Oui, ça a toujours au moins autant de sens de quantifier cet effet que de vouloir quantifier l'impôt. Toute politique basée sur un quelconque modèle économétrique présuppose une hypothèse d'équilibre. Toute hypothèse d'équilibre économique s'applique forcément ipso facto à la recherche de rente, et donne la loi de Bitur-Camember. Reconnaître l'absence d'équilibre, c'est reconnaître la pertinence de l'approche autrichienne. Et même en absence d'équilibre statique, cela n'empêche pas que l'équilibre dynamique de l'impôt est négatif -- et donc toute situation où il n'a pas un effet négatif double du positif est une situation d'opportunité pour un parasite professionnel de capter une rente.
Commence par comprendre pourquoi la légitimation du vol a un effet économique négatif... en évaluant les incitations à la création / dissipation... démonstration qui s'appuie sur une définition du vol intrinsèque à toute action humaine... et donc indépendante de toute définition légale... d'où l'on conclut qu'une loi qui viole la propriété naturelle est ipso facto destructrice... et que tout drapé de loi qu'il soit, un impôt reste du vol...
Commence par comprendre pourquoi la légitimation du vol a un effet économique négatif... en évaluant les incitations à la création / dissipation... démonstration qui s'appuie sur une définition du vol intrinsèque à toute action humaine... et donc indépendante de toute définition légale... d'où l'on conclut qu'une loi qui viole la propriété naturelle est ipso facto destructrice... et que tout drapé de loi qu'il soit, un impôt reste du vol...
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