L'autre jour, je faisais un peu de rangement et de tri (pas beaucoup mais c'est toujours ça de gagné) quand je retrouvai ...
ceci ...
Un agenda donc de 1997 (diantre ...) que j'avais acheté et qui est bien entendu complètement vide, déjà parce qu'en 97 j'avais pas grand chose à écrire dans un agenda (surtout pas les devoirs, y'a pas assez de place dedans) et puis parce que bon, c'est collectôooor quoi, enfin je veux dire j'allais pas écrire dessus, c'était un trésor.
Et donc en le feuilletant voir ce que contenait la bête, je tombe sur des coupures de magazines, des images, des photocopies, tous les petits bidules qu'on gardait précieusement à l'époque ...
petit échantillon
des cartes postales (floues mais sexy) achetées lors des vacances avec les parents avec des paysages que j'aimais bien et tout.
La carte qui se trouvait au début de Prélude à Fondation d'Isaac Asimov, que j'ai du mettre là pour pas la perdre
et d'autres petits bouts de fandom. Et aussi des petits mots de ma correspondante japonaise de l'époque, dont je serais bien incapable de me rappeler le nom, qui m'envoyait des petits cadeaux et des morceaux de Japon sur petites feuilles de petit bloc notes décorées comme savent le faire les Japonais ...
QUAND SOUDAIN (désolée de vous sortir de votre torpeur de réminiscence éthérée de votre propre passé et de vos propres petits trésors de l'époque)
je tombe sur ça ...
Et oui, je savais déjà qui étaient les joniz en 97... enfin je les avais vus quoi ... et malheureusement impossible de me rappeler à quoi j'avais pensé en les voyant pour la première fois à l'époque.
Le destin moi je vous dis ...
Le destiiiiiin ...