Arbre à drabbles (16 au 26 juillet)
L'ARBRE À DRABBLES EST TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 27 juillet)
N'hésitez pas à faire un peu de publicité si ça vous dit. :)
Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 27 juillet)
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Qu'est-ce que 'drabble tree' ou un arbre à drabbles ?
Ça ou ça ou encore ça (pour avoir un exemple en français, hurr hurr). Ou, comme les autres, quoi ( Read more... )
Couché sur le dos à côté de sa moto, Jim Kirk contemple le ciel étoilé. Parfois, puérilement, il déteste les étoiles. Elles lui ont pris son père. Et pourtant, quand il contemple l’espace infini, il voit aussi les possibilités, la diversité des espèces qui le peuplent, l’aventure peut-être.
Avec un soupire, il se lève. L’espace n’est pas pour lui, et quand il se met à penser le contraire, c’est qu’il est temps de trouver à boire.
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Le moteur de l’Impala vrombit lorsque Dean appuie sur l’accélérateur, filant à toute allure sur la vieille route cabossée. Cela faisait longtemps que Sam n’avait pas vu son frère d’aussi bonne humeur. Il continue à sourire en regardant le paysage nocturne défiler. C’était une nuit parfaite pour faire la fête.
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Norrington ne répondit que par un grognement.
"D'ailleurs, je trouve que vous vous y employez très bien ! Quoique vous semblez manquer de compagnie, ce à quoi je me propose de remédier sur le champ..."
Une fois, Norrington avait presque réussi à se convaincre que s'ils se saoulaient suffisamment, ils seraient arrêtés - le pirate se retrouverait ainsi derrière les barreaux, et lui-même n'aurait plus qu'à faire valoir son grade pour en sortir. Cependant, ce n'était pas en prison qu'ils s'étaient retrouvés mais dans la cabine de Jack. Un véritable fiasco...
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La Terre aux mains du Maître, Martha, courageuse Martha marchant sans fin pour apporter la bonne parole qui les sauverait peut-être tous. Et...Il ne se le pardonnerait jamais : la famille de Martha réduit à être les esclaves du Maître.
Et lui, vieux, inutile, à la merci du Maître qui se pavanait devant lui, fier d’avoir mis la Terre aux mains des Hommes du Futur.
Plus rien ne saurait sauver la Terre. Même pas lui. A peine bon à échafauder des plans que le Maître déjouait tout aussi vite.
Il pria.
Martha…
Tu es notre dernier espoir.
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Le Pakistanais lui répondit d'un regard interloqué et vaguement alarmé, mais lui dénicha un rouleau de gauze et offrit la bouteille de désinfectant.
- Tu as été attaquée par un Rottweiler, Mademoiselle ?
- Non, un tyrannosaure, répondit Até sereinement. Aïe, Evan, aïe !
- Je croyais que c'était toi, les dinos ? releva-t-il en fronçant les sourcils, mais sans lever les yeux de son ouvrage.
- Oui, mais c'était un copieur. Et pas moyen de lui faire admettre que les T-Rex ont les pattes antérieures touuutes petites. Je m'y connais en dinos, moi.
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“On ne peut quand même pas suivre une carte et être perdus !”, souligna Carpet-Vale avec ce qu’elle croyait être un argument de poids.
Un silence tendu suivit : c’était stressant de vivre au cas où Carpet-Vale fasse tout exploser si on la contredisait. Esoj s’y risqua.
“Je crois qu’il n’a pas tort.
- Comment tu peux dire ça ? C’est toi qui a la carte !
- Justement... depuis deux heures que je lis Hebdomadaire Potion plutôt que de m’en occuper, de la carte.”
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Combien de fois il avait entendu cette phrase dans ses rêves… Il avait cessé de compter depuis bien longtemps.
La voix pouvait traverser les siècles, les millénaires presque sans perdre de son intensité.
C’était le chef du clan. Le clan avait disparu et il n’y avait plus que lui. Pire, il n’y avait réellement plus que lui qui en portait le sang.
Il y avait ce devoir envers un clan qui était mort depuis longtemps et ses rêves de ce clan qui le hantait jour et nuit.
Il décida de revenir sur leurs terres immémoriales.
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- Un véritable fiasco.
- Ah bon ? Moi j'ai trouvé que je me suis plutôt bien débrouillée.
- Les dinosaures étaient bien, j'avoue, mais une bonne idée ne suffit pas. Tu ne t'es pas assez concentrée, tu n'as pas pu les rendre assez crédibles pour complètement dominer ton adversaire, résultat, tu as été blessée et tu saignes comme un porc sur mon canapé.
- Mais j'ai gagné.
- Ouais. C'est ce qu'on appelle une victoire à la Pyrrhus. Encore une comme ça et...
Evan s'interrompt.
- ... Bref, tu dois plus t'appliquer, Até.
- Pffft. On se croirait à l'école.
- Sauf que dans l'arène, c'est marche ou crève.
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- Non, décrète-t-elle fermement au visage de la créature difforme aux dents absurdement longues. Pas d'accord. Ca n'existe pas.
Son adversaire hésite ; les contours du monstre vacillent, tremblent comme un hologramme défectueux.
- Ca n'est pas là, insiste Meg. Je refuse son existence. Par contre ! reprend-elle joyeusement. Tu sais ce qui existe ? Les tsunami !
Le monstre s'évapore quelque part dans les milliards de litres d'eau qui déferlent sur lui et son créateur. Meg dédie à son adversaire laminé un V de la victoire et un sourire parfaitement kawaii.
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Avec l’effet de surprise, il va finir par l’avoir ! Jin réplique sans un mot, sa lame parle pour lui et clink, clink raconte le métal, histoire répétée.
“Mais arrêtez-euuuh !”, se plaint Fuu.
Les deux autres (pour changer, tiens) ne l’écoutent pas. Ils courent, se tapent et elle soupire, puis met les mains en porte-voix. Se ravise et se dit que bon, ils verront bien l’arbre dans leur chemin. Sauf que non et ils s’écroulent sous la violence de l’impact, autre match nul.
“Au moins”, se satisfait Fuu, “je vais pouvoir me reposer un moment !”
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C'était sans compter, évidemment, avec les capacités de récupération absurdes de son collègue : un jour il semble mourant (et parfois même simplement mort), le lendemain il est sur pied, frais comme une rose.
Allen grince :
- Je savais que tu n'étais pas humain.
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Quelqu'un frappe timidement à la porte de la bibliothèque. Franz sourit, et va ouvrir à Harmonie - voilà qui va rendre ces quelques instants de repos encore plus délectables.
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Marche ou crève, telle a toujours été la devise de Kiri.
On a bien essayé de la faire changer. On lui a pris les meilleurs, les plus forts, le sang le plus pur qui ait jamais coulé dans ses veines pour le remplacer par de la pisse de chat - puis Kiri a ricané, saigné ses nouveaux jouets pour les plonger dans l'océan, et on s'est rendu compte qu'on s'y était cassé les dents.
Kiri restera Kiri. Marche ou crève, c'est sa recette, celle qui fera d'un ramassis de pleurnichards un nouveau brouillard ensanglanté.
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Sam Tyler qui a une araignée (voir deux) au plafond, et qui quand il se plante le fait dans les grandes largeurs, mais qui en si peu de temps s’est imposé comme indispensable, la conscience sur laquelle Gene se repose, qui le provoque et le force à changer.
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