Idée lâchement piquée à flo_nelja
Voici donc un mega post récapitulatif - parce que oui je n'ai que cela à faire, et non je n'ai pas sommeil.
Post récapitulatif de ce meme . Toujours ouvert pour les mous du cerveau, by the way. Have fun, et redemandez, si vous avez des illuminations subites !! Avec un bon thème, je suis toujours partante ^w^
Pour howan, Gin/Shuuhei sur le thème 'ça reste à prouver'
Gin marchait, le regard un peu fou.
Il croisait des gens, des shinigamis. Il lisait de la peur dans leurs regards, et il aimait ça.
Oh oui, il aimait ça.
Il croisa la petite Ise Nanao, qui évita son regard.
Son sourire dément s’élargit.
Il croisa Tousen Kaname, qui ne détourna pas sa route. Mais il sentit son malaise, sa désapprobation silencieuse.
Et il aima ça.
Il finit par croiser Suuhei, au détour d’une allée. Et son regard, à lui, disait : « je n’ai pas peur de toi ».
Le sourire de Gin ne s’effaça pas.
Et lorsque Gin s’approcha sans bruit du vice-capitaine de la 9eme division, et qu’il lui murmura quelques mots à l’oreilles, il se dit qu’en réalité, il avait peut être bien peur.
Et il ricana en s’éloignant.
Pour howan, Narcisse/Apollon sur le thème 'va-t'en !'
- Tiens… mais c’est notre cher Beauté…
- Que veux -tu, Apollon ?
Le dieu-soleil passa une main douce sous le menton de Narcisse, lui relevant la tête.
En effet, le jeune mortel était beau. Des traits fins, mais virils, des yeux au bleu parfait, purs comme un ciel d’été. Des cheveux d’un blond vénitien parfait, ondulés comme les blés. Mais un regard si vide, une expression si nue, une moue si désespérément absente… Non, en réalité, il n’y avait que ces stupides mortelles, ou ces naïades crédules, pour tomber sous un charme aussi vide.
- Va-t-en, murmure le jeune mortel. Va-t-en…
Et, comme il retourne ses yeux vers son reflet, son visage s’anime soudain, ses lèvres s’entrouvrent en un sourire tendre, éclatant, qui s’épanouit sur son visage, animant ses traits d’une lumière à mettre des larmes aux yeux.
Pour flo_nelja, Croup/Vandemar sur le thème 'embrouille'
Mr Croup s’avança lentement. Derrière lui, Mr Vandemar marchait comme une montagne pourrait marcher, avec un rythme lent et une totale absence de raisonnement. Il mâchouillait paisiblement quelque chose, qui, au vu des soubresauts, vivait encore.
- « Embrouille », nom féminin, affaire confuse et emmêlée ; embrouillement destiné à tromper ». Savez-vous ce que c’est, cher Monsieur ?
Seul un petit couinement terrifié lui répondit.
A terre, la forme se recroquevilla, essayant vainement de s’incruster dans le mur dégoulinant de boue derrière lui.
- C’est terme utilisé par notre cher employeur pour qualifier l’affaire vous ayant opposée à lui. Et savez vous ce que cela signifie, outre la définition que je vous ai fournie ?
Devant l’absence totale de réponse de la part de la forme à terre, Mr Croup demanda d’un air dégagé :
- Et vous, mon cher Vandemar, le savez vous ?
Le colosse derrière lui répondit par un grondement.
- De gros ennuis. V’là c’que j’dis.
- Et vous avez raison, mon cher camarade. Vous avez parfaitement raison.
La forme à terre couina.
- Et qu’entendons-nous par gros ennuis, cher Mr Vandemar ?
- Qu’ça va faire mal.
- Exactement. Voulez vous faire présentement une démonstration de ce que « faire mal » signifie à notre cher amis assis devant nous ?
Le colosse s’avança lentement, tout en faisant craquer ses énormes phalanges. Dans un bruit de succion assez répugnant, il avala la dernière partie de la chose qu’il avait dans la bouche, et se pencha en avant.
Un long hurlement couru le long des égouts du Londres d’En Dessous.
Pour larme_en_argent, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'la tentation'
La tentation.
La tentation, Crowley la connait bien.
C’est lui, après tout.
Parce que, soyons clair, ce n’est pas cette tarte de pomme qui à fait tout le boulot, ce jour là.
C’est lui.
LUI.
Non mais.
Alors lorsque Aziraphale se met à couiner devant un bête vieux livre sur je ne sais quel sujet, probablement ennuyeux à mourir, et fait mine de tenter de « résister à la tentation » de l’acheter…
Là, Crowley se sent carrément insulté.
Mortifié, il jette un regard venimeux à son ange, qui piaille toujours devant la vitrine de la librairie.
Pour larme_en_argent, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'garderie pour enfants malades'
Crowley gronda.
Dans un coin de la chambre qui abritait d’habitude ses séances de galipettes avec son ange favoris, se tenait un groupe de jeunes bras cassés, présentant tous les signes d’une magnifique gueule de bois.
Les Eux, resplendissants de leur gloire avinée, se tenaient, têtes basses et douloureuses, yeux rouges et cernés, bouches pâteuses et teint blafard.
- Non, non et non, asséna Crowley d’une voix forte, qui fit se recroqueviller les Eux.
- Okay, okay, mais moins fort, steuplé, moins fort, supplia Adam.
Aziraphale eut un sourire indulgent.
- Mais enfin, Crowley, ils ne peuvent pas rentrer chez eux, leurs parents…
- M’en fiche, de leurs vieux !! Quand on fait des conneries, on assume ! C’est pas une garderie, ici !
Sourd aux protestation de son démon, Aziraphale le fit sortir de la pièce.
- Restez là, les enfants. Je vous amène de l’aspirine.
- Merci, Az’, soupira Pepper d’une petite voix.
Raaah, et merde.
Tous les plans de Crowley pour la nuit, qui comprenait, entre autre, halètements, gémissement, soupirs, tremblements, et délicieuses morsures, venaient de tomber à l’eau.
Pour loukawai, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'la meilleure façon de faire enrager un ange'
Crowley avança lentement le visage, près, très près du cou d’Aziraphale.
L’ange endormis fronça le nez, dans une mimique adorable.
Crowley retint un sourire attendri qui aurait détruit à tout jamais sa réputation de démon.
Lentement, avec moult précautions, il s’avança encore, jusqu’à ce que sa bouche soit juste en dessous de l’oreille de l’ange.
Il entrouvrit les lèvres, doucement, doucement…
Et, avec une jubilation sensuelle, il mordilla sauvagement l’oreille offerte.
- AAAAAAAAAARGH !!! hurla Aziraphale.
Crowley répondit par un hululement trimphant.
Pour z_red_poppy, Kurogane/Fye sur le thème bain et bougies'
Kurogane/Fye, Bain et bougies
Fye souffla dans ses mains, faisant voleter la mousse sur le visage de Kurogané.
- Ey ! gronda celui-ci.
Le magicien pouffa discrètement, puis, se penchant en avant, déposa un baiser sur le bout du nez de son ninja.
Celui grogna pour la forme.
Puis Fye reprit sa position initiale, étendu dans la baignoire, une jambe de chaque côté de son amant. Il ferma les yeux de contentement, laissant l’eau brûlante délasser ses membres fins.
Kurogané, lui, ne pouvait quitter des yeux l’homme en face de lui. La lumière des bougies se reflétait sur sa peau diaphane.
Il soupira d’un air résigné.
Puis il se pencha en avant, et, rendant la monnaie de sa pièce à l’autre imbécile de magicien, lui posa un baiser aérien dans le cou.
Les lèvres de Fye esquissèrent un sourire ravis. Il soupira de contentement.
Kurogane, lui, bougonna.
Et se réinstalla dans l’eau chaude.
Post récapitulatif de ce meme . Toujours ouvert pour les mous du cerveau, by the way. Have fun, et redemandez, si vous avez des illuminations subites !! Avec un bon thème, je suis toujours partante ^w^
Pour howan, Gin/Shuuhei sur le thème 'ça reste à prouver'
Gin marchait, le regard un peu fou.
Il croisait des gens, des shinigamis. Il lisait de la peur dans leurs regards, et il aimait ça.
Oh oui, il aimait ça.
Il croisa la petite Ise Nanao, qui évita son regard.
Son sourire dément s’élargit.
Il croisa Tousen Kaname, qui ne détourna pas sa route. Mais il sentit son malaise, sa désapprobation silencieuse.
Et il aima ça.
Il finit par croiser Suuhei, au détour d’une allée. Et son regard, à lui, disait : « je n’ai pas peur de toi ».
Le sourire de Gin ne s’effaça pas.
Et lorsque Gin s’approcha sans bruit du vice-capitaine de la 9eme division, et qu’il lui murmura quelques mots à l’oreilles, il se dit qu’en réalité, il avait peut être bien peur.
Et il ricana en s’éloignant.
Pour howan, Narcisse/Apollon sur le thème 'va-t'en !'
- Tiens… mais c’est notre cher Beauté…
- Que veux -tu, Apollon ?
Le dieu-soleil passa une main douce sous le menton de Narcisse, lui relevant la tête.
En effet, le jeune mortel était beau. Des traits fins, mais virils, des yeux au bleu parfait, purs comme un ciel d’été. Des cheveux d’un blond vénitien parfait, ondulés comme les blés. Mais un regard si vide, une expression si nue, une moue si désespérément absente… Non, en réalité, il n’y avait que ces stupides mortelles, ou ces naïades crédules, pour tomber sous un charme aussi vide.
- Va-t-en, murmure le jeune mortel. Va-t-en…
Et, comme il retourne ses yeux vers son reflet, son visage s’anime soudain, ses lèvres s’entrouvrent en un sourire tendre, éclatant, qui s’épanouit sur son visage, animant ses traits d’une lumière à mettre des larmes aux yeux.
Pour flo_nelja, Croup/Vandemar sur le thème 'embrouille'
Mr Croup s’avança lentement. Derrière lui, Mr Vandemar marchait comme une montagne pourrait marcher, avec un rythme lent et une totale absence de raisonnement. Il mâchouillait paisiblement quelque chose, qui, au vu des soubresauts, vivait encore.
- « Embrouille », nom féminin, affaire confuse et emmêlée ; embrouillement destiné à tromper ». Savez-vous ce que c’est, cher Monsieur ?
Seul un petit couinement terrifié lui répondit.
A terre, la forme se recroquevilla, essayant vainement de s’incruster dans le mur dégoulinant de boue derrière lui.
- C’est terme utilisé par notre cher employeur pour qualifier l’affaire vous ayant opposée à lui. Et savez vous ce que cela signifie, outre la définition que je vous ai fournie ?
Devant l’absence totale de réponse de la part de la forme à terre, Mr Croup demanda d’un air dégagé :
- Et vous, mon cher Vandemar, le savez vous ?
Le colosse derrière lui répondit par un grondement.
- De gros ennuis. V’là c’que j’dis.
- Et vous avez raison, mon cher camarade. Vous avez parfaitement raison.
La forme à terre couina.
- Et qu’entendons-nous par gros ennuis, cher Mr Vandemar ?
- Qu’ça va faire mal.
- Exactement. Voulez vous faire présentement une démonstration de ce que « faire mal » signifie à notre cher amis assis devant nous ?
Le colosse s’avança lentement, tout en faisant craquer ses énormes phalanges. Dans un bruit de succion assez répugnant, il avala la dernière partie de la chose qu’il avait dans la bouche, et se pencha en avant.
Un long hurlement couru le long des égouts du Londres d’En Dessous.
Pour larme_en_argent, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'la tentation'
La tentation.
La tentation, Crowley la connait bien.
C’est lui, après tout.
Parce que, soyons clair, ce n’est pas cette tarte de pomme qui à fait tout le boulot, ce jour là.
C’est lui.
LUI.
Non mais.
Alors lorsque Aziraphale se met à couiner devant un bête vieux livre sur je ne sais quel sujet, probablement ennuyeux à mourir, et fait mine de tenter de « résister à la tentation » de l’acheter…
Là, Crowley se sent carrément insulté.
Mortifié, il jette un regard venimeux à son ange, qui piaille toujours devant la vitrine de la librairie.
Pour larme_en_argent, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'garderie pour enfants malades'
Crowley gronda.
Dans un coin de la chambre qui abritait d’habitude ses séances de galipettes avec son ange favoris, se tenait un groupe de jeunes bras cassés, présentant tous les signes d’une magnifique gueule de bois.
Les Eux, resplendissants de leur gloire avinée, se tenaient, têtes basses et douloureuses, yeux rouges et cernés, bouches pâteuses et teint blafard.
- Non, non et non, asséna Crowley d’une voix forte, qui fit se recroqueviller les Eux.
- Okay, okay, mais moins fort, steuplé, moins fort, supplia Adam.
Aziraphale eut un sourire indulgent.
- Mais enfin, Crowley, ils ne peuvent pas rentrer chez eux, leurs parents…
- M’en fiche, de leurs vieux !! Quand on fait des conneries, on assume ! C’est pas une garderie, ici !
Sourd aux protestation de son démon, Aziraphale le fit sortir de la pièce.
- Restez là, les enfants. Je vous amène de l’aspirine.
- Merci, Az’, soupira Pepper d’une petite voix.
Raaah, et merde.
Tous les plans de Crowley pour la nuit, qui comprenait, entre autre, halètements, gémissement, soupirs, tremblements, et délicieuses morsures, venaient de tomber à l’eau.
Pour loukawai, Aziraphale/ Crowley sur le thème 'la meilleure façon de faire enrager un ange'
Crowley avança lentement le visage, près, très près du cou d’Aziraphale.
L’ange endormis fronça le nez, dans une mimique adorable.
Crowley retint un sourire attendri qui aurait détruit à tout jamais sa réputation de démon.
Lentement, avec moult précautions, il s’avança encore, jusqu’à ce que sa bouche soit juste en dessous de l’oreille de l’ange.
Il entrouvrit les lèvres, doucement, doucement…
Et, avec une jubilation sensuelle, il mordilla sauvagement l’oreille offerte.
- AAAAAAAAAARGH !!! hurla Aziraphale.
Crowley répondit par un hululement trimphant.
Pour z_red_poppy, Kurogane/Fye sur le thème bain et bougies'
Kurogane/Fye, Bain et bougies
Fye souffla dans ses mains, faisant voleter la mousse sur le visage de Kurogané.
- Ey ! gronda celui-ci.
Le magicien pouffa discrètement, puis, se penchant en avant, déposa un baiser sur le bout du nez de son ninja.
Celui grogna pour la forme.
Puis Fye reprit sa position initiale, étendu dans la baignoire, une jambe de chaque côté de son amant. Il ferma les yeux de contentement, laissant l’eau brûlante délasser ses membres fins.
Kurogané, lui, ne pouvait quitter des yeux l’homme en face de lui. La lumière des bougies se reflétait sur sa peau diaphane.
Il soupira d’un air résigné.
Puis il se pencha en avant, et, rendant la monnaie de sa pièce à l’autre imbécile de magicien, lui posa un baiser aérien dans le cou.
Les lèvres de Fye esquissèrent un sourire ravis. Il soupira de contentement.
Kurogane, lui, bougonna.
Et se réinstalla dans l’eau chaude.