Transmission de valeurs
Titre: Transmission de valeurs
Thème: câlin
Fandom: Harry Potter (retour aux origines)
Personnages : Hermione/Severus, et autres
Disclaimer: Rien à moi, je jure
Rating: G
Nombre de mots: 248
***
S’il y avait une chose que Hermione appréciait avec Ron, c’étaient les câlins. Avec lui, jamais elle n’en manquait. Il faut dire que la famille Weasley était une école de câlins. Toute la gamme y était enseignée : les câlins serrés pour les retrouvailles, ou carrément étouffants si Mrs Weasley vous avait crue en danger ; les câlins plus légers, pour tous les jours, avant d’aller au travail ou en en rentrant le soir ; les câlins très distants, presque polis, lorsqu’elle pensait que vous aviez trompé Harry Potter avec Viktor Krum, ou lorsque vous lui avez annoncé vos fiançailles avec Severus Snape tandis que son fils soignait son cœur brisé dans sa chambre à l’étage, tout seul.
Severus ignorait tout de l’art des câlins, on ne le lui avait jamais appris. Il l’aimait, de cela elle était sûre, mais il ne la touchait que rarement pour une autre raison que lui faire l’amour, et encore moins s’ils étaient en public. Juste un effleurement de la main, ou un bras possessif sur l’épaule pour ne pas la perdre dans une foule. Elle aurait pourtant beaucoup apprécié qu’il la prenne dans ses bras lorsque son père était mort. Elle regarda Aurélius, deux jours, qui tétait le sein.
« Certaines choses ne se transmettront pas de génération en génération, » se dit-elle avec conviction. Lorsque son fils aîné, Septimus, âgé de trois ans, vint lui rendre visite à la maternité, elle prit soin de l’accueillir d’un câlin très, très serré.
Thème: câlin
Fandom: Harry Potter (retour aux origines)
Personnages : Hermione/Severus, et autres
Disclaimer: Rien à moi, je jure
Rating: G
Nombre de mots: 248
***
S’il y avait une chose que Hermione appréciait avec Ron, c’étaient les câlins. Avec lui, jamais elle n’en manquait. Il faut dire que la famille Weasley était une école de câlins. Toute la gamme y était enseignée : les câlins serrés pour les retrouvailles, ou carrément étouffants si Mrs Weasley vous avait crue en danger ; les câlins plus légers, pour tous les jours, avant d’aller au travail ou en en rentrant le soir ; les câlins très distants, presque polis, lorsqu’elle pensait que vous aviez trompé Harry Potter avec Viktor Krum, ou lorsque vous lui avez annoncé vos fiançailles avec Severus Snape tandis que son fils soignait son cœur brisé dans sa chambre à l’étage, tout seul.
Severus ignorait tout de l’art des câlins, on ne le lui avait jamais appris. Il l’aimait, de cela elle était sûre, mais il ne la touchait que rarement pour une autre raison que lui faire l’amour, et encore moins s’ils étaient en public. Juste un effleurement de la main, ou un bras possessif sur l’épaule pour ne pas la perdre dans une foule. Elle aurait pourtant beaucoup apprécié qu’il la prenne dans ses bras lorsque son père était mort. Elle regarda Aurélius, deux jours, qui tétait le sein.
« Certaines choses ne se transmettront pas de génération en génération, » se dit-elle avec conviction. Lorsque son fils aîné, Septimus, âgé de trois ans, vint lui rendre visite à la maternité, elle prit soin de l’accueillir d’un câlin très, très serré.