Par où passe le plus court chemin pour aller au stade ?
Titre: Par où passe le plus court chemin pour aller au stade ?
Entraîneur: Aylala
Equipe/Joueur: Fred, George, Alicia, Angelina, Ginny
Catégorie: Défi du mois de décembre : Calendrier de l'avent (16 décembre : Raccourcis)
Rating: K
Par où passe le chemin le plus court pour aller au stade ?
Quand la porte des vestiaires s’ouvrit, elles mirent quelques secondes à réaliser qu’elles étaient déjà toutes présentes et qu’elles n’attendaient plus personne.
Alicia fut la première à réagir. Elle attrapa sa robe d’entrainement qu’elle venait d’ôter et la plaqua contre sa poitrine dénudée avant de se retourner vivement. Lorsqu’elle les vit, la jeune femme sentit la colère monter en elle. Ils avaient osés ! Ils ne manquaient pas d’air !
Autour d’elle, ses coéquipières avaient réagit elles aussi. Angelina avait réenfilé son chemisier et avait attrapé sa batte. Ginny quand à elle était toujours enroulée dans sa serviette et s’était emparée de sa bombe de déodorant. Elles semblaient toutes aussi furieuses les unes que les autres.
- « Qu’est-ce que vous faites là ? » siffla Ginny d’un air mauvais tandis qu’elle s’approchait d’eux, menaçante.
Les jumeaux échangèrent un regard amusé et complice qui n’eut pour effet que d’alimenter la colère de leurs coéquipières.
- « Vous êtes encore là ? » s’étonna Fred avec une voix de fausset « Ca alors ! »
- « Nous qui pensions que les vestiaires étaient vides… » continua George
- « Entièrement vide… » soupira son double
- « J’ai dit : qu’est-ce que vous faites là ! » répéta leur sœur en dirigeant ostensiblement son déodorant vers les yeux de ses grands frères.
Ce n’était peut être pas grand-chose, mais reçu dans les yeux, cela pourrait se révéler efficace…
- « Parce que si c’était pour mater » repris Angelina qui tenait bien sa batte à la main « Ce serait mauvais pour vous… »
Alicia acquiesça d’un signe de tête, tout en récupérant sa baguette, bien décidée à en découdre s’il le fallait.
- « Vous…. Oh ! » s’indigna George en posant sa main sur son cœur « Quelle horreur ! Comment pouvez-vous imaginer une telle chose ! »
- « C’est vexant ! » repris Fred en fronçant les sourcils « Nous qui sommes de vrais gentlemen ! »
Les trois jeunes femmes poussèrent en même temps un ricanement moqueur qu’ils ignorèrent superbement.
- « Nous qui voulions simplement prendre un raccourcis pour rejoindre le stade… » soupira Fred « Etre traités de la sorte… »
- « C’est honteux ! Tout bonnement honteux… »
- « C’est bon, on a compris ! » leur lança Ginny « Dehors maintenant ! »
- « Mais nous sommes disposés à accepter vos excuses… »
- « DEHORS ! »
- « … quand vous voudrez » continua Fred tandis que George et lui regagnèrent la porte.
Ils l’ouvrirent et se glissèrent hors de la pièce sans cesse de les regarder en souriant.
- « Au fait les filles ! Chouettes pare-chocs ! Rien à voir avec ceux des joueuses de Serdaigles et Poufssouffles ! Vous pouvez êtres fières de vous ! » s’exclamèrent ils une dernière fois avant de claquer la porte.
Leurs rires résonnèrent ensuite dans le couloir malgré le bruit provoqué par un sort, une batte et une bombe de déodorant lancés avec violence sur la porte…
Elles s’étaient faites avoir dans cette histoire, elles les avaient laissés filés. Mais d’un seul regard, toutes se mirent d’accord, ces deux là ne perdaient rien pour attendre… Elles sauraient se venger d’une manière ou d’une autre…
Entraîneur: Aylala
Equipe/Joueur: Fred, George, Alicia, Angelina, Ginny
Catégorie: Défi du mois de décembre : Calendrier de l'avent (16 décembre : Raccourcis)
Rating: K
Par où passe le chemin le plus court pour aller au stade ?
Quand la porte des vestiaires s’ouvrit, elles mirent quelques secondes à réaliser qu’elles étaient déjà toutes présentes et qu’elles n’attendaient plus personne.
Alicia fut la première à réagir. Elle attrapa sa robe d’entrainement qu’elle venait d’ôter et la plaqua contre sa poitrine dénudée avant de se retourner vivement. Lorsqu’elle les vit, la jeune femme sentit la colère monter en elle. Ils avaient osés ! Ils ne manquaient pas d’air !
Autour d’elle, ses coéquipières avaient réagit elles aussi. Angelina avait réenfilé son chemisier et avait attrapé sa batte. Ginny quand à elle était toujours enroulée dans sa serviette et s’était emparée de sa bombe de déodorant. Elles semblaient toutes aussi furieuses les unes que les autres.
- « Qu’est-ce que vous faites là ? » siffla Ginny d’un air mauvais tandis qu’elle s’approchait d’eux, menaçante.
Les jumeaux échangèrent un regard amusé et complice qui n’eut pour effet que d’alimenter la colère de leurs coéquipières.
- « Vous êtes encore là ? » s’étonna Fred avec une voix de fausset « Ca alors ! »
- « Nous qui pensions que les vestiaires étaient vides… » continua George
- « Entièrement vide… » soupira son double
- « J’ai dit : qu’est-ce que vous faites là ! » répéta leur sœur en dirigeant ostensiblement son déodorant vers les yeux de ses grands frères.
Ce n’était peut être pas grand-chose, mais reçu dans les yeux, cela pourrait se révéler efficace…
- « Parce que si c’était pour mater » repris Angelina qui tenait bien sa batte à la main « Ce serait mauvais pour vous… »
Alicia acquiesça d’un signe de tête, tout en récupérant sa baguette, bien décidée à en découdre s’il le fallait.
- « Vous…. Oh ! » s’indigna George en posant sa main sur son cœur « Quelle horreur ! Comment pouvez-vous imaginer une telle chose ! »
- « C’est vexant ! » repris Fred en fronçant les sourcils « Nous qui sommes de vrais gentlemen ! »
Les trois jeunes femmes poussèrent en même temps un ricanement moqueur qu’ils ignorèrent superbement.
- « Nous qui voulions simplement prendre un raccourcis pour rejoindre le stade… » soupira Fred « Etre traités de la sorte… »
- « C’est honteux ! Tout bonnement honteux… »
- « C’est bon, on a compris ! » leur lança Ginny « Dehors maintenant ! »
- « Mais nous sommes disposés à accepter vos excuses… »
- « DEHORS ! »
- « … quand vous voudrez » continua Fred tandis que George et lui regagnèrent la porte.
Ils l’ouvrirent et se glissèrent hors de la pièce sans cesse de les regarder en souriant.
- « Au fait les filles ! Chouettes pare-chocs ! Rien à voir avec ceux des joueuses de Serdaigles et Poufssouffles ! Vous pouvez êtres fières de vous ! » s’exclamèrent ils une dernière fois avant de claquer la porte.
Leurs rires résonnèrent ensuite dans le couloir malgré le bruit provoqué par un sort, une batte et une bombe de déodorant lancés avec violence sur la porte…
Elles s’étaient faites avoir dans cette histoire, elles les avaient laissés filés. Mais d’un seul regard, toutes se mirent d’accord, ces deux là ne perdaient rien pour attendre… Elles sauraient se venger d’une manière ou d’une autre…