Scott Pilgrim versu the world
crossposté depuis amours_de_fans
Scott Pilgrim, c'est quoi ?
Un film délirant d'Edgar Wright (l'un des papas de Shawn of the Dead & Hot Fuzz) , adapté du non moins excellent comic dessiné par le canadien Bryan Lee O'Malley.
Mais surtout Scott Pilgrim c'est un univers débordant de pop culture, de références visuelles geek, de jeu vidéo et de rock, le tout à une sauce vaguement surréaliste et franchement réjouissante.
Filmsactu.com le qualifie d'OFNI (objet filmique non identifié) et je dois dire que c'est bien trouvé.
Scott, le héros éponyme de cette grande oeuvre épique (plutôt l'anti-hero en fait) est un canadien looser d'une vingtaine d'années, bassiste dans un groupe, qui éponge son coeur brisé par une précédente relation en sortant avec une lycéenne quand entre soudain dans sa vie Ramona Flower. C'est le coup de foudre (du moins du côté de Scott), mais il va vite réaliser à ses dépends que Ramona traîne un bagage plutôt encombrant : une ligue d'ex petits amis maléfiques, qu'il lui faudra affronter et vaincre s'il veut pouvoir rester avec Ramona (oui, vous avez bien lu.)
Le tout avec en arrière plan un concours de rock, le pouvoir de l'Amour, le retour en ville de la fille qui lui a brisé le coeur et les conseils plus ou moins reluctants de Wallace, le meilleur ami et colocataire gay de Scott (avec lequel il partage l'unique lit de l'appart en tout bien tout honneur et qui est hilarant d'un bout à l'autre du film).
La réalisation est inventive, avec un découpage et une narration clairement empruntés au comic ou aux éléments visuels du jeu vidéo, le casting est parfait : l'ensemble est nerveux, jubilatoire et drôle, servi par une bande son dopée au 8-bit et au rock (signée Beck).
Le tout donne 1h30 de pur bonheur et si vous hésitez encore, sachez que quand je l'ai vu, la salle rigolait déjà alors qu'on en était encore au logo Universal. C'est généralement bon signe non ?
Le seul point noir, c'est la distribution, qui est vraiment mauvaise, et le film ne passe pas dans beaucoup de salles. Donc s'il passe encore près de chez vous, dépêchez-vous, parce qu'il ne restera sans doute pas longtemps (à titre d'exemple, il passait dans 4 salles à Paris, la semaine de sa sortie... C'est la loose.)
Prepare to have fun, obviously.
Scott Pilgrim, c'est quoi ?
Un film délirant d'Edgar Wright (l'un des papas de Shawn of the Dead & Hot Fuzz) , adapté du non moins excellent comic dessiné par le canadien Bryan Lee O'Malley.
Mais surtout Scott Pilgrim c'est un univers débordant de pop culture, de références visuelles geek, de jeu vidéo et de rock, le tout à une sauce vaguement surréaliste et franchement réjouissante.
Filmsactu.com le qualifie d'OFNI (objet filmique non identifié) et je dois dire que c'est bien trouvé.
Click to viewScott, le héros éponyme de cette grande oeuvre épique (plutôt l'anti-hero en fait) est un canadien looser d'une vingtaine d'années, bassiste dans un groupe, qui éponge son coeur brisé par une précédente relation en sortant avec une lycéenne quand entre soudain dans sa vie Ramona Flower. C'est le coup de foudre (du moins du côté de Scott), mais il va vite réaliser à ses dépends que Ramona traîne un bagage plutôt encombrant : une ligue d'ex petits amis maléfiques, qu'il lui faudra affronter et vaincre s'il veut pouvoir rester avec Ramona (oui, vous avez bien lu.)
Le tout avec en arrière plan un concours de rock, le pouvoir de l'Amour, le retour en ville de la fille qui lui a brisé le coeur et les conseils plus ou moins reluctants de Wallace, le meilleur ami et colocataire gay de Scott (avec lequel il partage l'unique lit de l'appart en tout bien tout honneur et qui est hilarant d'un bout à l'autre du film).
La réalisation est inventive, avec un découpage et une narration clairement empruntés au comic ou aux éléments visuels du jeu vidéo, le casting est parfait : l'ensemble est nerveux, jubilatoire et drôle, servi par une bande son dopée au 8-bit et au rock (signée Beck).
Le tout donne 1h30 de pur bonheur et si vous hésitez encore, sachez que quand je l'ai vu, la salle rigolait déjà alors qu'on en était encore au logo Universal. C'est généralement bon signe non ?
Le seul point noir, c'est la distribution, qui est vraiment mauvaise, et le film ne passe pas dans beaucoup de salles. Donc s'il passe encore près de chez vous, dépêchez-vous, parce qu'il ne restera sans doute pas longtemps (à titre d'exemple, il passait dans 4 salles à Paris, la semaine de sa sortie... C'est la loose.)
Prepare to have fun, obviously.