sadique
Quand on en vient à la défense de ma langue, je suis vraiment un sadique. J'éprouve un vrai plaisir à emmerder le plus possible ceux qui ne respectent pas la langue du Québec, une province UNILINGUE FRANCOPHONE ! J'oblige toute personne à communiquer avec moi en français ou je porte plainte à l'Office québécois de la langue française comme TOUS les supposés nationalistes devraient faire. Bien que je comprends parfaitement et parle couramment l'anglais, je ne tolère pas qu'on place le français à autre range que le premier dans cette province ou s'il s'agit d'une situation hors de leur portée, j'agis en ignorant ayant tous les droits (tel un Américain). Bien que je suis contre les principe Américains (États-Uniens), pour ce qui est de ma langue je partage leur avis sur un de leur slogan : ceux qui ne sont pas avec nous, sont contre nous ; bien que l'indifférence fasse moins de mal que l'assimilation, elle a un gros impact.
Plusieurs anglophones se croient tout permis et ne respectent pas nos préférence, notre culture ou même notre loi. Selon la loi, AUCUN Québécois n'aurait à parler autre langue que le français pourtant tentez de vous trouver un emploi à Montréal sans être bilingue (anglais/français) et je vous garanti que vous aurez au moins deux fois plus de succès si c'est le cas pourtant si on respecterait la loi, ce serait un mince avantage que pour des cas spécialisés. Il en est tout autant difficile pour les anglophones unilingue mais si je demeurais dans une province anglophone, je ne m'attendrais pas à ce qu'on m'accommode facilement en français.
Plusieurs anglophones se croient tout permis et ne respectent pas nos préférence, notre culture ou même notre loi. Selon la loi, AUCUN Québécois n'aurait à parler autre langue que le français pourtant tentez de vous trouver un emploi à Montréal sans être bilingue (anglais/français) et je vous garanti que vous aurez au moins deux fois plus de succès si c'est le cas pourtant si on respecterait la loi, ce serait un mince avantage que pour des cas spécialisés. Il en est tout autant difficile pour les anglophones unilingue mais si je demeurais dans une province anglophone, je ne m'attendrais pas à ce qu'on m'accommode facilement en français.