L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 28 septembre)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou
ça ou encore
ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou,
comme les autres, quoi
(
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- Encore ? Avez-vous finalement accepté de m’espionner ?
- Quoi ? Non !
- Dommage, ç’aurait été de l’argent facile”, soupira Sherlock. “Que voulait-il ? Il ne s’agit pas d’une affaire, il m’aurait contacté directement.
- Vraiment ? La dernière fois, vous avez ignoré ses quatre-vingt-dix-huit messages sur votre boîte vocal. J’ai dû-
- Ne faites pas le martyr, que voulait-il ?
- ...Vous avez oublié l’anniversaire de votre mère.
- Bleh”, fit Sherlock, aussitôt désintéressé.
“C’est votre mère !
- Et j’ai oublié son anniversaire, oui. Quelle importance ? Elle en aura un autre l’an prochain. Ils reviennent bien chaque année, n’est-ce pas ?”
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Le sorcier des dimensions arque un fin sourcil, retire l'embout de sa pipe de sa bouche pour répondre:
- Bien sûr ; chaque année, sans faute. Elle n'a jamais raté le rendez-vous.
Un filet de fumée s'échappe d'entre ses lèvres et s'entremêle aux mots. Les volutes fuligineuses aux couleurs chatoyantes, à l'odeur capiteuse, embrument la pièce ainsi que la tête de Dômeki ; mais depuis le temps, il y est habitué.
- Quoi ? fait le gérant de la boutique de souhaits, amusé. Tu viens ici tous les jours, toi. Ne me dis pas que tu es jaloux ?
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Ron ne répond pas, il est trop occupé à darder un regard meurtrier au couple qui s’embrasse à l’ombre des arbres du parc. Il voudrait attraper Zabini et l’arracher, lui et ses sales petites mains baladeuses, d’Hermione. Il voudrait mais il ne peut pas. Harry a raison, il a choisi d’épouser Lavande. Ça ne l’empêche pas de vouloir étriper le Serpentard.
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- Sauf pour Beckett", sourit Esposito. "Du favoritisme, hein ?
- Oh, on sait", continue Ryan. "Nous, on n'est pas aussi importants !
- Ce n'est pas pareil, Beckett est ma m-"
La détective lui sourit, avec un mouvement évident de sa main vers son arme.
"-merveilleuse partenaire", complète finalement et nerveusement Castle.
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Le mot tombe comme une sentence - ultime, définitif. Humiliant.
Hakkyou fixe Katsuki de ses yeux rougis, la bouche tordue par un rictus qui hésite entre la rage et les larmes, et elle l'écoute rire. Pour la première fois depuis des années, c'est elle qui se tait, et lui qui savoure sa victoire.
Cachée derrière un panneau coulissant, Ayame les observe. Sans savoir pourquoi, elle regrette que Katsuki ait trouvé la faille chez sa soeur.
Elle s'empresse d'aller les séparer, mais ce mot lui laisse, à elle aussi, un goût amer sur la langue.
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