Well! I have ever been busy! It should be against the rules for teachers to give projects at exactly the same time. I had one due on monday, one today, another next monday, then one on thursday again. Okay, so it's not EXACTLY at the same time but still - it's close enough to drive me insane.
Last weekend I went to the debating provincials. As other people from my school couldn't come, I went as a spare. And did I ever get lucky! I got put on the same team as the best speaker! It was all very totatly awsome, although I did only moderatly well - I still learnt alot, and I do have the satisfaction of knowing that I've only been doing this since november, and I'm still better then 25% of the people there.
But yes, for the national debating seminar in ottawa at the end the month, I get to go as the bilingual delegate of Nova Scotia. Because no one else in this province wants to debate in both languages. I got in by default, but still. I think it's really going to be a blast.
I've decided to include my history project in this post - basicly it had to be about the acadiens, but he let's us do whatever we want witht the project. I wrote a short (5 pages, but still) story about the deportation. I'm quite satisfied with how it turned out, although it's obvious I was running out of time near the end.
Introduction
L’histoire courte qui suit nous démontre la déportation des Acadiens. Les personnages sont fictifs, (à l’exception John Winslow) mais la situation est réel. En 1755 le gouverneur Lawrence à déclarer que les Acadiens seraient tous déporter, leurs terres confisquer, dans le nom du roi d’Angleterre. C’est à Grand-Pré, où ce trouvait la majorité de la population francophone de la Nouvelle-Écosse, que le plus grand nombre fut déplacer. Le cinq septembre, tous les hommes fut prit prisonnier dans l’église. John Winslow décida ensuite d’envoyer les hommes plus jeunes et plus forts sur les bateaux, en attendant l’arrivé des autres. Une tentative de sortie à été faite - les garçons fut sortie de bateau déguisé en filles. Malheureusement, ces tentatives non pas fonctionner. Les Britanniques ont demander leur retour en échange de la sécurité de ceux qui avait rester en arrière - les acadiens ont conformer.
Environs un mois après la rencontre dans l’église les premiers bateaux partie pour disperser les Acadiens à travers les colonies anglaise.
Partie 1
L’arôme du pain rempli la maison. Ce n’était en vérité qu’une unique pièce qui servait à la fois de cuisine et de salon, par contre pour ceux qui l’habitait c’était synonyme au confort et au bonheur. Une longue table rectangulaire, assez large pour accommoder la famille et quelques invités prenais majorité de l’espace. À la droite ce trouvait une échelle dans un coin, la seul évidence du grenier et à la gauche le feu brûlait dans le foyer.
Marguerite ajouta un morceau de bois au feu avant de vérifier si le pain était prêt. Encore quelque minute. Tout serait terminé à temps pour le souper. Elle se dirigea vers la table et s’assis quelque instant sur une des chaises. Sa sœur Charlotte, deux ans de plus jeune à 14 ans, venait de rentrer et s’apprêtait à placer un bouquet de fleur au centre de la table.
« Jean-Claude est-il rentrer? J’ai besoin de son aide dans le jardin. »
Marguerite secoua la tête, puis se leva pour chercher le balais.
« Non, pas encore. Père non plus. Ils doivent encore être à l’église. »
Elle se força de ne pas paraître inquiète. Déjà quelques heurs avait passé. Que pouvais être si important pour les garder si longtemps? Ou avaient-ils eu un accident en chemin? Elle garda par contre ses inquiétudes à elle même. Avoir Charlotte d’inquiète aussi n’aiderais certainement pas la situation.
« Je suis certaine qu’ils vont arriver sous peu. J’ai dit à Jean-Claude qu’on mange du fricot ce soir. Et on sait bien qu’il manquerait ça pour rien du monde! »
Charlotte sourit.
« Ça, c’est vrai! J’ai jamais vue quelqu’un manger autant de fricot! Bon, je retourne dans le jardin. »
Elle sortit de la maison et se dérigea vers le côté droit de la maison. Margerite la suivi jusqu’à la porte, respirant l’air fraîche du début de septembre. Elle s’appuya contre le cadre et regarda dans la distance, le balais encore en main. Elle pria que pére et Jean-Claude apparaisent avec vitesse.
***
La tension montait dans la pièce avec chaque seconde passante, comme si à un moment ou un autre tout allait éclater. Même les britanniques ne paraissaient pas confortable. Quelques un avait le visage illisible, d’autre - certainement pas plus que 20 ans - ne semblait pas plus comprendre se qui arrivait que les Acadiens.
Jean-Claude voulait sortir. Sortir dans l’air fraîche, sortir et courir jusqu’à qu’il ne pourrait plus. Loin d’ici, de l’église, des britanniques.
Tout avait commencé quand Félix LeClaire, son père, avait trouvé sur la porte de l’église un message qui commandait tout les hommes et garçons acadiens âgé de plus de 10 ans de se présenté à l’église Saint-Charles à trois heures, le cinq septembre. Alors comme demander, le matin ils sont partis pour se rendre. Jean-Claude se souvenait de l’attente à l’extérieur de l’église jusqu’à qu’ils ont été rentré dans l’église.
À l’avant se trouver une table où était assembler un groupe de soldat, facilement identifiable par leur manteau rouge. C’est alors qu’est rentré le lieutenant-colonel Winslow, un morceau de parchemin dans les mains, plusieurs sur la table. Le silence a été demander. Puis, il a commencé ça lecture :
« Gentlemen,
I have received from His Excellency, Governor Lawrence, royal instructions which I have in my hand. You have been ordered to come here together to hear his Majesty's final decision as to what is to become of the French inhabitants of this his Province of Nova Scotia. His majesty, for almost half a century, has extended more indulgences to the inhabitants of this province than to any of his subjects in any other part of his dominions. What use you have made of them, you yourself best know.
The duty I am now upon, though necessary, is very disagreeable to my nature and temper, as I know it must be grievous to you… »
Pour Jean-Claude qui ne connaissait que le minimum d’anglais, les mots n’avaient eu aucun sens. Mais la présence des soldats britanniques armés avait été assez pour passer le message que ce n’était pas une rencontre de paix.
Il y a avait environs 400 hommes de rassembler à l’église Sainte-Charles mais seulement un petit pourcentage parlait l’anglais. Un des hommes, que Jean-Claude ne reconnaissait pas avait traduit le message aussi bien qu’il pouvait. Ce qu’il disait à choqué tout le monde. Non seulement ils étaient prisonniers de leur propre église, mais ils venaient de tout perdre, leurs maisons, leur terres… bref, on venait de leur enlever l’Acadie.
Une fois le message délivré, Winslow parti de l’église. La porte fut barée. Depuis ce n’était que la confusion.
***
Margerite remua les cendres du feu. Le soleil était en train de se coucher, et son pére et Jean-Claude n’était pas rentré. Sa mére, Elise, n’arrêtait pas de marcher le long de la piéce.
« Où peuvent-ils être? »
« Peut-être qu’ils ont décidé de rester la nuit? C’est quand même une heure de voyage… » Charlotte offrit, sans parraître trop convaincue.
Elise se forca à s’asseoir dans une chaisse à côté le foyer.
« Oui, sa doit… c’est cela… »
Partie 2
Jean-Claude en avait marre du bateau. Il y avait peu d’espace, et le mouvement continue lui rendait malade. Il aurait aimé être plus vieux pour être capable de rester sur terre ferme avec son père. On arrivait la fin de septembre - presque un mois avait passé depuis le début du cauchemar.
Jusqu’à l’embarcation dans les bateaux pour utilisation comme prison flottante, personne n’avait vraiment crue qu’ils allaient être déporté. Ce n’était qu’un mot lancé dans les aires pour les impressionner. Mais maintenant, tout paraissait beaucoup trop vrai.
Il n’avait pas vu la majorité de sa famille pour plus d’une semaine - Charlotte, qu’une fois, quand les Anglais avait laissé les familles les visiter dans l’église; Marguerite et sa mère, que les quelques fois que c’était leur tours d’amener de la nourriture au bateau.
Il y avait quelques un qui commençait de parler d’évasion. Pour Jean-Claude, ce n’était qu’un possibilité trop beau pour être vrai. Il écoutait aux plans faites quand les soldats avaient le dos de tourné, et rêvait du jour quand il pourrait retourner sur terre.
***
Marguerite préparait le souper avec mélancolie. Ce soir, elle préparait du fricot, juste comme la journée fatale quand Jean-Claude et son père sont parti pour la réunion spéciale. Elle n’avait apprie que quelques journées plus tard ce qui ce passait, quand un des hommes du village à venu leur informer. Depuis, la maison était étrangement silencieuse, et elle s’attendait à chaque moment de voir l’un ou l’autre rentrer dans la maison avec un gros sourire.
Sa mère était parti amener la nourriture au bateau. Depuis le départ de son mari, Elise travailler plus dur que jamais, déterminer de ne pas laissé les soldats britanniques voire sa souffrance. Un jour, elle avait expliqué sa philosophie
« Il faut surtout pas les laissées nous voire faible. Il faut être fort, comme ça, il vont avoir un peu de nous. »
Les dernières journées, Elise paraissait plus occupé que d’habitude. Il était évidant qu’elle était en train de préparer quelque chose avec d’autres femmes de Grand-Pré. Mais elle ne voulait rien dire à ses filles.
« Vous allez voire… »
Marguerite soupira. Elle en avait marre d’attendre.
***
Jean-Claude regarda sa mère rentré dans le bateau avec anticipation. Elise ne prit que quelques secondes pour le trouver, et se dirigea dans sa direction, panier en main, un sourire sur le visage. Quand elle était certaine que les soldats ne regardaient pas elle passa le panier à Jean-Claude. Il regarda dedans et trouva au lieu de la nourriture, du matériel fleuris.
« C’est quoi? »
Elise souri encore plus fort.
« C’est ton billet à la liberté! »
Partie 3
Marguerite marcha avec ses mains pleines vers les bateaux dans le port. Les tentatives d’évasion n’avait pas fonctionner - et cette journée marquait leur dernière en Acadie. Un soldat britannique s’approcha.
« This boat is full. Go to the next one. »
Il lui poussa vers un deuxième bateau à la gauche.
« Ma famille! Il sont là! Charlotte, Elise! »
Le soldat secoua la tête et lui poussa de nouveau vers le bateau.
« Go to the next boat »
Pour la première fois, Marguerite avait des larmes au yeux. Elle compris qu’elle n’avait pas de choix. Elle allait prendre le voyage seul. Qui savait si il allait se retrouver.
Elle marcha lentement ver le bateau.
***
Jean-Claude sentit le bateau bouger sous ses pieds. Le bateau qui l’amener loin de sa famille, de sa maison - de son Acadie.