De la fraise qui gratte (Prompt#25:Fraise ; Xmen)
Challenge : 0
Prompt : #25
Fandom : X-Men
Personnages : Pyro/Iceman + autres
Genre (humour / drama / aventure...) : Humour
Avertissement (PG, K, NC-13 etc...) : PG
Disclaimer : Rien n’est à moi, tout est à DC Comics ^^
Ecrit pour le théme « fraise » de snark_team
Munroe avait eu l’idée de base.
« Et pourquoi ne pas organiser un bal costumé pour Halloween ? »
Sur le coup, il avait eu envie de la trucider. Un bal costumé. Non et puis pourquoi pas un thème sur les couples célèbres pendant qu’elle y était ?
« Oh oui ! Et pourquoi pas un bal à thème ? Comme … les couples célèbres par exemple ! »
A cet instant précis, Malicia reçut un regard rouge orangé de la part de Pyro et décida de se taire. Malheureusement pour lui, un chœur de voix féminines s’était exclamé que « Awwww oui !!! » c’était une excellente idée.
Ce à quoi il avait rétorqué que si Malicia voulait jouer à la Belle et la Bête avec son poilu de copain, c’était son problème, mais elle n’avait pas à embarquer les autres dans son délire de jeu de rôle sexuel pas catholique. Du coin de l’œil il avait vu Bobby ouvrir la bouche et lui avait fermement appuyé sur le pied, ne voulant pas que l’homme de glace sorte une phrase du genre « Pourtant, hier soir… ».
Deux jours après, avaient fleuri des affiches, annonçant le bal costumé d’Halloween avec obligation formelle d’être déguisé.
Kitty voulut y aller avec Bobby. En temps que Roméo et Juliette, rien que ça. Bobby voulait y aller avec lui. Il n’avait rien contre ça si ce n’était le fait que ça officialise les bruits de couloir et il n’en avait pas particulièrement envie. Sauf s’ils y allaient ensemble, sans y aller ensemble. Ce qui revenait à trouver un couple qui n’en était pas un.
Et Bobby prenait cette recherche très à cœur. Ce qui voulait dire qu’il ne dormait presque plus, ce qui revenait à dire que John ne pouvait pas aller se lover contre lui pour dormir, ce qui voulait dire que ledit John était d’une humeur des plus massacrantes.
Et au bout d’une semaine de va et vient entre ses bouquins, Internet et les mini-incendies dus aux désaccords de Pyro, Bobby finit par trouver un couple qui n’en était pas un. Et qui convenait à John. Ce qui n’était pas peu dire.
Le bal venait de débuter et une crise de couple venait d’éclater dans la chambre des deux jeunes hommes.
« Enlève-moi ça, ça gratte ! »
« Putain tu fais chier Pyro. T’as dit que t’étais d’accord pour ce couple et maintenant c’est trop tard pour en rechercher un et refaire des costumes parce que je te signale que le bal vient de commencer. Alors tu gardes ton costume ! »
« Ça me gratte. Alors tu la gardes pour toi, ta fraise. »
« T’as pas voulu de Laurel et Hardy, t’as refusé catégoriquement César et Marc Antoine, tu t’es rebellé contre l’idée d’Abel et Caïn. Alors mets cette fraise et tu vas jouer les Ravaillac pendant que je fais Henri IV. »
Et sur ces mots, Bobby fit claquer les talons de ses bottines et sortit de la chambre, suivi d’un Pyro prêt à tout faire flamber si un des autres trouvait quelque chose à redire sur sa foutue fraise qui lui grattait le cou et le rendait terriblement ridicule.
Prompt : #25
Fandom : X-Men
Personnages : Pyro/Iceman + autres
Genre (humour / drama / aventure...) : Humour
Avertissement (PG, K, NC-13 etc...) : PG
Disclaimer : Rien n’est à moi, tout est à DC Comics ^^
Ecrit pour le théme « fraise » de snark_team
Munroe avait eu l’idée de base.
« Et pourquoi ne pas organiser un bal costumé pour Halloween ? »
Sur le coup, il avait eu envie de la trucider. Un bal costumé. Non et puis pourquoi pas un thème sur les couples célèbres pendant qu’elle y était ?
« Oh oui ! Et pourquoi pas un bal à thème ? Comme … les couples célèbres par exemple ! »
A cet instant précis, Malicia reçut un regard rouge orangé de la part de Pyro et décida de se taire. Malheureusement pour lui, un chœur de voix féminines s’était exclamé que « Awwww oui !!! » c’était une excellente idée.
Ce à quoi il avait rétorqué que si Malicia voulait jouer à la Belle et la Bête avec son poilu de copain, c’était son problème, mais elle n’avait pas à embarquer les autres dans son délire de jeu de rôle sexuel pas catholique. Du coin de l’œil il avait vu Bobby ouvrir la bouche et lui avait fermement appuyé sur le pied, ne voulant pas que l’homme de glace sorte une phrase du genre « Pourtant, hier soir… ».
Deux jours après, avaient fleuri des affiches, annonçant le bal costumé d’Halloween avec obligation formelle d’être déguisé.
Kitty voulut y aller avec Bobby. En temps que Roméo et Juliette, rien que ça. Bobby voulait y aller avec lui. Il n’avait rien contre ça si ce n’était le fait que ça officialise les bruits de couloir et il n’en avait pas particulièrement envie. Sauf s’ils y allaient ensemble, sans y aller ensemble. Ce qui revenait à trouver un couple qui n’en était pas un.
Et Bobby prenait cette recherche très à cœur. Ce qui voulait dire qu’il ne dormait presque plus, ce qui revenait à dire que John ne pouvait pas aller se lover contre lui pour dormir, ce qui voulait dire que ledit John était d’une humeur des plus massacrantes.
Et au bout d’une semaine de va et vient entre ses bouquins, Internet et les mini-incendies dus aux désaccords de Pyro, Bobby finit par trouver un couple qui n’en était pas un. Et qui convenait à John. Ce qui n’était pas peu dire.
Le bal venait de débuter et une crise de couple venait d’éclater dans la chambre des deux jeunes hommes.
« Enlève-moi ça, ça gratte ! »
« Putain tu fais chier Pyro. T’as dit que t’étais d’accord pour ce couple et maintenant c’est trop tard pour en rechercher un et refaire des costumes parce que je te signale que le bal vient de commencer. Alors tu gardes ton costume ! »
« Ça me gratte. Alors tu la gardes pour toi, ta fraise. »
« T’as pas voulu de Laurel et Hardy, t’as refusé catégoriquement César et Marc Antoine, tu t’es rebellé contre l’idée d’Abel et Caïn. Alors mets cette fraise et tu vas jouer les Ravaillac pendant que je fais Henri IV. »
Et sur ces mots, Bobby fit claquer les talons de ses bottines et sortit de la chambre, suivi d’un Pyro prêt à tout faire flamber si un des autres trouvait quelque chose à redire sur sa foutue fraise qui lui grattait le cou et le rendait terriblement ridicule.