée était adorable et toujours obéissante, et câline. Mais maintenant qu'elle a vraiment entre les mains la responsabilité d'en faire une jeune fille bien, les choses deviennent plus difficiles. Leur relation de nouvelle mère à fille adoptives ne tombe pas du ciel, il leur faut la construire.
Même sans penser à tout le travail administratif que ça va lui demander pour rendre l'adoption et l'acquisition d'une nouvelle nationalité officielles, rien que le quotidien peut être semé d'embûches sur les plus petites choses.
Les petites filles modèles qui s'élèvent toutes seules, obéissent immédiatement, ne font jamais de caprice, ça n'existe pas ; élever une fillette pour de vrai est plus compliqué que de jouer à la poupée.
Yoko a alors une pensée émue pour sa propre maman, en imaginant combien elle-même, poupée préférée ou non, a dû être loin d'être une enfant modèle.
Auteur : ylg
Base : Yoko Tsuno
Personnages : Yoko et Rosée du Matin
Genre : gen/familial
Gradation : G / K
Disclaimer : propriété de Roger Leloup, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : « Les petites filles modèles »
pour Kiranagio (octobre '09)
Note : peut servir de pièce compagne à ma fic plus longue " Un prénom d'enfant"
Continuité : après Le Dragon de Hong-Kong
Nombre de mots : 175
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Yoko a cru que ça serait facile de devenir la mère de Rosée. Tant que c'était une petite fille perdue sur sa route qui avait besoin d'une grande sœur de procuration, le rôle était facile à tenir. Rosée était adorable et toujours obéissante, et câline. Mais maintenant qu'elle a vraiment entre les mains la responsabilité d'en faire une jeune fille bien, les choses deviennent plus difficiles. Leur relation de nouvelle mère à fille adoptives ne tombe pas du ciel, il leur faut la construire.
Même sans penser à tout le travail administratif que ça va lui demander pour rendre l'adoption et l'acquisition d'une nouvelle nationalité officielles, rien que le quotidien peut être semé d'embûches sur les plus petites choses.
Les petites filles modèles qui s'élèvent toutes seules, obéissent immédiatement, ne font jamais de caprice, ça n'existe pas ; élever une fillette pour de vrai est plus compliqué que de jouer à la poupée.
Yoko a alors une pensée émue pour sa propre maman, en imaginant combien elle-même, poupée préférée ou non, a dû être loin d'être une enfant modèle.