L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 14 décembre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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Comments 134
Sauf si la menace est vraiment menaçante ou que ça ne leur tentent pas trop, au fond.
C'est pour ça que Pidgeonboy, pas convaincu à 100% qu'il peut se fier aux autres, a appris à courir très vite et à hurler, parce qu'on ne sait jamais : quelqu'un d'autre pourrait peut-être lui venir en aide.
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(Quelqu'un qui ne serait pas un total incompétent, se retient-il d'ajouter.)
Hattori reste d'abord silencieux ; le jeune éditeur, lui, fixe son gobelet en plastique. Ses joues le brûlent : il a un peu honte d'avoir admis qu'il se sent toujours impuissant, incapable d'apporter un vrai soutien au mangaka qu'on lui a confié.
Qu'on lui avait confié, plutôt.
« Ou peut-être qu'en fait, tu es le seul à pouvoir encore faire quelque chose, répond finalement Hattori, Si ça te tient à cœur, n'abandonne pas. »
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Sakura leva ses yeux clairs vers Naruto, les détourna aussitôt en percevant toute la détresse de son ami, et cette confiance immense, trop immense qu'il avait en sa foi à elle... qu'ils réussiraient un jour, qu'ils parviendraient à ramener Sasuke à Konoha.
Elle regretta ses paroles trop vite prononcées et les doutes qu'elle avait émis. Naruto n'avait plus qu'elle, tout comme il ne lui restait plus que Naruto. Ils se soutenaient l'un l'autre, se nourrissaient des espoirs et de la force de chacun.
Un pâle sourire.
Oui, ils le ramèneraient.
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Aoki est étonnée de voir Iwase acquiescer, sangler le casque tendu par Fukuda puis enfourcher la Harley Davidson sans hésitation.
- Elle n'a même pas cherché à se montrer désagréable! s'exclame-t-elle dès qu'ils se sont éloignés.
- Peut-être qu'elle est fatiguée? suggère Hiramaru tout en sortant sa clef de voiture.
- Je crois plutôt qu'il lui plaît.
- Pas possible?!
Quoi, Fukuda, avec sa dégaine de voyou et le niveau de langue qui va avec, plairait à une fille? À cette fille? C'est vrai qu'il a déjà entendu Yoshida-shi dire que les mauvais garçons avaient du succès... Se pourrait-il que Yuri-tan...?!
Il faut vite qu'il s'achète une moto!
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Pour son propre bien, pour son propre bien, ils en avaient de bonnes, ces gens qui se mêlaient de l'empêcher de fumer, ronchonnait Havoc. Ça faisait quelques années déjà qu'il tournait à quelques cigarettes la journée ; il avait toujours une sèche pas encore allumée ou un reste de mégot aux lèvres mais ça ne voulait pas dire qu'il fumait àa la chaîne pour autant ! Et il le vivai très bien. Et il n'était jamais malade. Et d'ailleurs depuis son hospitalisation il ne toussait même plus.
Mais au contraire, lui rétorqua-t-on : c'est parce qu'il en a perdu le réflexe.
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C'est donc un peu de sa faute si Peter l'a surpris au sortir de la douche. C'est aussi sa faute si la seule serviette qu'il porte lui sert à se sécher les cheveux.
Peter est plus gêné que lui, beaucoup plus.
Neal ne savait pas qu'un agent du FBI pouvait rougir comme ça.
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"Hunhgnnnn-", grinça Bardol, espérant paraître furieux, mais même lui devait admettre que le son se rapprochait plus d'un gémissement de contentement.
Kranz releva la tête, Bardol faillit se plaindre, et fit remarquer :
"Il faudrait savoir ce que tu veux. Tu viens de me dire de me servir de ma bouche pour autre chose que t'insulter."
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- T'insulter est vraiment trop facile, mon pauvre Alex. Tellement que ça en devient fatigant.
- Je m'en excuse, ma chère soeur. Tes moqueries ne m'atteignent plus.
- Ah non ?
- Je regrette profondément si tu vois chacun de mes actes comme une disgrâce pour le nom que nous partageons, mais je sais ce que je fais et à quelles valeurs je me tiens.
- Et tu vas me dire que les miennes sont mauvaises, ensuite ?
- Que non. Je n'aurai jamais cette indélicatesse. Elles sont différentes, voilà tout. Je ne les partage pas mais je comprends pourquoi tu les défends.
- ...Courage ou lâcheté, cette conciliance ?
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Mais il n'y est pour rien si Casey s'est fait avoir par cette super agente d'Interpol. Ses problèmes avec les femmes ne le regardent pas.
Ce n'est pas lui qui l'a ligoté à un lit et lui a bandé les yeux...après lui avoir retiré tous ses vêtements...En fait, Chuck n'est pas très sûr de l'ordre dans lequel se sont déroulés les événements. Ce dont il est sûr en revanche, c'est que c'est lui qui a eu le malheur de libérer Casey...et il ne pourra pas lui échapper éternellement.
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Soit, comme il le découvre un peu tardivement, en traçant les données de son GPS.
« Vous n'avez pas le droit! C'est illégal! C'est une atteinte à mon intimité!
- Tu n'as pas d'intimité, Hiramaru. (Plus depuis que j'ai un double des clefs de ton appartement, haha.)
- ... Il me reste quand même des droits!
- C'est vrai. Tu as le droit de travailler pour survivre.
- Monde cruel! »
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Monde cruel que celui des alchimistes se tenant très strictement au principe de l’Échange Équivalent : si tout doit se payer au juste prix, que peut-on donner ? Pas grand’ chose, ou des sentiments négatifs quand un besoin se voit dénié faute de réciprocité immédiate.
Même sans l’utiliser pour nuire directement comme avec ces histoires de Pierre Philosophale, l’alchimie a fait souffrir bien du monde et les Frères Elric jurent de changer cela en amorçant un nouveau courant de pensée, l’Échange Plus.
Encore idéalistes, ils ne voient pas les possibles perversions de ce système, l’inflation, l’endettement…
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- Cruelle, moi ? Oh ma chérie, la folie te dévore. Tu verras, nous vivrons heureuses là où je t'emmène. Comme avant.
Raiponce ne l'écoutait pas, ses yeux ne pouvaient quitter la fenêtre. Eugène y était apparu venant la sauver, se mettre entre elle et Gothel. Acte idiot, démesuré. Enchainée, immobilisée, Raiponce avait vu, impuissante, Gothel pousser l'homme par la fenêtre. Elle avait entendu son cri d'agonie, incapable d'aller le soigner.
- Cesse de pleurer, il n'est pas mort. Juste aveuglé par les ronces où il est tombé.
- Aveuglé ?
- Les yeux crevés. Comme quoi l'amour rend vraiment aveugle !
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