déjà-vu
(quand on passe l'aspirateur, toutes sortes de choses nous trottent dans la tête...)
j'me suis rappelée au hasard cette conversation là que j'ai eue avec philippe à propos des déjà-vus. j'suis un peu trop rêveuse pour me contenter de l'explication "c'est la partie gauche de ton cerveau qui comprend la droite !". j'suis convaincue que mes hémisphères cérébraux s'entendent très bien en temps normal. et c'est là où philippe a commencé à me parler des mondes parallèles.
comme quoi dans l'infini dans lequel on est, il y aurait tout un univers de possibilités. chaque chemin, chaque nouveau choix qu'on fait créant un nouvel univers de possible quelque part dans l'inconnu. des choses aussi stupides que choisir des toasts au nutella au lieu de toasts aux framboises un bon matin pourrait changer notre vie. bon, ça semble moins évident avec l'exemple des toasts. mais si on passe 5 minutes à chercher le nutella perdu au fond de l'armoire alors que le pot de confiture était bien en évidence dans la porte du frigo, et qu'on part donc 5 minutes plus tard, évitant sans s'en douter l'accident dans lequel on aurait été impliqué à tel coin de rue 5 minutes plus tôt ? (ayant mis la main tout de suite sur le pot de confiture...)
chaque choix serait donc déterminant. l'effet papillon. la théorie du chaos.
pour en revenir aux déjà-vus, ils seraient donc des moments où, par hasard, dans deux ou plusieurs de nos autres vie avec nos "moi" parallèles, il se passerait exactement la même chose en même temps. le déjà-vu dure jusqu'à ce que les deux univers parallèles se divisent à nouveau, par un geste posé différemment d'un côté ou de l'autre. dans quelle réalité de toute manière ? chaque univers doit posséder la certitude que celui dans lequel il est est réel.
j'aime ça. j'aime vraiment ça.
ça pourrait sembler un peu tiré par les cheveux pour certains, mais en fait, on a tellement de découvertes à faire encore, j'crois pas qu'on puisse se permettre de dire que certaines choses sont impossibles.
et puis c'est beau de rêver. de se demander où on serait si on avait fait tel choix plutôt qu'un autre. et c'est là qu'on peut se permettre de s'inventer des vies et d'être autrement. si ce n'est que pour goûter le plaisir d'être dans le "ici et maintenant".
whoa.
j'me suis rappelée au hasard cette conversation là que j'ai eue avec philippe à propos des déjà-vus. j'suis un peu trop rêveuse pour me contenter de l'explication "c'est la partie gauche de ton cerveau qui comprend la droite !". j'suis convaincue que mes hémisphères cérébraux s'entendent très bien en temps normal. et c'est là où philippe a commencé à me parler des mondes parallèles.
comme quoi dans l'infini dans lequel on est, il y aurait tout un univers de possibilités. chaque chemin, chaque nouveau choix qu'on fait créant un nouvel univers de possible quelque part dans l'inconnu. des choses aussi stupides que choisir des toasts au nutella au lieu de toasts aux framboises un bon matin pourrait changer notre vie. bon, ça semble moins évident avec l'exemple des toasts. mais si on passe 5 minutes à chercher le nutella perdu au fond de l'armoire alors que le pot de confiture était bien en évidence dans la porte du frigo, et qu'on part donc 5 minutes plus tard, évitant sans s'en douter l'accident dans lequel on aurait été impliqué à tel coin de rue 5 minutes plus tôt ? (ayant mis la main tout de suite sur le pot de confiture...)
chaque choix serait donc déterminant. l'effet papillon. la théorie du chaos.
pour en revenir aux déjà-vus, ils seraient donc des moments où, par hasard, dans deux ou plusieurs de nos autres vie avec nos "moi" parallèles, il se passerait exactement la même chose en même temps. le déjà-vu dure jusqu'à ce que les deux univers parallèles se divisent à nouveau, par un geste posé différemment d'un côté ou de l'autre. dans quelle réalité de toute manière ? chaque univers doit posséder la certitude que celui dans lequel il est est réel.
j'aime ça. j'aime vraiment ça.
ça pourrait sembler un peu tiré par les cheveux pour certains, mais en fait, on a tellement de découvertes à faire encore, j'crois pas qu'on puisse se permettre de dire que certaines choses sont impossibles.
et puis c'est beau de rêver. de se demander où on serait si on avait fait tel choix plutôt qu'un autre. et c'est là qu'on peut se permettre de s'inventer des vies et d'être autrement. si ce n'est que pour goûter le plaisir d'être dans le "ici et maintenant".
whoa.