[Fic] Home - Doctor Who - Pour flo_nelja
Titre: Home
Auteur: rapunzelita
Fandom: Doctor Who
Personnages: Le Docteur et le Tardis (si, si, c'est un personnage.)
Rating: G
Disclaimer: La BBC, Russel T Davies et les autres créateurs de la série... Ça appartient à tout le monde sauf à moi.
Notes : Je n'ai pas donné le nom du Tardis parce que c'est spécifié sur Wikipedia que c'est la petite-fille du premier Docteur, Susana (si je me souviens bien), qui donne son nom au Tardis. Au moment où cette fic' se déroule, elle n'est même pas encore née (notre cher Docteur doit avoir l'équivalent de 15 ans, et il ne s'appelle même pas encore "Le Docteur". J'ai décidé de ne pas lui donner de nomnon plus...)
Ça ne répond que partiellement à la requête, parce que ce n'est pas particulièrement drôle... Pas que ce soit triste non plus, c'est juste... neutre. Par contre l'aspect mignon y est :D
Demandé par: flo_nelja - Requête n°207
« À partir de maintenant, ce vaisseau est le vôtre. Vous êtes tenu d'en prendre soin et de ne pas l'abîmer. Il ne vous en sera pas confié d'autre, quand bien même vous viendriez à lui infliger des dommages irréparables. Me suis-je bien fait comprendre? »
Il hocha la tête distraitement, n'écoutant déjà plus ce que son tuteur lui expliquait. Il n'avait jamais eu l'occasion de voir un vaisseau spatio-temporel dont le circuit caméléon n'était pas en marche, et il était fasciné. Le coup de foudre lui avait toujours semblé être un concept ridicule, mais il semblait que le sort avait décidé que l'experience était la meilleure façon de le convaincre du contraire.
Elle ressemblait à un grand morceau de corail pâle et délicat, d'une forme étrange , dissymétrique, et pourtant infiniment grâcieuse. Il s'approcha d'elle avec précaution, craignant de la tirer du sommeil dans lequel elle semblait plongée, puis posa en douceur ses doigts sur la surface irrégulière et faiblement lumineuse du vaisseau, soulignant rêveusement le contour de la porte taillée dans le « bois ». À cet instant, elle se mit à émettre un fredonnement grave, comme si elle ronronnait.
Il sortit d'une de ses poches un morceau du même corail que celui de son vaisseau, monté sur une fine châine d'argent, et l'utilisa comme clé. Il entra, sentant ses cheveux se hérisser sur sa nuque alors qu'il changeait de dimension. Son tuteur ne le suivit pas,
Un large sourire vint éclairer son visage. Le ronronnement était toujours présent, mais il venait des murs, du sol et du plafond de la salle où se trouvait le tableau de bord. Il se demanda si tous les Seigneurs du Temps s'étaient sentis aussi bien lorsqu'ils avaient « rencontré » pour la première fois leur vaisseau. Il jeta un oeil à son tuteur, toujours aussi retors et pompeux, et haussa les épaules. Probablement pas.
Il regarda autour de lui. Cet endroit était merveilleux. Des câbles électriques qui devaient faire l'épaisseur de son bras pendaient du plafond, et une odeur agréable, métalique et poussiéreuse, flottait dans l'air. Il n'aurait su donner un nom à ce qu'il ressentait. Il était en sécurité. Il était le bienvenu. Il était à sa place. Il était aimé.
Il n'existait aucun autre endroit au monde qui puisse lui faire ressentir une telle serenité.
A man travels the world over in search of what he needs, and returns home to find it.
- George Moore.
Auteur: rapunzelita
Fandom: Doctor Who
Personnages: Le Docteur et le Tardis (si, si, c'est un personnage.)
Rating: G
Disclaimer: La BBC, Russel T Davies et les autres créateurs de la série... Ça appartient à tout le monde sauf à moi.
Notes : Je n'ai pas donné le nom du Tardis parce que c'est spécifié sur Wikipedia que c'est la petite-fille du premier Docteur, Susana (si je me souviens bien), qui donne son nom au Tardis. Au moment où cette fic' se déroule, elle n'est même pas encore née (notre cher Docteur doit avoir l'équivalent de 15 ans, et il ne s'appelle même pas encore "Le Docteur". J'ai décidé de ne pas lui donner de nomnon plus...)
Ça ne répond que partiellement à la requête, parce que ce n'est pas particulièrement drôle... Pas que ce soit triste non plus, c'est juste... neutre. Par contre l'aspect mignon y est :D
Demandé par: flo_nelja - Requête n°207
« À partir de maintenant, ce vaisseau est le vôtre. Vous êtes tenu d'en prendre soin et de ne pas l'abîmer. Il ne vous en sera pas confié d'autre, quand bien même vous viendriez à lui infliger des dommages irréparables. Me suis-je bien fait comprendre? »
Il hocha la tête distraitement, n'écoutant déjà plus ce que son tuteur lui expliquait. Il n'avait jamais eu l'occasion de voir un vaisseau spatio-temporel dont le circuit caméléon n'était pas en marche, et il était fasciné. Le coup de foudre lui avait toujours semblé être un concept ridicule, mais il semblait que le sort avait décidé que l'experience était la meilleure façon de le convaincre du contraire.
Elle ressemblait à un grand morceau de corail pâle et délicat, d'une forme étrange , dissymétrique, et pourtant infiniment grâcieuse. Il s'approcha d'elle avec précaution, craignant de la tirer du sommeil dans lequel elle semblait plongée, puis posa en douceur ses doigts sur la surface irrégulière et faiblement lumineuse du vaisseau, soulignant rêveusement le contour de la porte taillée dans le « bois ». À cet instant, elle se mit à émettre un fredonnement grave, comme si elle ronronnait.
Il sortit d'une de ses poches un morceau du même corail que celui de son vaisseau, monté sur une fine châine d'argent, et l'utilisa comme clé. Il entra, sentant ses cheveux se hérisser sur sa nuque alors qu'il changeait de dimension. Son tuteur ne le suivit pas,
Un large sourire vint éclairer son visage. Le ronronnement était toujours présent, mais il venait des murs, du sol et du plafond de la salle où se trouvait le tableau de bord. Il se demanda si tous les Seigneurs du Temps s'étaient sentis aussi bien lorsqu'ils avaient « rencontré » pour la première fois leur vaisseau. Il jeta un oeil à son tuteur, toujours aussi retors et pompeux, et haussa les épaules. Probablement pas.
Il regarda autour de lui. Cet endroit était merveilleux. Des câbles électriques qui devaient faire l'épaisseur de son bras pendaient du plafond, et une odeur agréable, métalique et poussiéreuse, flottait dans l'air. Il n'aurait su donner un nom à ce qu'il ressentait. Il était en sécurité. Il était le bienvenu. Il était à sa place. Il était aimé.
Il n'existait aucun autre endroit au monde qui puisse lui faire ressentir une telle serenité.
A man travels the world over in search of what he needs, and returns home to find it.
- George Moore.