Ce sont des jours comme ça où j'ai parfois envie de réviser ma police de fonctionnement "archive tout-public, rien de locké, personne n'a besoin de s'inscrire" et de finalement passer deux-trois trucs en members-only et seuls les gens qui y tiennent vraiment pourraient voir le pire...
Titre : Chair de ma chair
Auteur :
ylgBase : Bleach
Personnages : Szayel-Aporro Grantz et ses Fracciones
Genre : gore/vore
Gradation : PG-13 à R / T+
Disclaimer : propriété de Kubo Tite, je ne cherche pas à me faire de sous avec.
Prompt : « démembrement » sur
le Grand Kink Mème Anonyme Multi-Fandom en FrançaisAvertissement : je répète, c'est crade
Continuité/Spoil éventuel : arc des Arrancar, quand on rencontre lesdits fracciones - non, je ne me souviens plus des références des chapitres
Nombre de mots : ~400
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Les protocoles expérimentaux de Szayel-aporo sont en théorie bien rôdés. Il sait ce qu'il fait. Surtout, ne cherchez pas à discuter de cela avec lui si vous ne voulez pas qu'il vous fasse directement la démonstration de ses méthodes.
Pourtant, il arrive que quelque chose aille de travers. Une erreur de manipulation et le sujet dont il étudiait les propriétés lui explose entre les mains. Le sang gicle. Des doigts de l'Octava Espada ne restent plus que des lambeaux sanguinolents pendant au bout de bras hideusement écharpés.
Szayel en reste abasourdi, plus de surprise et de colère que de douleur. Puis il blâme l'accident sur les Fracciones qui lui servent de grouillots de laboratoire (et, à l'occasion, de cobayes).
Il invective le plus proche, peu lui importe son nom :
« Stupide animal ! Tu ne pouvais pas faire attention ? Regarde ce qui est arrivé par ta faute ! »
Il suffirait à Szayel, pour guérir sa blessure, d'avaler la maladroite Fracción. Punition et réparation en un seul geste, quelle efficacité il a mis au point avec cette technique de régénération ! Il pourrait le tuer proprement et rapidement et le manger vite pour se guérir.
Au lieu de cela, il s'acharne sur lui. Il le renverse et le roue de coups de pieds, avant de déchirer sa chair de ses dents, petits bouts par petits bouts. Il les avale avec volupté, goûtant leur chaleur encore vivante, le sang, la force qui se déverse vers son propre corps, jusqu'au fourmillement de ses membres qui repoussent et de ses plaies qui se referment.
Ses blessures guéries, il ne s'arrête pas pour autant. Il le déchiquette entièrement, faisant tomber sur lui une pluie d'insultes entre chaque morceau qu'il arrache, se servant avec une joie sombre et un plaisir pervers de ses mains retrouvées.
Chez cet Arrancar, les fonctions biologiques sont tellement altérées qu'il ne connaît plus de plaisir sexuel. Il se contente par des moyens détournés ; par un biais purement intellectuel, en disséquant hollows, humains et shinigami selon ce qui lui tombe sous la main, ou par des méthodes physiques alternatives, impliquant les corps de tiers.
Au-dessus de la pulpe sanguinolente qui reste de sa Fracción, enfin calmé, il soupire de contentement. La preuve est faite que la connexion entre lui et ses Fracciones est efficace : plus elles souffrent, plus il jouit.