Mind control / Manipulation mentale

Feb 19, 2006 06:08


Earlier this month, I had set my alarm clock on WGBH, a music radio channel, and I got woken up by the news from NPR, the so-called public radio. Under a fake neutral tone, it broadcasts one-sided news. The underlying ideology is goodthinking social democracy. It's never about understanding any phenomena in terms of causes and consequences. No, it's all about feeling. Feeling what the broadcasters induce you into feeling. Mind control with a claim of moral high ground.

Début février, je réglai mon alarme sur WGBH, une radio musicale, et suis réveillé par les nouvelles de la NPR, la radio soi-disant publique nationale. Sous un ton faussement neutre, des nouvelles à sens unique y sont diffusées. L'idéologie sous-jacente est la social-démocratie bonpensante. Ne surtout pas chercher à comprendre aucun phénomène en termes de causes et conséquences. Non, il s'agit de ressentir. Et de ressentir selon les schémas insinués. Manipulation mentale sous un masque de supériorité intellectuelle.

The first feeling you're incited to feel is: racism. An insidious anti-white, pro-black racism. Whereas its surface discourse tells of equality or justice between races, the crypto-racist ideology consists precisely in classifying individuals first and foremost according to a racial community; to hell with individual rights, each one is to be categorized depending on the color of one's skin. The Marriott welcomes in its hotel a racist black university the buildings of which were destroyed by the hurricane Katrina; in place of gratefulness, a complaint, unbacked by the only interviewed witness, according to which the students do not feel at home. Not enough tagging, drug-dealing and violence, perhaps. As for collectivism, it is implicitly admitted that the rebuilding of housing is government business, and should thus be examined as a political question of distributing the works according to racist pro-black criteria. Last but not least, the American Black History Month! To fight against pro-white racism in official history, inscribe racism into the very title of the new biased history. When shall we have a French-American History Week? All this pro-black anti-white racism is only a minor nuisance in a country like the United States where black people are a minority; it only harms those of this minority who get entrapped in this logic of hate, victimization, and narrowing of hearts and minds. The same racism, fostered by the international-socialist scum, causes considerable ruin in a country like Zimbabwe, where black people are the vast majority and impose upon everyone, thus mainly upon each other, this logic of self-destruction.

Governmental prohibitions are shown as normal and respectable things. Beware, gamblers, there is a monopoly on bookmaking for the Superbowl, and it is illegal to place bets anywhere else, even though small bets between friends are still tolerated out of government benevolence. As for drugs, here's the proud celebration of the violent arrest of a few providers by federal services. In both cases, the radio implicitly glorifies prohibition and the agents who enforce it. There is no place for discussion, for argumentation, for understanding, for explanations. The object of the broadcast is to instill fear, unquestioned submission, identification to the oppressor, ridicule of the victims of the system, etc.

Another feeling you are induced into: enthusiasm toward the lieutenant governor of Louisiana, aspiring to mayorship of the Big Easy. He is already introduced as the mayor to be; his upcoming interview on air is presented as a major event of the show, each time preceded and followed by good news with a positive feeling. A short declaration is broadcast that doesn't tackle any decision, any justification, any comparison, any argument, but associates said politician to the positive feeling of building for children. An opposite effect is sought when a declaration of President Bush about his huge war budget is broadcast between various news of deaths and catastrophes, again without any attempt of comparison, any rational criticism, any kind of argument. You shouldn't be thinking about where the money comes from and where it could have gone. No. You should just feel a big number between two catastrophes. It's all about manipulating your minds to implant feelings as unambiguous as it is lacking in reflection.

Everytime, the tone of the radio seems neutral, the words seem objective, but the selection and the ordering of the news constitute some sneaky political propaganda the subliminal message of which is as clear as it is biased. And all that is done with money from ill-advised donators whose heads are being filled with politically correct certitudes. What a stench. This is pure and simple mind control. Listeners are treated like fools, and so are they if they let themselves indoctrinated that way, or worse, if they send their contribution to this station that boasts of its independence and its claimed integrity. The United States limp behind France in the march toward totalitarian socialism, but the mass media work quite hard to close the gap.

Le premier sentiment que vous êtes invités à partager est: le racisme. Un racisme sournois, anti-blanc et pro-noir. En prétendant défendre l'égalité ou la justice entre les races, l'idéologie crypto-raciste consiste justement à classifier chaque individu d'abord et avant tout selon une communauté raciale; fi des droits individuels, chacun est à catégoriser selon sa couleur de peau. Le Marriott accueille dans son hôtel une université raciste noire dont les locaux ont été détruits par la tempête; en guise de gratitude, une plainte, contraire au seul témoignage recueilli, selon laquelle les étudiants ne s'y sentent pas chez eux. Pas assez de graffitis, de drogue et de violence, sans doute. Côté collectivisme, il est admis implicitement que la reconstruction des habitations est l'affaire de l'État, et se pose alors la question politique de la répartition de ces reconstructions selon des critères racistes pro-noirs. Et pour finir, le mois d'histoire noire américaine! Pour lutter contre le racisme pro-blanc de l'histoire officielle, inscrire le racisme dans le nom même de la nouvelle histoire biaisée. À quand une semaine de l'histoire des franco-américains? Tout ce racisme pro-noir anti-blanc n'est qu'une nuisance mineure dans un pays comme l'Amérique où les noirs sont minoritaires; il ne nuit qu'à ceux de cette minorité qui s'enferment dans une logique de haine, de victimisation, de rétrécissement des coeurs et des esprits. Le même racisme, cultivé par la canaille international-socialiste, cause des dégâts considérables dans un pays comme le Zimbabwe, où les noirs sont l'écrasante majorité, et imposent à tous, donc surtout les uns aux autres, cette logique autodestructrice.

Les prohibitions étatiques sont présentées comme normales et respectables. Attentions, parieurs, seule une officine est autorisée à accepter les paris sur le Superbowl, les autres sont illégales, même si les petits paris entre amis sont encore tolérés par bienveillance étatique. Quant aux drogues, on célèbre fièrement l'arrestation violente de quelques fournisseurs par les services fédéraux. Dans les deux cas, la radio glorifie implicitement la prohibition et les agents qui la font respecter. Il ne s'agit pas de discuter, d'argumenter, de chercher à comprendre ou d'expliquer. Il s'agit d'inspirer la peur, la soumission sans question, l'identification aux oppresseurs, la raillerie des victimes du système, etc.

Autre sentiment que vous êtes invité à partager: de l'enthousiasme pour le gouverneur adjoint de Louisiane, candidat au poste de maire de la nouvelle Orléans. Il est dores et déjà présenté comme le futur maire; le fait qu'il sera sur l'antenne est présenté plusieurs fois comme un événement majeur de l'émission, à chaque fois précédé ou suivi de nouvelles bonnes ayant un ressenti positif. Une courte déclaration est diffusée qui n'aborde aucune décision, aucune justification, aucune comparaison, aucun argument, mais nous associe le dit politicien au ressenti positif de construire pour les enfants. Effet inverse, une déclaration du président Bush sur son budget faramineux, entre deux mauvaises nouvelles de catastrophes diverses, et là aussi sans comparaison, sans critique rationnelle, sans argument aucun. Il ne s'agit pas de comparer des alternatives, de regarder d'où l'argent vient où il va et où il aurait pu aller. Non. Il s'agit de ressentir un gros chiffre entre deux catastrophes, de manipuler les esprits pour leur inséminer un ressenti aussi dénué d'ambiguité que de réflexion.

À chaque fois, le ton de l'émission paraît neutre et les mots semblent objectifs, mais la sélection et l'ordonnancement des nouvelles constituent une propagande politique larvée, dont le message subliminal est aussi clair que biaisé. Le tout aux frais de donateurs malavisés que l'on remplit de certitude bienpensante. Puant. C'est de la manipulation mentale pure et simple. Les auditeurs sont pris pour des imbéciles, qu'ils sont sans doute s'ils se laissent faire et que pire encore, ils envoient leur obole à cette station qui fait grand jeu de son indépendance et de sa soi-disant intégrité. L'Amérique a du retard sur la France dans la marche vers le socialisme totalitaire, mais les médias travaillent sérieusement à le combler.

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